Author: Otaking

  • [Test] I Am Alive [PS3]

    [Test] I Am Alive [PS3]

    Adam est de retour dans la ville d’Haventon pour retrouver sa famille. Un an après le “Choc”, la ville est en proie au chaos le plus total, les immeubles se sont en partie effondrés et la population a fui ou est morte à cause de la poussière toxique qui stagne à la surface du sol. La femme et la fille d’Adam répondent également aux abonnés absents et ce dernier décide alors de partir à leur recherche.

    Après un développement assez erratique et d’une quasi annulation, I Am Alive est enfin entre nos mains. Disponible sur PC, Xbox 360 et Playstation 3, le jeu est proposé uniquement en téléchargement pour une somme de 15€ environ. A ce prix, on se retrouve avec un mélange de survival, d’aventure et de plateforme façon Assassin’s Creed. Mais heureusement, Ubisoft Shanghai a bien retenu que dans le genre “survival-aventure-plateforme”, il y avait avant tout le mot “Survival” et la survie sera bien au centre des préoccupations des joueurs aux commandes d’Adam.

    La gestion de l’endurance est centrale. Courir, grimper, se battre fatiguera votre personnage. Le sol est habité d’une brume mortelle permanente, issue de la poussière toxique du grand cataclysme qui a détruit la civilisation. Du coup, être sur le sol sera synonyme d’endurance qui diminue rapidement jusqu’à la mort du personnage. Seul salut : les hauteurs ! Et l’escalade est une constante du jeu. Mais là aussi, l’endurance diminue jusqu’à ce que le héros ait atteint une plateforme. Si le joueur se retrouve dans le rouge au niveau endurance, il pourra soit utiliser un précieux piton pour se créer un point de repos durant son ascension, soit utiliser un item pour se redonner du tonus ou alors puiser dans ses ressources physiques pour un ultime effort. Problème de cette option : elle diminue la barre d’endurance de façon permanente.

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/755ce-i_am_alive-ps3-08.jpg” large=”600″]
    Escalader, crapahuter font partie du quotidien d’Adam

    Néanmoins, aider les rares survivants permettra de débloquer des bonus pour augmenter l’endurance, avoir des pitons ou se redonner de l’endurance. Les développeurs n’ont pas abusé sur la difficulté pour rallonger artificiellement la durée de vie. En revanche, l’effet recherchée via la gestion de l’endurance, à savoir le gros coup de stress, est lui bien au rendez-vous.

    Autre très bonne idée du jeu : la gestion des combats. Pour être vraiment en mode “survie”, il faut en général se retrouver avec une cuillère et un bâton contre une bande de gars peu amène… hé bien c’est exactement dans ce genre de situation que I Am Alive va vous plonger. Les munitions sont très rares et les armes blanches restent souvent le seul salut en cas de combat. Mais Adam n’est qu’un homme, frêle et mortel et une balle bien sentie ou quelques coups de machette auront vite raison de notre héros et quand vous avez une bande de six gars en face…

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/e364d-i_am_alive-ps3-09.jpg” large=”600″]
    En voilà un qui ne posera plus aucun problème à notre héros

    Et bien il faut recourir à la ruse ! Et le jeu l’a réussi d’une bien belle manière en incorporant une dimension de bluff. Pointer une arme vide sur un ennemi et ce dernier ne vous attaquera pas, de peur de s’en prendre une. Tuer le chef du groupe ou le type avec une arme, et les autres auront plutôt tendance à déguerpir. Il y aussi des ennemis qui ne cherchent qu’à se défendre et qui laisseront le joueur passer s’ils ne sont pas attaqués. Bref, c’est tout une gestion intelligente de l’affrontement que propose I Am Alive et qui renforce l’aspect “survival” du jeu.

    I Am Alive, le survival ultime ?

    Il est temps maintenant de tempérer (malheureusement) tous les bons cotés du jeu car la perfection n’est pas au rendez-vous.

    Le jeu est plutôt court, environ 5h de jeu, et assez répétitif. Il n’en devient pas forcément lassant mais les mécaniques de jeu ont tendance à se répéter et il est clair que l’objectif est de ne “pas trop en donner pour un jeu à 15€”. Les puristes du genre devront choisir directement le mode de jeu “Survie”, le plus dur, sinon les items pour aider le joueur sont un peu trop fréquents et facile à avoir. Au moins, les heures de jeu sont du “vrai” jeu et ne consiste pas seulement à se refaire des passages à la chaîne pour cause d’une difficulté trop corsée. Ensuite, les graphismes sont assez moyens. Les limitations techniques sont bien gérées, la brume explique le champ de vision limité et les filtres graphiques cachent un peu des graphismes quelques peu dépassés. Heureusement les environnements variés et les effets de lumières permettent d’éviter un sentiment de lassitude durant l’aventure.

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/cb0dd-i_am_alive-ps3-05.jpg” large=”600″]
    C’est pas du Battlefield 3 niveau graphisme…

    En conclusion

    I Am Alive avait promis beaucoup, avant de tomber quasi dans l’oubli. Son retour par la petite porte du téléchargement (disponible sur le Playstation Store) aurait pu augurer un jeu bâclé mais il n’en est heureusement rien, loin de là.

    Bien que moins ambitieux que prévu, il offre une aventure prenante et bourrée d’excellente idée de gameplay, notamment dans la gestion des combats. Malheureusement trop court et très orienté “plateforme-escalade”, il en devient un peu répétitif. Mais alors que le genre “survival” est de plus en plus remplacé par “action”, il est bon d’avoir un jeu qui laisse la part belle aux fondamentaux du genre : la solitude, un monde dévasté, des armes limitées, la peur…

    # Le détail #

    Graphisme : 13/20
    Le genre “fin du monde” n’est pas le plus original mais l’ambiance générale est réussie et les filtres “crades” servent habilement à poser l’univers du jeu (et à cacher des graphismes un peu dépassé)

    Scénario : 13/20
    Du classique et de l’efficace, un héros solitaire, une famille à sauver… Rien de renversant mais pas de déception sur l’histoire.

    Jouabilité : 14/20
    Quelques couacs durant les phases d’escalade, notamment dans le choix des directions. Sinon tout est ok, Adam se contrôle sans problème.

    Durée de vie : 13/20
    Petit budget rime malheureusement avec petit jeu dans le cas de I Am Alive. Néanmoins il offre une aventure prenante et deux modes de difficulté pour les plus exigeant.

    Musique & Son : 17/20
    Toute l’ambiance sonore colle parfaitement aux situations et au genre apocalyptique. Rien de grandiose mais du très efficace.

    Note Globale : 15/20
    I Am Alive réussi à apporter un peu de fraîcheur dans un genre malmené : le jeu de survie. Il se différencie immédiatement de ses congénères de types “horrifiques” comme Silent Hill ou Resident Evil avec un parti pris plus réaliste. On ne combat que des humains et les combats sont techniques, entre bluff, gestion de groupe et baston à proprement parlé. Cela permet au jeu d’être vraiment original avec que les ténors du genre se tournent de plus en plus vers l’action pure.

    Néanmoins I Am Alive paie les choix d’Ubisoft à être un “petit jeu” et l’aventure, bien que courte, est assez répétitive. Mais les développeurs ont su savamment varier les situations et les environnements pour faire passer la pilule. Bref, si vous aimez le genre “survival”, c’est un jeu à essayer !

    Des visuels du jeu I Am Alive sur Playstation 3

  • I Am Alive [PS3]

    I Am Alive [PS3]

    Adam est de retour dans la ville d’Haventon pour retrouver sa famille. Un an après le “Choc”, la ville est en proie au chaos le plus total, les immeubles se sont en partie effondrés et la population a fui ou est morte à cause de la poussière toxique qui stagne à la surface du sol. La femme et la fille d’Adam répondent également aux abonnés absents et ce dernier décide alors de partir à leur recherche.

    Après un développement assez erratique et d’une quasi annulation, I Am Alive est enfin entre nos mains. Disponible sur PC, Xbox 360 et Playstation 3, le jeu est proposé uniquement en téléchargement pour une somme de 15€ environ. A ce prix, on se retrouve avec un mélange de survival, d’aventure et de plateforme façon Assassin’s Creed. Mais heureusement, Ubisoft Shanghai a bien retenu que dans le genre “survival-aventure-plateforme”, il y avait avant tout le mot “Survival” et la survie sera bien au centre des préoccupations des joueurs aux commandes d’Adam.

    La gestion de l’endurance est centrale. Courir, grimper, se battre fatiguera votre personnage. Le sol est habité d’une brume mortelle permanente, issue de la poussière toxique du grand cataclysme qui a détruit la civilisation. Du coup, être sur le sol sera synonyme d’endurance qui diminue rapidement jusqu’à la mort du personnage. Seul salut : les hauteurs ! Et l’escalade est une constante du jeu. Mais là aussi, l’endurance diminue jusqu’à ce que le héros ait atteint une plateforme. Si le joueur se retrouve dans le rouge au niveau endurance, il pourra soit utiliser un précieux piton pour se créer un point de repos durant son ascension, soit utiliser un item pour se redonner du tonus ou alors puiser dans ses ressources physiques pour un ultime effort. Problème de cette option : elle diminue la barre d’endurance de façon permanente.

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/755ce-i_am_alive-ps3-08.jpg” large=”800″]
    Escalader, crapahuter font partie du quotidien d’Adam

    Néanmoins, aider les rares survivants permettra de débloquer des bonus pour augmenter l’endurance, avoir des pitons ou se redonner de l’endurance. Les développeurs n’ont pas abusé sur la difficulté pour rallonger artificiellement la durée de vie. En revanche, l’effet recherchée via la gestion de l’endurance, à savoir le gros coup de stress, est lui bien au rendez-vous.

    Autre très bonne idée du jeu : la gestion des combats. Pour être vraiment en mode “survie”, il faut en général se retrouver avec une cuillère et un bâton contre une bande de gars peu amène… hé bien c’est exactement dans ce genre de situation que I Am Alive va vous plonger. Les munitions sont très rares et les armes blanches restent souvent le seul salut en cas de combat. Mais Adam n’est qu’un homme, frêle et mortel et une balle bien sentie ou quelques coups de machette auront vite raison de notre héros et quand vous avez une bande de six gars en face…

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/e364d-i_am_alive-ps3-09.jpg” large=”800″]
    En voilà un qui ne posera plus aucun problème à notre héros

    Et bien il faut recourir à la ruse ! Et le jeu l’a réussi d’une bien belle manière en incorporant une dimension de bluff. Pointer une arme vide sur un ennemi et ce dernier ne vous attaquera pas, de peur de s’en prendre une. Tuer le chef du groupe ou le type avec une arme, et les autres auront plutôt tendance à déguerpir. Il y aussi des ennemis qui ne cherchent qu’à se défendre et qui laisseront le joueur passer s’ils ne sont pas attaqués. Bref, c’est tout une gestion intelligente de l’affrontement que propose I Am Alive et qui renforce l’aspect “survival” du jeu.

    I Am Alive, le survival ultime ?

    Il est temps maintenant de tempérer (malheureusement) tous les bons cotés du jeu car la perfection n’est pas au rendez-vous.

    Le jeu est plutôt court, environ 5h de jeu, et assez répétitif. Il n’en devient pas forcément lassant mais les mécaniques de jeu ont tendance à se répéter et il est clair que l’objectif est de ne “pas trop en donner pour un jeu à 15€”. Les puristes du genre devront choisir directement le mode de jeu “Survie”, le plus dur, sinon les items pour aider le joueur sont un peu trop fréquents et facile à avoir. Au moins, les heures de jeu sont du “vrai” jeu et ne consiste pas seulement à se refaire des passages à la chaîne pour cause d’une difficulté trop corsée. Ensuite, les graphismes sont assez moyens. Les limitations techniques sont bien gérées, la brume explique le champ de vision limité et les filtres graphiques cachent un peu des graphismes quelques peu dépassés. Heureusement les environnements variés et les effets de lumières permettent d’éviter un sentiment de lassitude durant l’aventure.

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/cb0dd-i_am_alive-ps3-05.jpg” large=”800″]
    C’est pas du Battlefield 3 niveau graphisme…

    En conclusion

    I Am Alive avait promis beaucoup, avant de tomber quasi dans l’oubli. Son retour par la petite porte du téléchargement (disponible sur le Playstation Store) aurait pu augurer un jeu bâclé mais il n’en est heureusement rien, loin de là.

    Bien que moins ambitieux que prévu, il offre une aventure prenante et bourrée d’excellente idée de gameplay, notamment dans la gestion des combats. Malheureusement trop court et très orienté “plateforme-escalade”, il en devient un peu répétitif. Mais alors que le genre “survival” est de plus en plus remplacé par “action”, il est bon d’avoir un jeu qui laisse la part belle aux fondamentaux du genre : la solitude, un monde dévasté, des armes limitées, la peur…

    # Le détail #

    Graphisme : 13/20
    Le genre “fin du monde” n’est pas le plus original mais l’ambiance générale est réussie et les filtres “crades” servent habilement à poser l’univers du jeu (et à cacher des graphismes un peu dépassé)

    Scénario : 13/20
    Du classique et de l’efficace, un héros solitaire, une famille à sauver… Rien de renversant mais pas de déception sur l’histoire.

    Jouabilité : 14/20
    Quelques couacs durant les phases d’escalade, notamment dans le choix des directions. Sinon tout est ok, Adam se contrôle sans problème.

    Durée de vie : 13/20
    Petit budget rime malheureusement avec petit jeu dans le cas de I Am Alive. Néanmoins il offre une aventure prenante et deux modes de difficulté pour les plus exigeant.

    Musique & Son : 17/20
    Toute l’ambiance sonore colle parfaitement aux situations et au genre apocalyptique. Rien de grandiose mais du très efficace.

    Néanmoins I Am Alive paie les choix d’Ubisoft à être un “petit jeu” et l’aventure, bien que courte, est assez répétitive. Mais les développeurs ont su savamment varier les situations et les environnements pour faire passer la pilule. Bref, si vous aimez le genre “survival”, c’est un jeu à essayer !

    Des visuels du jeu I Am Alive sur Playstation 3

  • La babe cosplay de la semaine #85

    Retrouvez tous les lundi matin la nouvelle babe cosplay de la semaine où se côtoient les plus belles cosplayeuses et participez au grand jeu otake : découvrez quel personnage est incarné dans le cosplay ! Poster votre réponse dans les commentaires !

    Pour cette semaine :

    Pouvez-vous retrouver quel personnage de jeux vidéo se cache derrière ce cosplay ?

    Réponse : dans les commentaires… dimanche prochain ! 😉

    A la semaine prochaine !

  • Le wallpaper calendrier de juin 2012

    Le wallpaper calendrier de juin 2012

    Fond d’écran spécial Casshern Sins pour juin !

    en 1024*768 / version Ipad:

    Le Wallpaper Calendrier de juin 2012


    Les tailles disponibles :
    Ipad / 1024×768 | 1280×1024 | 1600×1200 | 1680×1050 | 1920×1200 | 1920×1080 |
    Format sans calendrier

    => toutes les versions en .zip : Cliquer ici

    Rendez-vous le mois prochain pour un nouveau wallpaper.

    Bon mois à tous !

  • Court métrage Metro : Last Light

    Court métrage Metro : Last Light

    La suite de l’excellent FPS Metro 2033 continue son petit chemin dans le monde de la promotion avec un court métrage de toute beauté.

    Metro : Last Light nous ramènera dans les décombres d’un Moscou post guerre nucléaire où les survivants ont trouvé refuge dans les tunnels du métro. Pour marquer le coup, THQ a dévoilé un court métrage situé en 2013, date de l’attaque nucléaire qui a condamné tous les moscovites à vivre sous terre. Pas de sous titre et du pur russe pour la vidéo, comme pour les hardcore au réalisme qui pouvait déjà jouer en russe sans sous titre dans Metro 2033, bref, ambiance, ambiance :

    Court métrage : Metro : Last Light
    [FMP poster=http://www.aviscritique.com/wp-content/uploads/2012/05/metro_fr_thumb4.jpg width=”600″ height=”420″]https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/fc9f9-metro_fr.mp4[/FMP]

    Le premier jeu Metro 2033 était directement adapté du roman éponyme de Dmitri Gloukhovski. de 2033, Last Light en reprend l’univers, les héros et se veut une suite directe du jeu sans pour autant être une adaptation de Metro 2034, le deuxième roman tiré de la saga “Metro” de Gloukhovski. Néanmoins ce dernier est associé à la création du jeu afin de garantir un univers authentique et proche des attentes de l’auteur. C’est que le succès du premier jeu le devait surtout à son ambiance incroyable, suffocante et tripante entre gaz radioactifs, hallucinations visuelles et sonores et fusillades.

    Artyom sera de la partie dans cette suite qui semble, pour le moment, délaissé l’horrifique au profit de l’action. En esperant qu’on retrouve toute de même le charme du premier volet dans cette suite. Prévu sur PC, Playstation 3 et Xbox 360 pour janvier 2013, ambiance, ambiance une fois de plus !

    Des visuels du jeu vidéo Metro : Last Light

  • Capcom fête Resident Evil dans un hôpital fantôme

    Capcom fête Resident Evil dans un hôpital fantôme

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/2263c-resident_evil_envrai.jpg” large=”190″ align=”left”]Si vous êtes de passage dans le quartier Shibuya à Tokyo du 19 juillet au 31 août prochain, profitez-en pour faire un tour dans l’hôpital Resident Evil ! Cet hôpital désaffecté a été relooké pour l’occassion afin de correspondre aux standards horrifique de Resident Evil et de proposer un jeu interactif aux courageux qui s’y aventureront.

    Pour le prix d’un ticket (32€ en pré-commande et 37€ sur place), le visiteur devra s’enfuir de l’hôpital sans se faire avoir par les zombies et autres saletés qui infestent l’endroit. La société derrière cette animation, Scrap, est spécialisé dans le genre et a déjà signé entre autres l’attraction “Evangelion: Kieta Pilot no Nazo” à Tokyo ou encore “The Real Escape Game: The Escape From The Werewolf Village” à San Francisco.

    Un site web a été lancé pour l’opération : BioHazard – The Real Escape Game

    Et si vous vous demandez ce que peut bien être un “real escape game”, Scrap a pensé à vous en vidéo :

  • Les enfants Loups de Hosoda en France

    Les enfants Loups de Hosoda en France

    Bonne nouvelle pour les fans de Mamoru Hosoda qui attendait une sortie de Okami Kodomo no Ame to Yuki en France, c’est confirmé ! Kaze sortira le film le 29 août 2012 au cinéma et en profite pour dévoiler le titre français : Les enfants loups – Ame et Yuki.

    Le site officiel français vient d’ouvrir ses portes sur ce lien.

    Pour un aperçu en vidéo, je vous invite à revoir cet article ici qui contient une bande annonce japonaise du film.

    L’histoire :
    Hana et ses deux enfants, Ame et Yuki, vivent discrètement dans un coin tranquille de la ville. Leur vie est simple et joyeuse, mais ils cachent un secret : leur père est un homme-loup. Quand celui-ci disparaît brutalement, Hana décide de quitter la ville pour élever ses enfants à l’abri des regards. Ils emménagent dans un village proche d’une forêt luxuriante…

    A noter que le film sera diffusé en avant première mondiale le 25 juin 2012 à l’UGC CINÉ CITÉ LES HALLES à Paris en présence du réalisateur et d’une partie de l’équipe du film. Le film sera également diffusé durant le Festival d’Annecy lors d’une soirée spéciale le mercredi 6 juin 2012.

  • Kojima confirme une suite à Zone of Enders

    Kojima confirme une suite à Zone of Enders

    C’est lors d’une soirée spéciale que Hideo Kojima a confirmé la suite de son jeu Zone of Enders. L’annonce a été faite durant une nuit spéciale consacrée à la compilation Zone of Enders HD qui regroupe les deux premiers opus de la série sauce HD.

    Voici les premières photos des artworks de Zone of Enders 3 (source)

    Zone of Enders est un jeu vidéo futuriste où le joueur pilote un mecha et combat dans une guerre qui oppose les colonies spatiales, les Enders, à la Terre. Les deux premiers volets de la série sont sortis respectivement en 2001 et 2003 sur Playstation 2. Courant 2012, une version “HD” de ces jeux avec un bon coup de polish sur les graphismes sortira sur PS Vita, PS3 et Xbox 360.

    Aucune date n’a été communiqué concernant Zone of Enders 3.

  • La babe cosplay de la semaine #84

    Retrouvez tous les lundi matin la nouvelle babe cosplay de la semaine où se côtoient les plus belles cosplayeuses et participez au grand jeu otake : découvrez quel personnage est incarné dans le cosplay ! Poster votre réponse dans les commentaires !

    Pour cette semaine :

    Pouvez-vous retrouver quel personnage de jeux vidéo se cache derrière ce cosplay ?

    Réponse : dans les commentaires… dimanche prochain ! 😉

    A la semaine prochaine !

  • The Last of Us : nouvelle bande annonce

    The Last of Us : nouvelle bande annonce

    Lâché il y a quelque jours, une nouvelle bande annonce pour le jeu vidéo The Last of Us vient chatouiller nos rétines. Intitulé “The Sky Has Turned Grey”, la vidéo montre une embuscade où nos deux héros vont allègrement tomber.

    The Last of Us : The Sky Has Turned Grey
    [FMP poster=https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/b0405-lastofus_ba2_thumb2.jpg width=”600″ height=”420″]https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/50ed9-lastofus_ba2.mp4[/FMP]

    The Last of Us est la prochaine grosse sortie de Sony sur la Playstation 3. C’est son studio chouchou, Naughty Dogs (la série Uncharted), qui se charge actuellement du développement de ce survival-horror où se mêlent combat contre des monstres et les humains survivants.

    Le jeu est attendu pour début 2013.