Category: Actualité

  • Remake de Kanon : La deuxième bande annonce

    Remake de Kanon : La deuxième bande annonce

    Kyoto Animation a en charge le remake de Kanon (cf mes sujets ici et là). La série devrait rester la même en dehors d’un vigoureux et salutaire dépoussiérage concernant son graphisme et son animation.

    La série est prévue en octobre au Japon. En attendant, voilà la deuxième bande annonce qui confirme qu’à défaut d’être original, le remake de Kanon redonnera une deuxième jeunesse à cette tendre histoire. Âmes sensibles, prévoyez les mouchoirs (^_^)

    La bande annonce:

    Sources:
    Anime News Network[us]
    Le site officiel [jp]

  • Byousoku 5 Centimeter

    Byousoku 5cm

    Voilà une excellente nouvelle qui pointe : Le nouveau projet de Makoto Shinkai est prévu pour le printemps 2007.

    Byousoku 5cm
    Byousoku 5cm
    Makoto Shinkai ou comment rendre beau un décor banal

    Pour informations, Makoto Shinkai est un japonais autodidacte qui a accouché en 2002 du court métrage «Oshi No Koe». Entièrement réalisé par ses propres moyens, il avait fait sensation par la beauté du graphisme et son excellente utilisation d’effets de couleurs (saturations et lumières). En 2004, il avait confirmé tous les espoirs avec “Kumo no Mukou, Yakusoku no Basho“. Associé à une petite équipe (Comix Wave), Makoto Shinkai avait alors réussi à encore pousser davantage la qualité de son graphisme tout en réussissant presque sans fautes le saut au format long métrage.

    Byousoku 5cm
    Byousoku 5cm

    Les fans, dont je fais partie, seront donc ravis d’apprendre l’arrivée de Byousoku 5 Centimeter (5 centimètres par secondes) pour le premier semestre 2007. Le film regroupera 3 histoires, « Oukashou », « Cosmonaut » et “Byousoku 5 Centimeter”.

    Pas plus d’infos pour le moment au sujet de l’histoire. Pour les fondus d’anecdotes, le titre “5 cm par secondes” serait la vitesse de chute d’une fleur de cerisier (haaa bé, on est moins con maintenant…)

    Néanmoins, une bande annonce au format révoltant (1200×720, ça a fait crasher mes players autres que wmp10) nous offre un superbe visuel. Dommage que pour le moment, le style graphique ne semble pas avoir beaucoup évolué depuis Kumo no Mukou.

    A suivre.

    Sources : Anime News Network et Le site officiel [jp]

  • Coyote Ragtime Show : La bande annonce

    Coyote Ragtime Show : La bande annonce

    Un peu de fainéantise ce soir avec une simple bande annonce.

    Il s’agit de la série Coyote Ragtime Show du studio UFO TABLE.

    La série me fait bizarrement penser à Futakoi Alternative (du même studio), sans doute parce que les principaux sujets de discussion que j’ai pu voir sur cette série reposent sur la (désormais célèbre) attaque de maid armée de carabine M1 et parachutée en plein milieu d’une baston. Hem… avec un buzz comme ça, ça fait rêver. Futakoi Alternative tournait bien autour du fantasme de sœurs jumelles (adolescentes ?) amoureuses du héros alors pourquoi pas des soubrettes commando ?


    Papy fait de la résistance

    Vous avez dit maid ?

    Sinon l’histoire de Coyote Ragtime Show semble quant à elle tourner autour de gros méchants (vraiment vils) et des gens gentils (ils sourient, ils font des blagues et leurs seins sont plus gros). Ca ne flirte pas avec l’originalité, m’enfin, on commence à être habitué. Pour les curieux je vous renvoie à la présentation du premier épisode chez Matt :

    Note Erratum : Mes sources ont été mise à jour et la série ne semble finalement pas licenciée en France pour le moment. La diffusion du premier épisode en partenariat avec Dybex lors de la Japan Expo semble donc se borner à un simple droit de diffusion et non à une licence d’exploitation. Je m’excuse pour l’erreur et je serais plus vigilant désormais !


    Des visuels de Coyote Ragtime Show

    Maintenant, instant détente, une grosse bande annonce pour se faire une idée de la série:
    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=sP-UEzGrXvw?rel=0&w=600&h=480]

  • Road trip au pays du mangasse

    Road trip au pays du mangasse

    Haha, enfin du dogfood à se mettre sous la dent.

    Et c’est grâce à la prose superbe de néo Libération (exit Serge July) que je vous parle d’un article assez ridicule mais qui n’en reste pas moins drôle. (Au passage, extension d’un commentaire de chez Matt’)

    L’article en question relate donc la fugue de deux adolescentes de 16 ans, Lorie et Jennifer (si si, c’est pas une blague) parties en train via l’Europe et la Russie, direction : Le pays du manga !

    L’article, émouvant de niaiseries et de préjugés nous croque deux gamines fans de Naruto, One piece (par içi la soupe populaire !) qui rêvaient d’aventures et de mangasses (sic). Comprenez bien ma bonne dame, tout est mieux là bas « pour nous, Tokyo, c’était en fait un Paris mais avec plein de Japonais, y sont plus beaux ». Que voulez-vous répondre à deux filles qui vous disent ça en vous regardant droit dans les yeux ?

    Passons sur l’histoire de la balade des deux fugueuses (pour les sensibles, je précise qu’il n’y a pas eu de finish à la Clamp, tout le monde est rentré vivant chez soi) pour nous attarder sur le traitement journalistique de l’évènement.

    L’article mixe pèle mêle le « nu métal », le manga, MSN, les blogs de djeunz et la niaiserie des gamines pour nous sortir un portrait de la finesse d’une tôle d’un panzer. Le discours tenu par les deux filles n’est pas très neuf, j’ai souvent constaté sur des forums de fan des « ralentis des synapses » pour qui manga = cool donc Japon / japonais / Jpop / Iro Hito et le modèle social nippon = cool (forcément). Le délire est parfois poussé un peu loin avec des trips genre : « je veux vivre au Japon », « me marier avec une japonaise » , « manger des ramens » and so on…

    Bref, j’ai depuis longtemps abandonné ma lutte contre ces idiots du village qui tirent des conclusions générales d’aspects particuliers (je suis un défenseur du holisme, désolé) mais je trouve que Libé se fait quand même bien plaisir avec les raccourcis faciles.

    Je sens que les fans de manga et d’anime vont encore passer longtemps pour des dégénérés n’ayant pas fini leur croissance mentale :
    – « Quoi ? Tu regardes encore des manga ? C’est pour les gosses ça ! »
    – « C’est pas un manga, C’EST UN ANIME !!! A-NI-ME !! CA BOUGE, OK ?!!! LES MANGAS NE BOUGENT PAS, BORDEL !! »


    ANIME ! ON DIT ANIME !!!

    Pétage de durite…

    Source : Libération.com

  • Magnum s’expose sur Magnum in Motion

    Magnum s’expose sur Magnum in Motion

    S’il est une légende dans l’univers des reporters photos, c’est bien l’Agence Magnum. Cette « coopérative photographique » a vue le jour en 1947 de par l’impulsion de Robert Capa, David Seymour, Henri Cartier-Bresson et George Rodger. L’idée était de permettre aux photographes et journalistes de conserver les droits d’auteurs sur leurs photos. Cette liberté nouvelle a attiré les plus talentueux photographes du monde et a rapidement hissé l’Agence Magnum au rang d’institution.

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    Si je me permets de disserter sur l’Agence Magnum, c’est que cette dernière a lancé, voilà un mois, le site Magnum in Motion. Le principe est d’offrir un véritable espace d’expression aux œuvres de ses photographes et de ne plus les limiter à la simple vitrine du site officiel de l’Agence.

    Magnum in Motion présente des « essais interactifs » regroupant sur un thème donné des dizaines de photos, de la musique, de la vidéo et les commentaires du photographe. Le résultat est tout simplement extraordinaire. J’ai rarement vu utilisation plus intelligente des outils multimédias actuellement disponibles. Aux travers de ses commentaires, le photographe installe un contexte, une époque et une ambiance qui vous livre toute la puissance des clichés. Les photos s’en trouvent complètement transcendées et on redécouvre notre histoire contemporaine sous l’éclairage des instantanés.

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    Personnellement, je ne peux que vous inviter chaudement à plonger dans ce délice photographique croquant notre siècle dans ce qu’il a de beau, de triste et d’affreux, du Japon à Cuba en passant par la mort de JFK, une vraie leçon d’histoire magistrale.

    Si vous ne deviez en voir qu’un seul, je vous recommanderais « Chernobyl Legacy » de Paul Fusco. Le photographe livre un témoignage d’une force rare (parfois un peu à la limite du larmoyant) mais qui dénonce l’horreur de la catastrophe avec une telle justesse que vous en sortirez forcément ébranlé.

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    Bon, j’arrête les superlatifs et je vous invite à vous donner une bonne claque culture par ici.

    Sources : Magnum in Motion & le site de l’agence Magnum.

    Merci à Killy pour l’info.

    Quelques clichés :

  • Le fond d’écran calendrier de juillet 2006

    Le fond d’écran calendrier de juillet 2006

    Une fois n’est pas coutume, me voilà en retard pour annoncer le début du mois de juillet avec mon wallpaper calendrier.

    Bonnes vacances à tout ceux qui en ont (ordures !!!) et bon mois de juillet en compagnie de Boulet (^_^)

    Le fond d’écran calendrier de juillet 2006

    Hem, maintenant, ma newsletter à la bourre…

  • Une date pour le Chevalier d’Eon

    Une date pour le Chevalier d’Eon

    Enfin des nouvelles concernant Chevalier d’Eon, la nouvelle série de Production IG .

    Le site officiel a été mis à jour aujourd’hui et on apprend que cette série de 24 épisodes sera diffusée au Japon à partir du 19 août prochain.

    Quelques visuels

    A la réalisation, on retrouvera Kazuhiro Furuhashi (« Gunslinger Girl » –arg-, « Get Backers » –sic- ou « Zipang » –sob- ) et au chara-design on a Tomomi Ozaki (« Eureka 7« ).

    Niveau musique, on apprend que l’opening « Born » sera chanté par Miwaku Okuda (thème « Shizuku » de « GTO« ). L’ending « Over Night » sera interprété par Aya déjà à l’origine du thème de fin de « Neon Genesis Evangelion » !

    Quelques goodies / Wallpaper pas très intéressants à se mettre sous la dent sont disponibles sur le site, en attendant.

    Rendez-vous en août pour voir ça !

  • Origine au cinéma

    Origine au cinéma

    C’est aujourd’hui la sortie nationale du film Origine.

    En gros flemmard, je balance une tonne d’images et la bande annonce en français, pour le reste, vous savez où est le cinéma.

    La bande annonce en français

    L’orgie de photos

  • Nanaka 6/17

    Nanaka 6/17

    Année: 2003
    Studio: JC Staff
    Genre: Comédie dramatique
    Manga original: Ken Yagami

    Histoire :
    Nanaka Kirisato est une lycéenne de 17 ans studieuse, rigide voire même psychorigide. Son coté pimbêche lui a mis à dos toute la classe et elle n’a guère de camarades en dehors de son ami d’enfance Nenji Nagihara. Ce dernier se détache peu à peu d’elle, préférant les bagarres au cours, provoquant du coup l’exaspération de Nanaka. Un soir, après une énième bagarre impliquant Nenji, les deux amis se disputent violemment. Nanaka fait alors un grave malaise. A son réveil, elle souffre d’un trouble de régression mentale et se retrouve avec son esprit d’enfant de 6 ans…

    Avis :
    Voilà une vieille série datant de 2003 que j’ai enfin pu visionner. Nanaka 6/17 est un pur produit de série TV à la japonaise à savoir un mix de running gags vraiment lourdingues, de passages tous tristes et de moments de franches rigolades. Nanaka est donc projetée de ses 17 ans de lycéenne bosseuse et chiante à celui de gamine fan de dessin animé, spontanée et sans soucis (d’où le « 6/17 » du titre).

    Le thème abordé ici par JC Staff est le classique de l’enfance perdue à vouloir pousser trop vite, à rejeter la faiblesse et les hésitations de l’adolescence (thème très japonais de la névrose de l’ultra performance à tout prix). Le chara design de Nanaka est exemplaire pour servir ce thème, le passage des 6 au 17 ans est d’ailleurs très bien géré et vous ne pourrez guère résister à sa bouille craquante de gamine fan de Magical Domikaru (un clone de Gigi). Dommage que les autres personnages n’aient été aussi soignés et servent plus à décorer (quand ce n’est pas à remplir des épisodes…). L’animation subit le poids des années mais restent néanmoins plutôt bonne (comprendre : vous ne serez pas gêné par ce détail pour apprécier la série) et le design global compense finalement ces petites faiblesses.

    Des visuels de Nanaka 6/17

    Concernant le scénario, je dois nuancer ma critique. Oui, j’ai apprécié Nanaka 6/17 car la série sait être assez originale, plutôt drôle sans pour autant être un salmigondis de gags délirants et absurdes. Elle propose un récit frais (à défaut d’être neuf) et la mise en abyme de l’histoire via Magical Domikaru est très bien pensée. Pour autant, une bonne partie des épisodes auraient mérité d’être tout simplement rayé de la surface du globe ! Autant le début de la série est très bien mené au niveau de l’intrigue, autant on sent un relâchement progressif avec un afflux de personnages secondaires qui servent tout juste à faire passer le temps, distillant des gags de ci de là, histoire de pas trop montrer qu’ils sont là pour rallonger la série de quelques épisodes. C’est classique, mais ça gave toujours autant. Heureusement que quelques rebondissements vraiment inattendus rattrapent le tout et nous livre un final plutôt honnête (même si par trop étirés en longueur).

    Au final, Nanaka aurait été une petite perle au format 6 épisodes. L’histoire très sympa et son héroïne principale ultra attachante sont bien servies par une technique correcte. D’ailleurs, je précise que le doublage de Chiemi Chiba est tout simplement excellent, elle donne vraiment vie aux deux Nanaka, celle de 6 ans et celle de 17 ans. Pour autant et je le répète, sur le format 13 épisodes, la série n’épargnent pas les rallonges et atermoiements désolants, gâchant un peu le grand plaisir que j’ai pris à suivre Nanaka 6/17 .

    A noter que la série est disponible en France chez Declic Images. Le coffret de toute la série en vostf est vendu pour 18€ environ. Pas de bonus inutiles, mais un prix pour une fois correct.

  • Geek’s World

    Geek’s World

    Allez hop ce soir, je me fais un blog BD (ça faisait longtemps, bon ok, c’est un comic strip normalement, mais on s’en fout, j’appèle ça un blog BD parce que c’est à la mode !)

    Et un bon qui plus est : Geek’s World


    GEEK’S WORLD

    Bon, avec un nom comme ça, vous avez sans doute déjà une idée du thème de la BD : Le Geek ! (Vous êtes trop fort pour moi, ami lecteur )

    En partisan de la vulgarisation, découvrons la signification du terme geek :

    Un geek (terme anglais se prononçant [giik] en API) est une personne passionnée, voire obsédée, par un domaine précis. À l’origine, en anglais le terme signifiait « fada », soit une variation argotique de « fou ». D’abord péjoratif ─ son homographe désigne un clown de carnaval ─ il est maintenant revendiqué par certaines personnes.[…] Le type de geek le plus connu constitue celui des computer geeks, « mordus d’ordinateurs » ou « technophiles ». Actuellement, le mot renvoie principalement à cette acception en français […]
    Source : Wikipedia

    L’histoire :
    Geeks World narre donc l’histoire de 4 copains d’école d’ingénieur. Geeks et diplômés, ils ne veulent pas trop bosser et décident donc de créer leur start-up (le classique). Pas de pluie de K€ ni de BM Z3 pour nos héros un peu losers. Les débuts sont même assez difficiles entre la paperasse, le recrutement d’un commercial (et la découverte de ce qu’est un commercial !), ou encore la recherche de locaux pour l’entreprise. Alors qu’ils ne savent même pas ce qu’ils vont vendre, nos héros acceptent de travailler pour le Deus Ex Machina du bien aka Ultimate Goodness qui fait appel à eux pour divers jobs (hacker hotmail, révolutionner le web…). Les prouesses de l’équipe ne tardent pas alors à attirer les foudres de l’organisation secrète pour la domination mondiale…

    Avis:
    L’histoire peut paraître assez farfelue à première vue, mais en fait, c’est vraiment du n’importe quoi, parfois hilarant, souvent drôle mais toujours très agréable. Le coté loufoque est très bien géré, ça ne part pas en l’air sans raison et des gags pas toujours marrant sur le moment reviennent à des moments inattendus pour être vraiment très drôles (je fais référence à la faculté d’Ultimate Goodness de se transformer en la créature rêvée pour tout un chacun)

    L’aspect geek de la BD rassemble pas mal de clichés très croustillants sans pour autant tomber dans le catalogue poussif ni la caricature à gros traits bien épais. Bien sûr, quelques connaissances en informatique et sur le web vous permettront sans aucun doute d’apprécier certains clins d’œil (comme le tee shirt Richard Stallman que DONUT arbore dans la planche 205 : ou encore Tom qui lit le nombre de strip en hexadécimal sur la planche 200 ) mais sans que cela ne constitue un obstacle pour apprécier la BD (ou alors… moi aussi je.. non… NOOOOon!!)
    Salagir (l’auteur) est lui-même ingénieur et maîtrise donc parfaitement le sujet (et aussi la connerie mode des starts up). Cet autodidacte dessine Geek’s World depuis bientôt 3 ans maintenant à raison d’une planche tous les 3 jours (vous en avez donc 314 de retards à l’heure actuelle !). Le rythme régulier des sorties tranche agréablement avec l’instabilité des blog BD champignons en ce moment et c’est vraiment bien d’avoir sa dose de Geek’s World assurée à la fin de la semaine.

    Pour finir, un autre aspect très agréable de la BD est de voir une vrai évolution au fil des planches, autant sur l’aspect graphique que sur les personnages. On ne se retrouve pas avec une succession sans fin de planches déconnectées entre elles. Même si pas mal de gag peuvent être sorti du contexte, le dynamisme de l’intrigue vous accroche aux personnage et on se surprend rapidement à se poser des questions existentielles : la MicroSoft Girl va-t-elle parvenir à se venger ? Le blog BD de Tetris Man va-t-il avoir du succès ? Mike aura-t-il un vrai baiser de Lina ? (Celui de la planche 224 ne compte pas !)

    Bref, une BD faites par un non pro, qui assure un background et des persos accrocheurs depuis plus de 3 ans avec humour et sans prises de têtes, c’est que du bonheur.

    Liens :
    Geek’sWorld en français