Category: Jeux Video

  • [Test] The Elder Scrolls V : Skyrim [PC]

    [Test] The Elder Scrolls V : Skyrim [PC]

    Bordeciel est en émoi, les Sombrages font le coup de force contre l’Empire et poussent les nordiques à se rebeller et comme si la guerre civile latente ne suffisez pas, voilà que des dragons ont envahi les cieux de la région. Vous, aventurier intrépide aux gros muscles, êtes la solution en ces temps sombres, vous êtes un enfant de dragons, un tueurs de lézards volants géant. Prenez vos bottes et votre masse, y’a du crane à fendre !

    Skyrim, joliment traduit en Bordeciel, pose le tableau : nature hostile, région vaste à explorer en toute liberté, troubles politiques et dragons à fracasser : le cocktail est explosif, jouissif, ultime et pose le cinquième volet des aventures en Tamriel comme un incontournable pour tout amateur de jeu de rôle.

    Petit rappel des faits : La saga “The Elder Scrolls” a débuté en 1994 avec The Elder Scrolls: Arena et depuis le deuxième opus, à chaque jeu, le joueur visite une région particulière du monde de Tamriel. La Baie d’Iliac dans le 2, Morrowind and le 3, Cyrodiil dans le 4 et enfin Bordeciel dans le 5.

    Le jeu est plus Action-RPG que pur RPG. On n’incarne qu’un seul héros, pas d’équipe. La vue est à la première personne, façon FPS. Enfin, les arbres de compétences sont délaissés, le joueur progresse dans ses pouvoirs par la pratique : au plus vous faites de la magie, au plus vos pouvoirs augmentent, au plus vous castagnez, au plus vous devenez fort. Au final, les puristes peuvent hurler au scandale, mais pour le joueur, vous pouvez accoucher du grosbill ultime, défonçant les trolls au marteau de guerre, invoquant des démons du plan d’Oblivion et pouvant ouvrir toutes les serrures du monde.

    Autre trait de la série : la liberté ultime laissée au joueur. Après un cours tutoriel dirigiste, le jeu laisse le joueur dans la nature, libre d’aller à droite ou à gauche, de faire telle ou telle quête, d’explorer une ville avant une autre.
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    The Elder Scrolls V : Skyrim vous laissera donc le choix de prendre parti pour le camp des Sombrages ou des Imperiaux. En revanche, niveau dragons, pas le choix, faut les tataner sévère. Il y’a aussi pléthore de factions et guildes à rejoindre avec le lot de mission qui va avec (les assassins avec la Confrérie Noire, les Sombrages, les Compagnons, sorte de guilde des guerriers, la guilde des voleurs, les Impériaux…).

    En terme de progression de personnage, les signes du zodiac et les classes passent ici à la trappe. On retrouve tout de même un système de “constellation” qui permet de débloquer des pouvoirs précis dans 18 compétences : Par exemple, si vous marchandez beaucoup, votre “éloquence” progressera et dans la “constellation” lié à cette compétence, vous pourrez débloquer des pouvoirs comme investir dans un magasin ou vendre plus cher vos objets.

    Dans Oblivion, le système de ‘level automatique‘ pourrissait le plaisir de jeu. Il faut comprendre par là que les ennemis dans le jeu voyaient leur niveau et équipement progresser au même rythme que le joueur. Donc au début du jeu, il n’y avait que des bandits en armure de cuir qui valait 3 pièces d’or pour finir sur des guerriers en armure de verre ultra chère. Le jeu devenait ainsi déséquilibré.Ce problème a été résolu dans Skyrim avec un leveling automatique plus long et qui ne concerne plus l’équipement.

    Des talents ont disparu, comme acrobatie, et il n’est plus possible de créer ses propres sortilèges. La compétence Armurier a disparu, les armes ne s’abiment plus, en revanche, le rôle de forgeron fait son apparition avec tout un lot de compétence : améliorer son armure, transformer le minerais, créer des bijoux et des armes.

    Le monde de Bordeciel est vaste et extrêmement vivant. Il y a en tout neuf châteaux avec neuf iarls et autant de magasins, auberges, complots et missions à découvrir. Tous les personnages ont des rôles, des vies, une petite phrase pour vous. Vous pouvez parfois surprendre des discussions, parfois des disputes entre personnages sans que cela impacte votre mission; le monde que vous parcourez semble réellement vivre et vous n’en êtes qu’un simple élément. Les dialogues sont tous en français et “parlés”, seules vos réponses passent par un menu textuel ce qui renforce l’immersion.

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    Les auberges sont le coeur du village, à la nuit, les marchants et aventuriers s’y retrouvent, écoutent le barde autour d’une chope d’hydromel

    Et d’une manière générale, la liberté d’action est totale. Vous arpentez les plaines avec votre cheval, vous apercevez un campement. Hop, vous mettez à terre, vous approchez furtivement, l’arc déjà bandé. Vous apercevez un premier bandit, toujours caché, vous l’abattez d’une flèche bien senti. Son pote se réveille, vous voit et fonce. Vous armez votre bouclier et votre épée et lui éclatez le crane. Vous fouillez le campement des bandits errants, enfourchez votre cheval et continuez votre quête. Pareil pour les grottes… une grotte perdue = du monstre à éclater et du loot sans que cela s’inscrive forcément dans une quête. Fouiller, explorer, tataner sont les maitres mots dans The Elder Scrolls.

    Dans Skyrim, on retrouve les classiques : acheter une maison, arpentez les plaines avec son cheval… mais aussi quelques nouveautés comme le mariage !

    Niveau graphisme, le jeu re-recycle le moteur de Fallout 3 (déjà recycleé de Oblivion) tout en le poussant sur certains effets : lumières, brume, brouillard et tempête de neige apportent plus d’angoisse et de mystère à Bordeciel. Le jeu est beau sans être une claque visuelle mais là où le studio Bethesda Softworks se rattrape, c’est dans la direction artistique : chaque ville a son cachet, son ambiance, typiquement “nordique” dans son architecture.

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    Niveau sonore, on retrouve l’excellence d’Oblivion : le vent vient caresser les arbres qui bougent doucement, la musique discrète et poétique en phase d’exploration devient explosive et prenante lors des combats. C’est juste du grand art.

    Mais tout serait-il donc parfait dans The Elder Scrolls V ? Hélas non : L’interface est une merde infâme. Elle a l’avantage d’être dépouillée et plutôt claire mais la sélection des objets et même des phrases de dialogue, héritée de la version console, mixe clic et déroulement. Du coup, il n’est pas rare de se rater, cliquant sur un item mais activant celui sélectionné par le déroulement… lourdingue et vraiment dommage, devant le sans faute sur tous les autres points.

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    Attention à bien cliquer sur la phrase surlignée, sinon c’est le drame…

    En conclusion

    5 ans après Oblivion, The Elder Scrolls revient en force. J’avais juré de ne pas y toucher, ayant cramé 130h de vie sur Oblivion… mais les bons souvenirs des aventures en Cyrodiil ont été les plus forts et dès la première heure passée en Bordeciel, j’étais conquis : tout était là… en mieux ! On pourra pester contre l’interface ou les graphismes, en deçà des standards actuels, mais le plaisir de jouer à Skyrim se situe au delà : la découverte, la liberté, les combats en vue subjective qui vous mettent dans la peau de votre héros… Bethesda nous invite à un formidable voyage, long et intense, il serait dommage de rater ça !

    # Le détail #

    Graphisme : 15/20
    Le level design et l’architecture sont superbes, alternant montagnes, plaines, neiges, forêts, rivières, villes détaillées… tout y est. Les donjons sont mieux construits et bien plus intéressants que dans Oblivion. Enfin les personnages sont bien détaillés et tous différents physiquement. Reste la qualité des graphismes dans leur ensemble, en deçà des standards du moment.

    Scénario : 15/20
    La trame principale est épique et tuer des dragons est plus qu’exaltant. Les quêtes annexes, en général assez classique, ont l’avantage d’être bien calibré et pas trop longue, évitant l’ennui.

    Jouabilité : 14/20
    Au niveau des commandes, tout répond nickel. L’interface héritée des versions console en revanche se révèle peu pratique et source d’erreur.

    Durée de vie : 20/20
    Note maximale vu l’ampleur démentielle du jeu : comptez 20h pour la trame principale, rajoutez-en une centaine pour boucler toutes les quêtes et explorer chaque m² de Bordeciel.

    Musique & Son : 17/20
    Très bon doublage français (même dans les chansons de barde !) et musique envoutante, signé Jemery Soule, déjà à l’oeuvre sur Oblivion et Morrowind. Les bruitages sonnent justes et bien, un sans faute.

    Note Globale : 18/20
    Une aventure équipe, longue et intense; un monde magnifique et sauvage à explorer; un système de progression généreux… tout est là pour combler les amateurs d’aventure et de castagne, un régal !

    Des visuels de The Elder Scrolls V : Skyrim

    Configuration de test :
    Processeur : Intel I7 920
    Carte graphique : ATI Radeon HD 5870
    RAM : 6Go DDR3
    OS : Windows 7

  • La babe cosplay de la semaine: n°59

    Car il n’y a rien de plus beau qu’un cosplay réussi et que cela mérite d’être connu. Je répare cette injustice et publie ici les plus belles filles en cosplay.

    Retrouvez tous les lundi matin la nouvelle babe cosplay de la semaine.

    Pour cette semaine :

    Pouvez-vous retrouver quel personnage de jeu vidéo se cache derrière ce cosplay ?

    Réponse : dans les commentaires… dimanche prochain ! 😉

    A la semaine prochaine !

  • [Test] Dead Rising 2 : Off The Record [PC]

    [Test] Dead Rising 2 : Off The Record [PC]

    Avec la sortie de Dead Rising 2, Capcom portait enfin le jeu ultime de zombie bashing sur les plateformes de jeu PC, Xbox 360 et PS3.

    Rebelote un an plus tard avec Dead Rising 2 : Off The Record.
    Capcom prend Frank West, le héros du premier Dead Rising, les éléments de gameplay et l’univers de Fortune City de Dead Rising 2, met le tout dans un shaker et nous pond Dead Rising 2 : Off The Record.

    Relecture de Dead Rising 2, Off The Record offre une nouvelle version de l’invasion zombie de Fortune City. Fini le héros papa protecteur du précédent opus, on retrouve le journaliste en manque de scoop Frank West. Complètement has been, ce dernier espère se refaire une célébrité en déjouant le complot ourdi par T.K, le grand méchant du jeu.

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    Le retour de Frank West, le reporter-tataneur de zombie

    Pour le jeu en soi, on a droit à un copier / coller de Dead Rising 2.
    Notre héros devra faire des aller / retour depuis le bunker et les zones infestées afin de démêler les fils de l’intrigue et accessoirement sauver les survivants piégés… le tout en 75h, avant que l’armée ne viennent “nettoyer” la zone.

    Le jeu mêle donc exploration, creep d’XP pour gagner des niveaux et missions à remplir. Pour tuer les zombies un peu trop collant, Frank pourra assembler des objets afin de les transformer en arme redoutable. Un balai et une machette deviennent un puissant coupe-coupe, une pagaie et une tronçonneuse, un fauteuil roulant et une batterie électrique… plus de 40 “cartes combo” sont ainsi disponibles sans compter de nouveaux combo spéciaux et exclusif à cet opus.

    Avis :
    Niveau technique, le jeu est moyen. La finesse des graphismes est ici sacrifiée au profit du nombre de zombie affichés à l’écran qui peut parfois être gargantuesque. Néanmoins, le soft ne se prive pour quelque baisse de framerate assez pénible lorsque l’écran est trop rempli.

    Pour le gameplay, on retrouve ici les bonnes mais aussi les mauvaises idées de Dead Rising 2. L’inventaire est toujours aussi bordélique, à mélanger armes, items de vie et items de bonus (journaux). Dans le feu de l’action, cela devient brouillon de switcher entre plusieurs objets inutiles avant d’avoir l’arme souhaité. De même, la gestion des rescapés est toujours aussi pénible. Les survivants sont invités à suivre Frank jusqu’au bunker, une icône en bas de l’écran indique ainsi où se trouve le suiveur. Le problème vient alors dans les changements de zone avec chargement, si le NPC n’est pas assez proche, il restera bloqué dans l’autre zone et se fera bouloter par du zombie en manque de chair fraiche, lourd… il faudra donc revenir en arrière (chargement) puis reprendre la porte avec lui (re-chargement)

    Néanmoins la jouabilité reste bonne, surtout avec une manette qui se respecte et Frank répond au doigt et à l’oeil.

    Non, le principal problème de cette opus Off The Record reste cette fameuse “relecture” des évènements.

    Capcom n’a pas jugé bon de changer grand chose dans l’histoire, quelques cut-scènes sont ainsi modifiés mais la plupart des rescapés, des dialogues, des boss et des personnages secondaires sont exactement les même que dans Dead Rising 2. On se croirait dès lors avec un simple skin modifié, changeant Chuck Greene (Dead Rising 2) en Frank West.

    Pour faire passer la pilule, il y a bien Uranus, une nouvelle zone dédié à un parc d’attraction dédiée à la S.F, il y a aussi de nouveaux combos… mais non, le sentiment d’être devant un Super Dead Rising 2 turbo prime ne s’estompe pas, et on a bien l’impression que Capcom se moque un peu du joueur en sortant un jeu à peine digne d’un DLC.

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    C’est la teuf à Uranus, le parc trop space

    En conclusion

    Bilan mitigé et rendez-vous manqué par ce “Off The Record”. Le retour de Frank West, héros du premier opus, est appréciable. La nouvelle zone disponible apporte son lot de nouveautés.

    Néanmoins, on reste sur sa faim et on ne peut que pester en retrouvant les lourdeurs de gameplay déjà présente dans le précédent volet. Le travail à minima sur le jeu laisse perplexe : pourquoi ne pas avoir ajouté ces “bonus” dans un DLC payant ? Les mauvaises langues pointeront ici une affaire de fric, il vaut sans doute mieux vendre un jeu à peine amélioré 30€ qu’un DLC à 20€.

    En bref, si vous n’avez jamais touché à Dead Rising 2, ce jeu reste un très bon compromis, extrêmement fun et décalé qui vous occupera des dizaines d’heures. Pour les possesseurs du précédent volet, il n’y a vraiment aucune espèce d’intérêt à acheter Dead Rising 2 : Off The Record à moins que vous ne soyez un fan inconditionnel de la série ou un collectionneur.

    # Le détail #

    Graphisme : 12/20
    La note baisse par rapport à Dead Rising 2 sorti il y a déjà un an vu que rien n’a changé à ce niveau.

    Scénario : 05/20
    Un copier/coller du précédent volet qui ne volait déjà pas haut.

    Jouabilité : 12/20
    Aucun changement depuis Dead Rising 2. Le héros répond bien et vous ne serez que rarement pris en défaut (fermer les portes peut parfois être dur). Néanmoins, l’ergonomie générale est perfectible. Que ce soit la sélection des missions, la lecture des dialogues ou la gestion de l’inventaire. C’est surement voulu pour “immerger” le joueur, mais ça ne reste pas moins nul et énervant.

    Durée de vie : 15/20
    Finir le jeu une première fois vous demandera une dizaine d’heure si vous alignez les missions secondaires. En revanche, avec le timer imposé, il est évident que recommencerez le jeu ne serais-ce que pour l’exploration de Fortune City et l’expérimentation des cartes combos débloquées. Un mode bac à sable permet de se balader dans le jeu sans limite de temps et de remplir des défis, amusant quelques heures mais vite lassant.

    Musique & Son : 12/20
    Musique rock et voix originales plutôt réussi. Du classique et efficace.

    Note Globale :
    si jamais joué à Dead Rising 2 : 13/20
    si déjà joué à Dead Rising 2 : 08/20

    Il faut séparer les deux cas de figure pour être honnête avec Dead Rising 2 : Off The Record, non pas que le soft soit mauvais, loin de là, mais les nouveautés sont si faibles qu’il ne peut espérer à mieux. Si vous n’avez jamais touché à Dead Rising, c’est alors un morceau de choix, dans les autres cas, attendez les promo…

    Des visuels de Dead Rising 2 : Off The Record sur PC :

    Configuration de test :
    Processeur : Intel I7 920
    Carte graphique : ATI Radeon HD 5870
    RAM : 6Go DDR3
    OS : Windows 7

  • La babe cosplay de la semaine: n°57

    La babe cosplay de la semaine: n°57

    Car il n’y a rien de plus beau qu’un cosplay réussi et que cela mérite d’être connu. Je répare cette injustice et publie ici les plus belles filles en cosplay.

    Retrouvez tous les lundi matin la nouvelle babe cosplay de la semaine.

    Pour cette semaine :

    Pouvez-vous retrouver quel personnage de drama et d’arcade se cache derrière ce cosplay ?

    Réponse : dans les commentaires… dimanche prochain ! 😉

    A la semaine prochaine !

  • La babe cosplay de la semaine: n°56

    La babe cosplay de la semaine: n°56

    Car il n’y a rien de plus beau qu’un cosplay réussi et que cela mérite d’être connu. Je répare cette injustice et publie ici les plus belles filles en cosplay.

    Retrouvez tous les lundi matin la nouvelle babe cosplay de la semaine.

    Pour cette semaine :

    Pouvez-vous retrouver quel personnage de jeu vidéo se cache derrière ce cosplay ?

    Réponse : dans les commentaires… dimanche prochain ! 😉

    A la semaine prochaine !

  • Trailer du film Phoenix Wright

    Trailer du film Phoenix Wright

    Avec moult objections tonitruantes, le film adapté du jeu vidéo Phoenix Wright sortira le 11 février 2012 au Japon.

    Une deuxième bande annonce vous permettra de profiter du look des acteurs, fidèle au jeu vidéo mais diablement kitch au final.

    Phoenix Wright – Bande annonce du film live
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    Phoenix Wright: Ace Attorney (Gyakuten Saiban) raconte l’histoire de Ryuichi Naruhodo alias l’avocat Phoenix Wright ( interprété par Hiroki Narimiya qui a joué Nobu dans le live de Nana ). Dans un Japon alternatif, le système judiciaire a opté pour un nouveau mode opératoire où le procureur et l’avocat de la défense s’opposent pendant trois jours afin de prouver la culpabilité ou l’innocence des prévenus.

    Le jeu vidéo édité par Capcom a été un grand succès sur la Nintendo DS, notamment avec son coté rocambolesque quand le héros fait des “objections” tonitruantes. Avec 6 jeux déjà sortis sur DS, la licence Phoeniw Wright se porte bien et aura même un spin-off où l’avocat sera confronté aux énigmes du monde du professeur Layton.

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    Source : Site officiel du film

  • GTA 5 de retour à Los Santos

    GTA 5 de retour à Los Santos

    Après un suspense in-sou-te-na-bleuuu, Rockstar dévoile le premier teaser de GTA 5, la licence star du studio, zeee Grand Theft Auto !

    Après les rumeurs les plus folles, l’espoir niais de voir un GTA en France (si, si, des gens y croyaient), Grand Theft Auto 5 va finalement revenir en terre connu, Los Santos, que les fans de la série avaient déjà arpenté dans GTA San Andreas. Rideau et vidéo Simone :

    Grand Theft Auto V : De retour à Los Santos
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    Comme tout bon teaser, ça ne nous apprend rien sur le jeu ni sur le héros que l’on incarnera. En revanche, ça permet d’en mettre plein les mirettes niveau graphisme avec un bon qualitatif énorme depuis GTA 4 sorti en 2008.

    L’autre bon point, Los Santos.

    En faisant référence à San Andreas aka “le meilleur GTA de tous les temps”, Rockstar caresse le fan dans le sens du poil et on peut se prendre à espérer un GTA aussi fun que son illustre ainé. En tout cas loin de l’histoire 1er degré assez boursouflé de GTA 4 (oui, désolé, GTA 4 m’a profondément ennuyé en terme d’histoire)

    Allez, reste plus qu’à attendre que ça sortie sur PC, Xbox 360 et Playstation en 2012, si possible avant la fin du monde.

    Des visuels de Gran Theft Auto 5

  • I am Alive est bien vivant

    I am Alive est bien vivant

    Le jeu de mot pourri est fait, je peux passer aux choses sérieuses.

    I am Alive était un projet de jeu “survival” présenté en 2008 par Ubisoft. En 3 ans, le projet est tombé dans la poubelle, puis dans l’oubli pour enfin refaire parler de lui récemment.

    Fini le gros projet de création de méga franchise, I am Alive revient par la petite porte, celle du jeu dématérialisé via les plateformes de téléchargement sur PC, Xbox 360 et Playstation 3.

    Quoi de neuf ? Le jeu conserve le nom de son héros : Adam, l’ambiance : mégalopole post-apocalytique et le moteur du jeu : la survie.

    I am Alive
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    Adam est donc un des rares survivants de Haventon, jadis ville rempli de building et aujourd’hui rempli de morts. Un mystérieux nuage toxique s’occupe de tuer tous êtres humains voulant se promener sur le plancher des vaches. Le salut pour les survivants passe donc par les hauteurs. Notre héros se déplace de building en building à la force de ces petits bras musclés. Ubisoft recycle donc une partie du gameplay d’Assassin’s Creed à y ajoutant la sauce survie. Car notre cher Adam va avoir fort à faire. La grimpette de building lui coutera de l’endurance qui, si elle tombe à zéro au mauvais moment, pourra placer le joueur en situation délicate, comme ne pas pouvoir s’enfuir. Idem pour sauter, courir, s’enfuir, il faudra donc veiller à ne pas trop s’exciter sous peine de tomber en rade, en général quand un des rares survivants un peu timbrés voudra occire notre cher héros.

    Exploration, recherche, gestion d’item seront donc le quotidien du joueur. Adam a quand même un but autre que la survie en soi : retrouver sa famille disparue dans le chaos de fin du monde.

    Ubisoft Shanghai a bossé sur l’IA des survivants-ennemis afin de donner un semblant de réalisme. Le joueur pourra ainsi intimider ses assaillants, soit en les menaçant d’une arme (même si elle est vide) soit en abattant le “leader” de groupe afin d’effrayer les suiveurs. Enfin, pour corser le tout, les points de sauvegarde se feront rare (proportionnellement au niveau de difficulté choisi) et il sera possible d’en débloquer en aider des NPC dans leurs quêtes… sans pour autant que cela soit obligatoire. Un moyen original de laisser le choix d’aider ou non les autres survivants sans pour autant déséquilibrer le jeu avec des items trop pipés si on les aide.

    Promis pour début 2012 à prix “raisonnable” (comprendre : autour de 20€), I am Alive pourrait être une bonne surprise si toutes les promesses sont tenues. Ambiance graphique façon “The Road”, plateforme – exploration façon Assassin’s Creed, 7h de jeu au compteur.

    Rendez-vous l’an prochain pour savoir si l’attente en valait la peine.

    Des visuels de I am Alive :

  • Le wallpaper calendrier de novembre 2011

    Le wallpaper calendrier de novembre 2011

    Et voilà votre rendez-vous mensuel avec le wallpaper calendrier du mois de novembre 2011.

    Ce mois-ci, c’est le classique Final Fantasy VII qui est à l’honneur.

    en 1024*768 / version Ipad:

    Le Wallpaper Calendrier de novembre 2011


    Les tailles disponibles :
    Ipad / 1024×768 | 1280×1024 | 1600×1200 | 1680×1050 | 1920×1200 | 1920×1080 || PSP | Eee pc| Format “nue”

    => toutes les versions en .zip : Cliquer ici

    Rendez-vous le mois prochain pour un nouveau wallpaper.

    Sur ce, bon mois à tous !

  • La Playstation Vita en France le 22 février 2012

    La Playstation Vita en France le 22 février 2012

    Voilà, c’est dit et noté, pour vous venger de votre St Valentin raté, vous pourrez joyeusement débourser 250€ pour la version wifi et 300€ pour la version 3G de la PS Vita.

    Sony avait déjà averti que les restes du monde ne poseraient pas leurs doigts impurs sur le précieux pour noël (comprendre : les japonais eux, oui), mais sans donner plus de détails. Le mystère est donc levé avec une date de sortie confirmée pour le 22 février 2012 en France.
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    Dans le line-up du père noël, on retrouve du lourd et pas que du “made in sony” :

    Uncharted : Golden Abyss
    LittleBigPlanet
    Little Deviants
    WipEout 2048
    ModNation Racers : Road Trip
    Street Fighter X Tekken
    Ninja Gaiden Sigma
    Rayman Origins

    Les japonais pourront profiter de la nouvelle console portable de Sony dès le 17 décembre 2011, de quoi avoir des retours d’expériences et pas mal de test avant l’arrivée de la console en Europe.