Category: Animation

  • Une radio anime chez AOL

    AOL vient de lancer sur son bouquet de radio une webradio exclusivement consacrée aux bandes originales de séries d’animations japonaises. Soyons puristes et parlons d’OST pour Original Sound Track, à ne pas confondre avec les Drama (extrait de dialogue) ou des BGM pour Background music (Fond musical d’une série), fin de la parenthèse.

    webradio anime japonaise

    Quid de cette radio?

    Bon, la qualité du son est honnête, l’interface ne nécessite aucune installation (enfin, à priori) et c’est gratuit.

    Pourtant, la présence non stop du pop-up de la radio est assez agaçante surtout qu’il n’a pas l’air très copain avec Firefox (genre, mon navigateur devient instable et le CPU de mon portable monte en puissance pour simplement me connecter au serveur de radio AOL !!!). Enfin, AOL oblige, on retrouve essentiellement des musiques de séries commercialisées aux Etats-Unis, ça limite pas mal le catalogue du coup.

    Bref, je préfère continuer à aller fureter sur les serveurs shoutcast de Winamp (propriété d’AOL au passage) pour dénicher des radios “Anime”.

    Les radios AOL sont disponible sur ce site. Pour la partie Anime, c’est en bas à gauche.

  • Une date DVD pour Blood TV

    Le site de la série Blood TV a été mis à jour. On a donc droit à quelques illustrations (assez petites, dommage…) ainsi qu’une date (enfin) de sortie des DVD au Japon. La diffusion à la télévision nippone débutera en fin de semaine prochaine (le 13 octobre sur la chaine HBC) et le premier DVD est d’ores et déjà prévu pour le 21 décembre prochain. Bientôt en France?

    En attendant, voici quelques bandes annonces (format real et wmv) et quelques illustrations.

    blood tv

    Plus d’illustrations sur le site de la série

  • Final Fantasy VII: Advent Children

    Final Fantasy VII: Advent Children
    Ca vous rappelle de vieux souvenirs non?

    Année: 2005
    Studio: Square Enix
    Durée: un film de 90 minutes

    Histoire:
    L’histoire prend place deux ans après que Cloud et ses amis aient réussi à arrêter Sephiroth dans sa tentative de détruire le monde. La Shinra est en déliquescence et la population est atteinte d’une mystérieuse maladie, le Géostigma. Alors que Cloud est rongé par la mort d’Aeris, un gang fait son apparition et l’attaque. Ils veulent retrouver leur “mère”…

    Final Fantasy VII: Advent Children
    Un gros méchant en gros plan

    Avis:
    Bon, je plante le décor: j’ai aimé le jeu (comme quelques millions de joueurs), j’ai également aimé le premier film en images de synthèses Final Fantasy, the spirit within (comme quelques centaines de spectateurs). Je m’attendais donc à boire du petit lait devant ce film qui reprenait enfin l’univers de Final Fantasy VII.

    Et pourtant, au fil du film, l’ennuie s’installe. Peu de surprises viennent émailler le film, ça enchaine sur histoire à deux balles, introspection, baston, puis baston et encore baston pour finir sur introspection/baston (un combo). Bref, après le flop planétaire du premier film Final Fantasy, Square Enix a joué la sécurité en caressant dans le sens du poil le fan de la série: on retrouve donc les lieux “mythiques” du jeu (comme l’église à moitié défoncée) et même certaines musiques du jeu !!! (à noter l’excellente reprise du thème de séphiroth en métal ^_^) et les héros “secondaires” font leurs lots d’apparitions pour contenter tout le monde. Bref aucun risque sur l’historie n’a été prit et c’est bien dommage car on se retrouve avec un scénario complètement bancal. Ne reste donc que la prouesse technique et les scènes d’actions mais là aussi, ça fait flop.


    une vieille connaissance…

    Au niveau technique, ça joue les montagnes russes. On passe du très bluffant au carrément mauvais. C’est surtout frappant sur l’animation qui peut être excellente sur le mouvement des corps et des membres alors que les mains sont très mal animées! (ça saute aux yeux quand les personnages saisissent des objets). Autre point saugrenue: des détails ont été soigné (comme le reflet d’un personnage dans les lunettes rabattues sur son front !) alors que des détails “plus gros” choquent (je note la filette qui se balade avec une peluche Mog mal animée ou quand Tifa prend le bandage de Cloud, le bout de sparadrap est atrocement mal animé). Bref, ces détails agacent et empechent de pleinement entrer dans le film, surtout que l’univers manque singulièrement d’épaisseur (décors vides, ville sans âme…).

    Final Fantasy VII: Advent Children
    Les hommes de la main de la Shinra, les seuls perso un peu intéressants

    Et l’action alors? Ben là aussi c’est décevant. Je précise que j’ai trouvé le film dans sa globalité assez mal réalisé mais les scènes de combat sont sans doute l’apothéose. Les gros plans ne sont pas maitrisés et on ne fait qu’enchainer ralenti / gros plan/ caméra qui tourne de partout / plan large / ralenti / gros plan… Bref, on se perd et on décroche encore une fois…

    Final Fantasy VII: Advent Children
    Le gros méchant du film avec sa grosse épée

    Finalement, j’arrive un peu sur les genoux au bout des 1H30 du film. La déception étant vraiment à la hauteur de mon attente. Le film n’arrivant même pas à divertir son public (je ne suis pas compliqué pourtant). Je me demande si les fans y trouveront leur compte (j’ai été particulièrement choqué par l’utilisation d’arme de Final Fantasy VIII, ça casse l’univers je trouve). En tout cas, les néophytes de l’univers Final Fantasy peuvent passer leur chemin parce que pour eux le film ne présentent alors mais aucune espèce d’intêret. En effet, si pour quelqu’un connaissant l’univers, l’histoire est d’une simplicité assez navrante, le spectateur lambda a toute les chances de se perdre dans l’histoire en se demandant où il est tombé. Bref, un produit collector à réserver pour les fans intégristes.

    Perso, je retourne à mon DVD collector de Final Fantasy, The Spirits Within…

  • La fin d’Evangelion ?

    Vous connaissez sans doute (sinon c’est un tort) la série Neon Genesis Evangelion (Shin Seiki Evangelion) du studio Gainax (Fuliculi, Gunbuster…). Cette série narre l’histoire de Shinji Ikari, jeune lycéen japonais qui est un “Children”, une sorte d’élu qui pilote un énorme robot appelé “Eva”. Tandis que la ville est attaquée par des “anges”, Shinji est en plein dans sa crise identitaire d’adolescent et a de plus en plus de mal à gérer ses relations avec les autres, notamment son père qu’il déteste.
    J’arrête mon résumé assez chiche car la série exploite assez finement la fibre psychologique de ses personnages tout en mêlant références bibliques et combats de robots. Gainax signait alors en 1995 l’anté Goldorak par excellence tout en créant une référence mythique dans la japanime.

    Après 10 ans de passions déchainées notamment sur les fins controversées de la série et les multiples (infinies?) interprétation possibles, la série s’apprête à tirer sa révérence.

    The end of Evangelion ? Comme le précise le site de l’éditeur Dybex, la version originale des 26 épisodes d’Evangelion va disparaitre à la demande de la Gainax pour laisser place à la version “Remix”, présentant les épisodes en version retouchée avec un meilleur son ainsi que 4 nouveaux épisodes.

    La bonne nouvelle du coup, c’est que l’éditeur Dybex va proposer en novembre prochain des coffrets (!!) de la série originale. Quand on connait la réticence de l’éditeur à sortir des coffrets (il s’y met depuis peu), c’est plutôt une bonne nouvelle (faut encore voir les prix…)

    Les personnages de Neon Genesis Evangelion

  • Black Cat

    Encore une adaptation animée d’un manga. C’est au tour du Black Cat de Kentarô Yabuki d’être porté sur petit écran par le studio Gonzo.

    On retrouvera donc Train alias Black Cat, chasseur de primes miteux et ex tueur de la mafia affublé de son coéquipier, Sven. De son passé reste le tatouage XIII sur son corps, marque de son ancienne “activité”. Au cours d’une de ses missions, il fait la connaissance de Eve prisonnière/cobaye transformée en arme humaine. Tous trois auront fort à faire pour résoudre les missions qui leurs sont confiées tout en échappant aux tueurs de la mafia qui ne sont pas décidés à laisser le Black Cat prendre sa retraite…

    La série reprendra donc les recettes de ce shonen* par excellence. Un trailer présent sur le site officiel préfigure une série techniquement correcte et un chara design plus accrocheur que dans le manga éponyme. la première diffusion est prévu pour le 06 octobre 2005 prochain au Japon.

    A suivre.

    Cliquez ici pour voir le trailer (stream wmv)

    A noter que les onze premiers tomes de la série sont disponibles en France chez l’éditeur Glénat. La série, toujours en cours de parution au Japon, comporte pour l’instant 20 tomes.

    Black Cat anime
    On retrouve toute l’équipe, Train, Sven et Eve

    *Shonen: Manga pour garçon

    Source:
    Site officiel (jp)

  • Tôkaidô Yotsuya Kaidan

    Pour une nouvelle, c’est une sacré nouvelle relayée par le site Little Harlocks Newslog. En effet, on y apprend qu’une nouvelle série intitulée Tôkaidô Yotsuya Kaiden (“Histoire de fantôme de Tôkaidô Yotsuya”) est prévue pour janvier 2006 chez la Toei.

    So What?

    Aucune info concrète n’a pour l’instant filtré sur cette nouvelle série télé (prévu sur Fuji Télévision) en dehors de l’équipe de production… mais quel staff!!

    Au programme, deux “poids lourds” de l’animation japonaise. Au scénario tout d’abord, on retrouve Chiaki J. Konaka, plus connu sous nos latitudes pour le scénario entre autres de Serial Experimental Lain, Rahxephon ou encore Texhnolyze.

    Mais la véritable surprise réside au niveau du chara design vu qu’on retrouve Yoshitaka Amano !!! Mondialement connu (enfin, ses dessins plus que le bonhomme) avec le succès du jeux vidéo Final Fantasy, Amano reste pourtant assez discret dans le monde de l’animation. On retiendra entre autres Vampire Hunter D et le moyen métrage Tenshi No Tamago, des oeuvres graphiquement remarquables et pourtant peu remarquées.

    Bref, que du bon pour la nouvelle année!

  • Le festival G.A.M.E à Paris

    C’est le 17 et 18 septembre prochain que se tiendra le festival G.A.M.E sur le jeux vidéo, l’animation et le manga.

    Festival GAME Paris

    Présent sur les 5000m² de la Cité des Sciences à Paris, le festival propose les classiques du genre tels que les projections des nouveautés en japanime (je vous recommande à ce titre PlanetES et Azumanga Daioh) et le cosplay* mais on y retrouvera également une large représentation d’associations oeuvrant dans le milieu du manga et de l’animation. On pourra néanmoins remarquer et regretter l’absence des Amvmakers* (Bizarre que Fantasy movies n’aient pas été sur le coup) ainsi que d’une bonne partie de l’univers des fanarts (Pas d’Onigiri en vue non plus).

    Un large espace est également ouvert aux jeux vidéos avec des championnats de France de Counter Strike, Warcraft 3 et pas mal d’autres titres.

    Avis aux amateurs, ça se passe donc le week end prochain, de 10h à 19h au tarif de 10€ la journée et 15€ le week end.

    Plus d’infos sur le site du festival Game In Paris.

    ————————————
    *Cosplay: Costume Play: Des fans qui se déguisent comme leurs idoles d’animé, manga ou de jeux vidéo

    *Amvmaker: Créateurs d’AMV pour Anime Music Vidéo, des clips musicaux sur des animes

  • Melody of Oblivion

    Melody of Oblivion
    MELODY OF OBLIVION

    Année: 2004
    Genre: Heroic fantasy / Mecha / Aventure
    Studio: JC STAFF & GAINAX
    Nombre Episode: 24

    Melody of Oblivion
    Gros bras dit le héros et la chaudasse à gros seins

    Histoire :
    Le 20ème siècle a été marqué par une guerre totale entre les humains et les monstres et ce qui ont gagné… sont les monstres. Bocca est un lycéen comme les autres. Un soir, il assiste à un combat entre un guerrier et un démon. Son pouvoir se révèle alors. Lui aussi a la marque des Méros, ces guerriers qui n’ont de but que d’éradiquer les monstres.

    Melody of Oblivion
    Chez Gainax et JC Staff, on est des pros pour recycler les cellulos

    Avis:
    Alors alors alors. Faut remettre certaines choses au clair concernant Melody Of Oblivion. A la base, c’est une histoire à la noix d’héros lycéen qui doit roxxer des monstres baveux en mécha. Après le premier épisode, je suis dubitatif. Je pousse un peu. Episode 4, je tiens plus, j’éclate de rire. Episode suivant, rebelotte. La série reste sérieuse mais c’est tellement décalé, tellement con que j’éclate de rire à chaque épisode.

    De plus la série a quelques atouts sympas. La construction de la série est assez originale. Des tranches de 3 épisodes (les titres d’épisodes sont en acte). En gros, le héros arrive dans un bled, (épisode 1), y’a embrouille (épisode 2) et grosse baston (épisode 3). Puis on passe à autre chose tout en faisant avancer l’histoire générale. Bref, ça gonfle pas, ça change vite et bien.

    Melody of Oblivion
    Les démons sont nazis et la chaudasse fait son comeback

    Ensuite, la présentation des monstres est assez intéressante. Ils vivent dans des espèces de mondes parallèles et le traitement graphique de ces univers est assez sympa. Dernier point positif, le héros est assez con et tout le monde le déteste (l’épisode 3 est assez excellent, les villageois le caillaissent après qu’il les ait sauvé). Je vous préviens quand même que vers l’épisode 20, la série part ouvertement et complètement en couille assumant ex post le décalage de son univers (et là, c’est vraiment excellent).

    Bref, une série un peu nulle au premier abord mais qui recèle d’éléments à droite à gauche vraiment intéressants qui bout à bout en font une série vraiment pas mal. Enfin, Gainax oblige, la série est bourrée de fan service qui achève de semer le trouble sur cette série assez difficile à classer et à présenter. En résumé, je vous la recommande cordialement!

    Spécial fan service*
    Melody of Oblivion
    Etre Meros, c’est frotter ses flèches sur son sexe et s’enduire de vaseline (si, si)

    Melody of Oblivion
    Tandis que les jeunes filles sucent des sucettes, on voit que les egyptiens connaissaient déjà l’industrice du porn hardcore.

    *Fan Service: Passage montrant des personnages féminins nues ou très peu vêtues

  • Appleseed CG – La critique

    Appleseed CG

    Kaze a décidément le vent en poupe (jeux de mot inside =_=). Le plus ancien éditeur d’animation japonaise en France a décidé de sortir au niveau national le 31 août dernier le film Appleseed (sorti au Japon en 2004). Adaptant le manga, ce film (également appelé Appleseed CG) vous fera rapidement oublier le navrant OAV Appleseed sorti en 1988. On retrouve donc Dunan et Briareos dans les embrouilles à Olympus où la société est soit disante “parfaite”.

    Avis:
    Globalement, le film est très interessant. Techniquement, c’est très très bon. Le voir après Innocence m’oblige à relativiser mais je dois reconnaitre que certaines scènes sont bien plus belles que Final Fantasy the Spirit Within et que dans sa globalité le film est superbe (je ne généralise pas vu que j’ai trouvé des petites baisses de régimes selon les moments du film, certains étant à tomber par terre alors qu’à d’autres moments, c’était juste moyen).

    L’animation est superbe, c’est incroyable comme ça rend super bien le Cell shading mais j’ajoute quelques bémols, en effet, certaines expressions des personnages sont un peu “exagérés” et plombent un peu l’ensemble (et les mains des persos sont monstrueuses, il faut le dire).

    D’ailleurs, j’aborde là LA critique esthétique du film. Autant au niveau de l’environnement, le Cell Shading ça rend super bien avec des personnages animés avec une fluidité exemplaire, autant les expressions faciales sont d’un plat monumental. Ça rend extrêmement mal et les visages manquent cruellement d’expression. J’aurais largement préféré des personnages dessinés. Heureusement, le travail exemplaire des doubleurs japonais vient contrebalancer cette “rigidité” des personnages (je n’ai pas pu juger de la VF).

    Pour finir, l’histoire: L’univers est assez fidèle à l’esprit Shirow même s’il a fallut “allégé” les propos du mangaka (très sociopolitique) et simplifier ainsi l’intrigue. Peut-être un peu trop à mon gout, même si ça a l’avantage de rendre le film accessible à tout le monde.

    Verdict: Le film est-il bien?

    Clairement oui! Pas mal orienté action, on ne s’ennuie à aucun moment, la réalisation est au poil, la technique est bluffante (malgré les perso en cell shading) et la musique donne un super punch à l’ensemble (contrairement à ce que j’ai pu lire à droite et à gauche, la musique “big beat” des Boom Boom Satellites collent à la perfection à l’action, donnant en plus un coté “technologique” à la ville Olympus).

    Bref, du tout bon.

    Source: www.appleseed.fr

  • Gun X Sword : du mécha et du héros taciturne

    Gun X Sword
    Gun X Sword

    Année: 2005
    Réalisateur: Goro TANIGUCHI (Planètes, Scr-y-ed)
    Studio: AIC (L’autre monde, Ah my goddess…)
    Nombre Episode: Diffusion en cours

    Gun X Sword
    Van, un héros qui fait forcément penser à Vash (Trigun)

    Histoire:
    Van n’a qu’un but, retrouver le mystérieux “homme aux griffes de fer” sans doute pour régler un vieux différent. Rien d’autre ne semble avoir d’importance à ses yeux et il fait mine de se désintéresser des malheurs de ses contemporains. Pour autant, lui et son epée se retrouvent bien souvent impliqués dans des combats acharnés. Heureusement que Van possède également une armure: un mecha-robot quasi indestructible.

    Gun X Sword
    Un mecha pas original

    Avis:
    Gun X Sword pourrait être un énième mécha-nanard. On n’en est pas loin d’ailleurs: le scénario est classique à souhait (haa, les mécha…) et les personnages sont stéréotypés au possible. Le héros (un clone de Vash The Stampede dans Trigun) faussement salaud mais qui sauve les gens à la fin, c’est marrant deux minutes mais ça devient rapidement lassant. J’aurais préféré un héros qui s’assume comme dans le manwha “Le Nouvel Angyo Onshi” où le personnage principal se fout vraiment des autres et ne fait pas que semblant. Pour autant, la technique n’est pas dégueulasse (au niveau animation) et le chara design est plutôt efficace (perso attachant et pas trop moche).

    Non ce qui m’a accroché dans Gun X Sword, c’est le décalage de la série. Le héros évolue dans un univers pseudo futuriste mixé à du Far West (avec tenue de cowboy ridicule de rigueur) et les combats de robots sont bref et à la limite du parodique. Dans l’épisode 2, Van se bat contre un méchant qui contrôle sa moustache! Et que dire de l’excellent épisode 3 où des héros papy montent dans leur robots Transformers pour casser la bouche à un robot à tête d’Eva! Bref, le premier degré est assez nul mais cette série me fait bien rigoler en définitive.
    J’espère que c’était le but…

    Gun X Sword
    Wendy, la gamine qui colle le héros

    La série est licenciée chez Dybex. Pas de date de sortie prévue.