Author: Otaking

  • Dragon Ball le film : le trailer

    Toujours prévu pour le 8 avril 2009 dans les salles de cinéma françaises, Dragon Ball se dévoile via une première bande annonce.

    Il y a un an, Nyams se posait la question sur Kraken “Le film Dragon Ball sera t’il un échec ?”

    Quand on voit que le réalisateur James Wong parle de son film en disant qu’il a changé l’histoire originale pour plaire à un public familial (Tortue Géniale n’est plus un pervers, c’est pas “familial”) ou que Piccolo est une version ratée du Maître dans la saison 1 de Buffy, on sent clairement que le fan d’Akira Toriyama ne va pas s’y retrouver.

    Mais le vrai problème de ce film, c’est qu’au delà du coté “Dragon Ball”, la bande annonce est complètement ratée, réussissant l’exploit inouïe d’être kitch, ennuyeuse et dénuée d’action (ou alors faire des pirouettes c’est la quintessence de “l’action” vu que les perso ne font que ça dans la bande annonce)

    Donc oui, le film Dragon Ball sera très certainement un échec, non pas forcément parce que l’adaptation est loupée mais surtout parce que le film a l’air tout simplement naze.

    A moins d’un miracle ?

  • Le wallpaper calendrier d’octobre 2008

    Le wallpaper calendrier d’octobre 2008

    Et hop, voilà le nouveau calendrier fond d’écran du mois, histoire d’attaquer tranquillement l’autonme !

    en 1024*768 :

    Le Wallpaper Calendrier d’octobre 2008


    Les tailles disponibles : 1024×768 | 1280×1024 | 1600×1200 | 1680×1050 | 1920×1200

    Sur ce, bon mois d’octobre à tous.

  • Crysis Warhead sur PC : le test !

    Crysis Warhead sur PC : le test !

    Crysis Warhead n’est pas la suite de Crysis mais plutôt une histoire parallèle, qui se déroule au même moment. Exit Nomad, ce coup-ci on incarne le soldat Psycho. Vêtu de sa nanocombinaison, il va castagner du nord coréen sur une île perdue au large de la Chine.

    Après qu’une équipe d’archéologues américains ait disparu sur cette île, les services secrets dépêchent un commando d’élite pour les sauver. Sauf qu’un général nord coréen est déjà sur les lieux et compte bien utiliser leur découverte pour son propre compte. Pendant que Nomad dans Crysis cartonne du soldat et de l’alien, dans Warhead on sait enfin ce que faisait Psycho, un des membres de l’équipe Delta, pendant tout ce temps.

    Pour se faire une idée en image, voici la vidéo teaser :

    Teaser: Crysis Warhead

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=q6TT9aCMVKQ
    De l’action, de l’action et encore de l’action

    Contrairement à Crysis, Warhead va directement à l’essentiel et nous plonge dans la bataille illico. Dans la timeline globale, on incarne Psycho au moment où l’US Air Force bombarde le port. Tous les passages de Crysis où Nomad et Psycho apparaissent ensembles sont donc passés, pas la peine d’espérer ingérer dans l’histoire du premier Crysis. D’ailleurs, la mission de Psycho est très rapidement orientée sur “sécuriser un container” et sans trop chercher à comprendre, on lui court après, en rasant tout hostile qui respire. Et de ce coté là, Crytek a gaté les joueurs. On a droit à une nouvelle arme : le pistolet mitrailleur qui peut être utilisé à deux mains. Fun, mais assez inutile sauf à bout portant, on lui préfèrera de loin le SCAR, l’arme d’assaut qui se voit enfin doter de recharge un peu partout dans le jeu ! (fini de se battre avec un AK47 tout pourri piqué à l’ennemi). Niveau véhicule, on a droit à un overcraft mais c’est surtout l’apparition du VRB, un blindé léger équipé d’une gatling qui est appréciée. Très efficace et très fun de raser une forêt / maisons / camions remplis d’ennemis ! Pour finir, les mitrailleuses postées un peu partout ont enfin deux grandes soeurs : la gatling et le canon, toujours utile pour pulvériser de l’alien.

    Voilà pour les nouveautés… oui c’est tout et c’est peu. A noter qu’une fois encore, un “Big Fucking Gun” sera disponible… à la fin du jeu ! Très frustrant de ne pas pouvoir en profiter davantage.

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    Haaa la plage, son relax, sa mer douce… et ses F18 qui font du rase-mottes…
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    En mode normal, les jumelles “lock” les cibles pour qu’elles apparaissent sur le radar

    Le plaisir du jeu

    Crysis était beau, Crysis Warhead l’est encore plus. Non pas sur le plan technique mais plutôt dans les choix architecturaux et les lieux présentés. Les 7 chapitres du jeu sont tous radicalement différents et on passera du village de vacances, à la jungle sous une pluie tropicale à la vieille mine abandonnée. Cette variété est plus que bienvenue surtout que le jeu reste très linéaire, bien plus que le premier Crysis qui était déjà assez dirigiste. La linéarité de Warhead vient surtout du fait que les approches possibles ont été limitées à “je bourrine”, du coup on passe moins de temps à chercher à comprendre, on fonce dans le tas. Les “pouvoirs” de la nanocombinaison n’ont pas changé, on a toujours : le bouclier, la vitesse, l’invisibilité et la force, mais là encore, la configuration des terrains poussera le joueur a moins utiliser ces pouvoirs ou en tout cas à se limiter à ceux “utiles”.

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    Il ne le sait pas mais il est déjà mort
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    Le nouveau véhicule blindé est un vrai régal : résitant, rapide et surpuissant !

    Niveau plaisir de jeu, ça reste bon, sans plus. Le nirvana du gamer est ratée pour deux raisons à mon sens :
    1er problème : la résistance des ennemis
    Le soldat de base doit avoir un super gilet en kevlar renforcé donc si vous lui foncez dessus, il faudra lui vider un chargeur complet dans le bide pour le tuer. Ou alors un bon vieux headshot le tue en un coup. Du coup, le coté “bourrin” s’efface au profit du “hop je deviens invisible et je lui colle une balle dans la tête, je me cache, je redeviens invisible…”. Le must, c’est d’utiliser la “force” pour sauter en haut d’un toit et se planquer là et abattre les soldats qui vous cherchent… autour du bâtiment.
    C’est très efficace, surtout que les ennemis sont toujours au minimum 5 ou 6 donc un mix “bourrinage / fourberie” deviendra vite le combo gagnant. Du coup, l’option “vitesse” deviendra encore plus gadget que dans le premier Crysis et du fait du nombre des ennemis, utiliser la “Force” en combat se révèle quasi suicidaire et ne servira donc qu’atteindre des lieux de planque.

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    Avec tous ces évènements, les prix vont surement baisser…
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    Ca, c’est ce qu’on appelle un “gros” problème
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    Le mode invisible est vraiment jouissif, regardez sa tête d’ahuri, gniark, gniark

    Pour finir sur la résistance des ennemis, encore une fois, la jungle et la plage avec ses gentils soldats se finira très très vite pour laisser la place à des soldats en nanocombinaison (made in china, donc moins résistante que celle du joueur) ou pire des aliens. Et là, faudra devenir un dieux du headshot pour l’un et canarder comme un dératé pour l’autre. C’est sympa mais avoir des vagues d’ennemis sur qui il faut vider 2 chargeurs l’un, c’est rapidement saoulant. Cette trop grande résistance vient casser le sentiment de puissance que confère la nanocombinaison mais surtout, ça pousse le joueur à se limiter à une seule stratégie d’attaque et à faire souvent la même chose.

    2ème problème : La construction du jeu
    Au niveau scénaristique, on a droit à deux séquences (sur les sept chapitres) assez saoulantes. La première consiste à massacrer des vagues successives d’aliens pendant qu’un commando tente de faire sauter une grotte. Très longue et assez dure (on meurt très souvent), cette séquence est très énervante. On en vient à se demander s’il ne faut pas faire quelque chose pour déclencher “le script” qui fait sauter le mur, c’est raté niveau immersion.

    La deuxième est une longue séquence où on est sur un train armée de jolis gatling et où il faut dégommer tout ce qui tente de s’approcher. Marrant et très spectaculaire au début puis rapidement lassant au final, le rail shooting, on a quand même vu mieux niveau gameplay…

    Bien entendu, ces moments n’ont rien à voir avec les mauvais passages du premier Crysis (La base Alien et le passage où Prophet a sa combinaison qui déconne entre autre) qui eux étaient vraiment abominablement saoulant. Mais dans Warhead, vu la durée de vie ridicule du jeu (torché viandé en 5h30, en prenant des screenshot comme un touriste) il est vraiment impardonnable d’avoir des baisses de rythme comme ça.

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    Le bouclier humain n’est pas toujours très efficace, ni très discret…
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    Certains décors sont de toutes beautés

    L’histoire

    Le bon coté de Warhead est que la narration ne se fait plus en vue subjective. Psycho, personnage à part entière est vu à la 3ème personne dans les cinématiques. Du coup, elles se permettent d’être plus spectaculaires ce qui n’est pas un mal. En dehors de ça, l’histoire de Warhead reste malheureusement assez mauvaise. Le méchant, le colonel Lee, est doté d’un charisme de poulpe et la vieille histoire entre le soldat O’Neal et Psycho est aussi passionnante qu’un épisode de Rick Hunter. Dommage, surtout que la trame globale “récupérer le container” est loin d’être très sexy.

    Heureusement, la mise en scène vient sauver le tout en misant sur l’action et le spectaculaire.

    Le multijoueur

    L’autre nouveauté de Crysis Warhead, c’est d’offrir une refonte du multi via Crysis Wars. On retrouve 21 cartes dont 7 originales. Ce multi est efficace et à le mérite d’exister. Après, il reste très basique. La présence de map avec les véhicules à disposition est un plus très sympa. Mais après le coté de “ho c’est fun”, il manque des modes de jeu pour bien exploiter ces possibilités. Ce multi aurait pu être un “Battlefield killer” mais il se contentera d’être un bon moyen de prolonger le plaisir de jeu, essentiellement en deathmatch avec ses cartes plutôt bien conçues.

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    La sphère de glace, le coeur du merdier sur l’île
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    Là, Psycho est plutôt dans la merde…

    Conclusion

    Le graphisme : 17/20
    Oui c’est beau, très beau, mais c’est surtout la qualité et la variété des environnements qui font la différence. Bon investissement sur l’avenir, vous pourrez encore joueur à Crysis Warhead dans 2 ans et voir enfin ce qu’il peut donner au “maxi”

    Histoire / durée de vie : 09/20
    Ok la moyenne des FPS c’est 8h, mais tout boucler en 5h30, c’est vraiment très court, trop court, surtout avec les moments pas forcément toujours très fun. De plus, le finish manque cruellement de panache. Décevant. Surtout que l’histoire ne casse pas trois pattes à un canard…

    Le son : 17/20
    Woaw, les musiques sont tout simplement excellentes. Dommage qu’elles soient trop présentes dans les phases d’actions, on a l’impression qu’on nous prend en revers alors que c’est juste la musique en stéréo… A noter que le doublage en français est excellent dans son ensemble. Petit bémol pour nos amis coréen en fr qui sont affublés d’un accent à la Michel Leeb… dommage.

    Jouabilité : 16/20
    Aussi bonne que sur le premier Crysis. Le switch entre les “pouvoirs” se fait à la volée de manière très fluide. En revanche, l’interface de customisation de l’arme reste toujours aussi peu pratique et que dire de la capacité de “snipe” ? Ca bouge toujours autant…

    Note globale : 14/20

    “Des efforts mais peu mieux faire” pourrait être cette conclusion. Loin de révolutionner le monde du FPS, Crysis Warhead s’impose comme un bijoux esthétique mais n’atteint pas l’excellence vidéoludique pour autant. aussitôt fini, il y’a de fortes chances que vous le rangiez dans un carton, pour le ressortir dans 2 ans afin de voir son rendu sur une machine plus puissante. Même s’il n’est vendu qu’à 30€, si vous n’avez pas une machine assez puissante, réfléchissez bien avant d’acheter. Sans la claque graphique, il reste un FPS efficace mais sans grande originalité.

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    Le repos du guerrier
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    Mais qui a garé son porte-avion ici ?

    Infos complémentaires et protocole de test

    Titre : Crysis Warhead
    Date de sortie : 18 septembre 2008
    Editeur : Electronic Arts
    Developpeur : Crytek

    Configuration de test :
    Processeur : Core 2 Duo 2.6 Ghz
    Carte graphique : Nvidia Gforce 8800 GTX 768mo
    RAM : 4Go DDRAM
    OS : Windows XP SP3

    Toutes les captures d’écran ont été réalisé avec cette configuration

  • Ponyo sur la falaise, près de la mer : le “vrai” trailer

    Ponyo sur la falaise, près de la mer : le “vrai” trailer

    J’en avais parlé en juillet, une première bande annonce du dernier Ghibli, Gake no ue no Ponyo (Ponyo sur la falaise, près de la mer), était alors enfin disponible. A l’époque il fallait se contenter d’un rip-tv de mauvaise qualité. Mais une “vraie” version propre de cette vidéo existe et permet de vraiment se faire une meilleure idée du film :

    Bande annonce : Ponyo sur la falaise, près de la mer [jp]

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    Bande annonce Ponyo sur la falaise, près de la mer

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    Merci à Manganimation pour cette découverte (que j’ai mis deux mois à voir quand même…)

    Ponyo a été diffusé dans les cinémas japonais le 19 juillet 2008 et y a rencontré un accueil plus qu’enthousiaste ! Pour profiter du 9ème film de Hayao Miyazaki, il va encore falloir patienter encore jusqu’au 8 avril 2009 en France.

    C’est long… =_=

  • Deux téléfilms pour XIII

    Deux téléfilms pour XIII

    Bonne nouvelle pour les fans du héros tatoué XIII, la BD de Van Hamme va être porté sur petit écran au travers d’une mini série de deux téléfilms.

    XIII The Conspiracy : Lors du discours annuel commémorant l’Indépendance, la Présidente des États-Unis est abattue par un sniper. 3 mois plus tard, alors que le meurtrier n’a toujours pas été arrêté, un homme est retrouvé blessé et amnésique. Une troupe d’élite de l’armée le prend en chasse, persuadé qu’il a tué la présidente. Traqué et perdu, il n’a dès lors qu’un seul indice pour retrouver qui il était vraiment, un XIII tatoué sur son cou.

    Bande Annonce : XIII The Conspiracy

    Le rôle de XIII est campé par Stephen Dorff (le méchant dans le premier Blade) mais la surprise, c’est de retrouver Val Kilmer dans le rôle de la Mangouste ! La production de la série est franco canadienne et Canal+ et M6 en font parti. C’est d’ailleurs sur Canal+ que vous pourrez découvrir le premier épisode le 6 octobre 2008 alors que la deuxième partie sera diffusée le 13 octobre 2008 ! Par la suite, une rediffusion “en clair” sera faites sur M6 en 2009.

    Le projet est très sexy et la présence de Val Kilmer est un atout pour crédibiliser cette adaptation. Dommage que le trailer soit aussi mauvais, oscillant entre le sous Jason Bourne et 24H Chrono…

    Verdict à suivre, le 6 octobre.

    Des visuels :
    Deux téléfilms pour XIII
    Deux téléfilms pour XIII
    Deux téléfilms pour XIII
    Deux téléfilms pour XIII
    Deux téléfilms pour XIII
    Deux téléfilms pour XIII

    Fiche technique

    Titre : XIII – The Conspiracy

    Date de sortie :
    Épisode 1 : 06 octobre 2008
    Épisode 2 : 13 octobre 2008

    Réalisateur : Duane Clark

    Casting :
    Stephen Dorff : XIII
    Val Kilmer : Mongoose
    Jessalyn Gilsig : Kim Rowland
    Stephen McHattie : General Carrington

  • Nodame Cantabile : Paris-Hen en vidéo

    Nodame Cantabile est une série animée diffusée en 2007 issu du manga éponyme de Tomoko Ninomiya. La série mettait en scène Nodame et Chiaki, deux étudiants en musique. Autant la première est brouillonne et souillon autant le second est l’élève parfait, doué et appliqué. Un duo explosif parfait pour créer des situations coquasses et loufoques.

    La série, donnant une très large place à la musique classique, avait séduit par sa qualité scénaristique et son rythme. Sans révolutionner le genre, Nodame Cantabile était une excellente série divertissante.

    La suite est donc sur les rails pour la rentrée comme en témoigne la première bande annonce.

    Vidéo Nodame Cantabile Paris-hen

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    Vidéo in-game Heavy Rain (PS3)

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    Faisant suite directement après la première série, Nodame Cantabile Paris-hen nous entraine dans l’aventure de Nodame qui vient perfectionner sa maitrise du piano à Paris. Prévu sur 11 épisodes, la série débutera le 9 octobre 2008 sur Fuji TV. L’équipe technique reste la même que sur le premier volet à savoir Kenichi Kasai à la réalisation et Shuichi Shimamura au chara design.

    En savoir plus : Le site officiel

  • Heavy Rain : le grand retour de Cage ?

    De David Cage bien entendu ! Le créateur de The Nomad Soul (1999) et Fahrenheit (2005). Après l’échec commercial de Fahrenheit (mais grand succès d’estime), le studio de Cage, les français de Quantic Dream, était attendu au tournant avec “The Nomad Soul 2”. Surprise, c’est un projet entièrement nouveau qui est privilégié : Heavy Rain.

    Initié en février 2006, le développement du jeu a connu un premier coup de projecteur avec la vidéo “The Casting” diffusée à l’E3 2006. Cette vidéo, vitrine technologique du studio, présentait l’actrice Aurélie Brancilhon entièrement modélisée en 3D. Après un silence de 2 ans, c’est durant la Game Convention de Leipzig qu’Heavy Rain a fait sensation avec une toute nouvelle vidéo très blufflante :

    Heavy Rain est voulu comme une histoire interactive où l’histoire prévaut sur l’action. On retrouve dès lors les QTE ou Quick Time Event comme dans Faherenheit.

    Les QTE sont des actions contextuelles à réaliser au cours d’une scène cinématique, en gros, on appuie sur le bon bouton au bon moment. De ma mémoire, la popularisation de ce gameplay s’est faite avec les (ignobles) jeux sur Mega-CD où les longues cinématiques pixellisées demandaient de temps en temps au joueur de faire un truc. Mais les lettres de noblesses du QTE sont apparues en 1999 avec le succès du mythique Shenmue sur Dreamcast. Ce jeu proposait entre autres des scènes interactives en QTE où le joueur devait intervenir. Cela permettait de briser la passivité du joueur face à la cinématique et surtout d’apporter une mise en scène cinématographique au jeu.

    En partant de là, Quantic Dream a poussé le concept à son paroxysme avec Fahrenheit (PC / Xbox / PS2) en 2005. Dans ce jeu, on incarne un homme qui a commis un meurtre et qui cherche ce qui l’a poussé à agir ainsi. Doté une ambiance particulièrement captivante, de personnages attachants et d’un scénario (de prime abord) béton, Farhenheit propose une expérience ludique exceptionnelle, entre le jeu et le film à suspense. Hélas, on ne peut pas en dire autant de la deuxième partie du jeu, largement bâclé au niveau du traitement de l’histoire et qui sombre dans la succession de scènes d’action en QTE assez rébarbative. Pour autant, ne serait-ce que pour ses 10 premières heures de jeu, Fahrenheit vaut vraiment la peine d’y jouer afin d’en gouter l’ambiance unique (haa la scène de l’asile psychiatrique avec Carla Valenti, le stress garanti !) . Un des reproches du jeu à l’époque avait été l’intégration des QTE dans le jeu. Il faut dire que les boutons à presser étaient stipulés en plein milieu de l’écran par des directions de couleur. les esprits chagrins peuvent dire que les couleurs se confondaient par moment avec l’environnement, mais ça c’est peanuts ! Le vrai soucis, c’est que ça gâchait passablement la cinématique vu qu’il fallait tout le temps fixer ces barres de couleur !

    moche hein ?
    Moches, peu visibles et super envahissants, des QTE assez ratés dans Fahrenheit

    Heavy Rain se place dans la continuité de Fahrenheit au niveau de son gameplay. Sauf que comme on peut le voir dans la vidéo, l’intégration des QTE s’est faite beaucoup plus discrète (trop peut être ? ) et semble ne plus nuire au plaisir de jeu. A cela s’ajoute les impressionnants progrès quant à la modélisation des personnages et une motion capture assez bluffante. De plus, le travail de design admirable dans l’appartement donne une ambiance vraiment étrange à l’ensemble, à la fois inquiétante et captivante… deux sentiments que Quantic Dream sait distiller auprès des joueurs. Dommage en revanche que les extérieurs soient aussi vides et se dotent du filtre “marron-ocre” à la mode.

    David Cage promet que son jeu “permettra de vivre l’histoire plutôt que de la regarder passivement à travers des vidéos in-game. C’est un thriller noir offrant maints rebondissements, et bien qu’il soit constamment interactif en temps réel, nous le considérons plus totalement comme du jeu vidéo : c’est une expérience interactive pour un public adulte dans lequel l’émotion est le maitre mot”

    Ce genre de déclaration laisse songeur et fait espérer un jeu avec une histoire solide et maitrisée d’un bout à l’autre (ce que Faherenheit n’avait pu être) Pour savoir si Cage tiendra ses promesses, rendez-vous en 2009, malheureusement seulement sur Playstation 3.

    Des visuels de Heavy Rain :
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3

  • Universal War One passe chez Marvel

    Universal War One passe chez Marvel

    Si comme moi vous avez adoré la saga “Universal War One” de Denis Bajram, vous serez content d’apprendre que sa BD a commencé à être édité aux Etats-Unis chez Marvel.

    La couverture américaine du Tome 1 de Universal War One

    Universal War One raconte l’histoire du premier conflit interstellaire. Dans le futur, l’expansion de l’Humanité s’est étendue jusqu’aux confins du système solaire sous la surveillance de l’UEF, les forces armées terriennes. Sauf qu’un jour, le Mur apparait et avec lui, le spectre d’un conflit total.

    Des visuels :

    universal war one chez marvel
    universal war one chez marvel

    Édité de 2000 à 2006, Universal War One compte 6 tomes au total. La qualité du dessin mais surtout la maitrise du récit de Bajram ont rapidement hissé cette BD au rang d’incontournable pour tous fans soient-ils de SF. L’édition américaine a débuté en juillet 2008 chez Marvel, peu coutumier du fait d’aller chercher des talents en Europe, surtout pour éditer une oeuvre déjà existante. Bref, bravo à Denis Bajram, c’est un succès mérité.

    En savoir plus :
    Le site officiel Universal War One

  • First Squad du Studio 4°C: un OAV en approche

    First Squad était à la base un clip réalisé par Studio 4°C pour le rapeur russe Ligalize (voir le clip). Mais le projet a rapidement muté en long métrage d’animation. Annoncé en 2005 avec un partenariat russo-canadien/japonais (respectivement Molot Entertainment Film et Studio 4°c), First Squad semblait depuis au point mort. Mais le voilà de retour en 2008 avec une nouvelle bande annonce et plus d’informations :

    Trailer de l’OAV First Squad

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    video First Squad

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    Au final, le format adopté sera celui de l’OAV (direct to DVD). Au niveau scénario, First Squad : The Moment of Truth racontera l’histoire d’une troupe d’élite russe lors du tournant de la Seconde Guerre Mondiale en 1942. Cette équipe est composée de 5 adolescents, tous dotés de compétences extraordinaires. Sur le front de l’est, ils devront lutter contre Linz, un officier SS bien décidé à faire revenir des morts une armée de chevaliers teutoniques du XIIème siècle histoire de les faire combattre pour le IIIème Reich. Tout ça est annoncé pour 2009.

    Mais la (mauvaise) surprise, c’est que le style graphique a profondément changé, Daisuke Nakayama (Amazing Nuts!, Beyond, Tweeny Witches…), le réalisateur du pilote originel (visible chez Catsuka), ne faisant plus partie du projet. Aux commandes de l’OAV, on retrouve désormais Yoshiharu Ashino (Mind Game…) à la réalisation et Hirofumi Nakata au chara-design. Dommage, le style est désormais plus classique et perd un peu de son intérêt. Néanmoins, Studio 4°c déçoit rarement et vu le temps de gestation du projet First Squad, on peut espérer que l’OAV tienne toutes ses promesses. Bilan à sa sortie l’an prochain !

    Des croquis des personnages :

    first squad
    first squad
    first squad
    first squad
    first squad
    first squad
    first squad

    Fiche Technique
    Titre original : First Squad : the moment of Truth

    Studios : Studio 4°C & Molot Entertainment Film

    Créateurs : Misha Sprits & Aljosha klimov
    Réalisateur : Yoshiharu Ashino
    Producteurs : Eiko Tanaka, Misha Sprits & Aljosha Klimov
    Chara-Design : Hirofumi Nakata
    Musique : DJ Krush

    En compléments :
    Le site officiel de l’OAV
    Le site officiel du clip

  • Oshii et Miyazaki à la 65ème Mostra de Venise

    Oshii et Miyazaki à la 65ème Mostra de Venise

    Du 27 août au 6 septembre 2008 se tient la 65ème Mostra de Venise. Comme plusieurs années maintenant, la sélection de la Biennale comprend des films d’animations. Cette année, ce sont deux poids lourd de l’animation japonaise : Mamoru Oshii (Ghost in the Shell, Patlabor…) et Hayao Miyazaki avec leur film respectif : The Sky Crawlers et Ponyo sur la falaise près de la mer (Gake no ue no Ponyo) qui s’affrontent pour un lion d’or.

    Ponyo sur la falaise près de la mer

    Miyazaki signe ici son 10ème film et surtout son retour à la réalisation chez Ghibli après l’annonce de sa retraire à la sortie du “Chateau Ambulant”. Ponyo c’est l’histoire d’une petite sirène qui rencontre un jour un garçon de 5 ans dont elle tombe amoureuse. Obligée de retourner sous la mer, notre sirène ne rêve dès lors plus que de devenir humaine pour le rejoindre.

    Inspiré de la “Petite Sirène” de Hans Christian Andersen, Ponyo a bénéficié d’un graphisme très particulier avec des dessins au pastel sec, limitant les d’ombres et effets de lumière, donnant une impression de douceur au dessin. Dessiné sur cellulo et non sur ordinateur, le film a nécessité 4 ans de travail. Sorti le 19 juillet 2008 au Japon, il a fait l’objet d’un évènement national tellement l’attente était forte et à priori, le public a été conquis.

    Le film est attendu en France pour le 8 avril 2009.

    Cliquez ici pour voir la bande annonce de Gake no ue no Ponyo

    Des visuels de Ponyo sur la falaise près de la mer :
    ponyo ghibli
    ponyo ghibli
    ponyo ghibli
    ponyo ghibli

    The Sky Crawlers

    Mamoru Oshii, mondialement connu pour ses films d’anticipation avec des ghost et des embrouilles politiques du futur, revient ici avec un film qu’il définit lui-même comme “une histoire d’amour entre adolescent”. Sorti le 2 août 2008 au Japon, The Sky Crawlers se situe dans un monde hypothétique où les Kildren sont des adultes dont le corps restent ceux d’adolescents. Engagés dans une guerre aérienne sans merci pour amuser les adultes, ces “adulescents” sont contraints de vivre au jour le jour au fil des combats.

    Aucune date de sortie de The Sky Crawlers n’est pour l’instant annoncée pour la France, en attendant voici la bande annonce japonaise du film :

    Trailer : The Sky Crawlers

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    video kraken.fr

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    Le film, réalisé par Production I.G, est tiré du best seller de Mori Hiroshi. Au chara design, on retrouve Tetsuya Nishio (Jin-Roh, Innocence…) et à la musique, comme d’habitude avec Oshii, c’est l’excellent Kenji Kawai qui assure la partition.

    Des visuels de The Sky Crawlers:
    The Sky Crawlers de Momoru Oshii
    The Sky Crawlers de Momoru Oshii
    The Sky Crawlers de Momoru Oshii
    The Sky Crawlers de Momoru Oshii
    The Sky Crawlers de Momoru Oshii

    Ces deux films seront donc présentés le mardi 2 septembre 2008 lors de la 65ème Mostra de Venise. L’an passé, c’était Paprika de Satoshi Kon qui avait été projeté (et qui n’avait rien reçu). En 2005, Hayao Miyazaki avait reçu un lion d’or à la Mostra pour l’ensemble de son oeuvre et non pour un film en particulier. A voir si cette année se sera différent.