Category: Jeux Video

  • Battlefield 1943 – le retour aux sources

    Battlefield 1943 – le retour aux sources

    Haaaa, Iwo Jima, Guadalcanal… La guerre du Pacifique, racine de la série Battlefield, sera de retour cet été avec Battlefield 1943 remake de l’illustre Battlefield 1942. Comme son nom l’indique, on retourne en pleine 2ème Guerre Mondiale afin de se mettre joyeusement sur la gueule sur des parties online de 24 joueurs simultanément. Et comme une vidéo vaut un long discours, voilà le teaser de Battlefield 1943 :

    Alors qu’Electronic Arts peaufine son Battlefield Heroes pour cet été, voilà qu’il nous annonce ce remake un peu particulier. Premièrement, on n’aura droit qu’à 3 map (Wake Island, Iwo Jima et Guadalcanal) ainsi que 3 classes de personnages à savoir le fusilier, le mitrailleur et le sniper. Chaque classe pourra s’équiper d’une arme lourde : charges explosive, grenades ou bazooka. Exit donc la classe des médecins pourtant essentielle à toute action d’infanterie et ciao les mécano. Pire, avec l’orientation “multi plateforme” (PC; PS3, Xbox 360), le multijoueur va se limiter à 24 joueurs… on est loin des parties à 64 que permet Battlefield 2142…

    Présenté comme une “mise en bouche” en attendant Battelfield Bad Company 2 prévu pour la fin de l’année, cet opus a au moins le mérite d’en utiliser le moteur graphique. Tous les éléments du décors seront destructibles et, petite surprise, il sera possible de débloquer une option “bombardement aérien” afin de tester si justement, tout est vraiment cassables…

    Le jeu sera exclusivement vendu online à un prix qu’on nous jure “accessible”. Devant cette langue de bois classique d’EA et surtout devant les limitations du jeu (map, classe, nombre de joueurs) je ne suis pas sûr que Battlefield 1943 deviennent un incontournable de la série des “Battlefield”. A voir en juin 2009

    Source: le site officiel

  • 10 ans de Half Life, déjà…

    10 ans de Half Life, déjà…

    Half Life 10 ansEt bam le coup de vieux ! Voilà 10 ans, on trippait follement dans les couloirs de Black Mesa à dézinguer du militaire et de l’alien au beau milieu d’un foutoir général suite à une opération loupée. Gordon Freeman, le scientifique le plus célèbre du jeu vidéo, devenait alors un héros majeur et Half Life, une référence.

    Pour fêter ça, Valve vend Half Life pour 1$ jusqu’au vendredi 21 novembre sur sa plateforme de téléchargement Steam. Le moment où jamais de (re)découvrir ce jeu légendaire.

    La recette de l’époque semble aujourd’hui simple : un scénario à rebondissement, des mystères mystérieux, des retournements de situation, une IA qui tient la route et des graphismes au top. Sauf que depuis 10 ans, malgré d’excellents titres, on a rarement eu l’ensemble de ces qualités réunis dans un seul et même jeu.

    Gman Half Life
    Le G-Man, personnage mystérieux qui fait échos au Smoking Man de X-Files

    Même Half Life 2, sorti en 2003, n’a pu égaler le premier opus. Ses longs passages en véhicule et sa fin tranchée à la serpe avec un “To Be continued” en épisode payant faisaient plus penser à une suite sans prise de risque plus qu’à un véritable développement de l’univers d’Half Life. Et le scénario, volontairement flou sème plus de questions qu’il n’apporte de réponse. Bref, on sent la volonté de ne pas trop en dire pour ne pas décevoir et laisser le fan troller sur Internet.

    Half Life 2

    J’ai fait une rétrospective de 10 ans de FPS depuis Half Life. Pour moi, seul Deus Ex, F.E.A.R et Far Cry tiennent la dragée au premier Half Life. On aurait pu aussi placer en trio de tête Far Cry, System Shock 2 et Battlefield 2142. Pour moi, ces trois jeux regroupent aussi les grandes claques en terme de FPS : les graphismes du premier, le scénario et le gameplay du second et la puissance du multijoueur pour le dernier.

    Et vous ? Qu’est-ce que vous retenez de ces 10 ans passés depuis Half Life ?

  • Locoroco 2 en avant première

    Plus que 2 jours à attendre avant la sortie sur PSP de Locoroco 2, si vous n’en pouvez plus de patienter pour aller fracasser du Mojas, vous pouvez d’ores et déjà découvrir les 6 premiers niveaux via le jeu flash officiel ( le lien)

    jeu flash locoroco 2

    Dans ces niveaux, on découvre surtout la possibilité de switcher entre les différents Locoroco en passant par le navet géant (enfin, ça y ressemble en tout cas) et de déclencher des évènements liés à la couleur du Locoroco. Le principe reste toujours le même sinon, on fait incliner le décor de droite à gauche pour faire rouler son Locoroco et récupérer les fleurs disséminées dans les niveaux.

    Dommage en revanche, les morceaux de musique présent dans cette démo sont identiques à ceux de Locoroco 1, on espère une nouvelle bande son du duo Nobuyuki Shimizu et Kemmei Adachi pour ce nouvel opus.

    jeu locoroco 2 sur psp

    jeu locoroco 2 sur psp

    Le premier Locoroco crée par Tsutomu Kouno et sorti sur Playstation Portable en 2006 avait séduit par son univers mignon, son concept original et sa bande son génialement débilisante. Le deuxième volet déboule sur nos consoles ce 21 novembre 2008, à voir si cette suite sera à la hauteur.

    En attendant, vous pouvez revoir la vidéo de teasing diffusée lors du TGS 2008.

  • 10 ans de Half Life et de FPS

    10 ans de Half Life et de FPS

    Souvenez-vous de votre jeunesse folle, à chérir votre pied de biche adoré et à ramper dans des conduits d’aération en guettant les bruits suspects. Vous étiez un jeune chercheur du MIT qui venait de foirer une expérience dans un centre de recherche ultra secret, vous étiez Gordon Freeman.

    Le scientifique le plus célèbre du jeu vidéo souffle aujourd’hui sa 10ème bougie. C’était le 19 novembre 1998 que Valve donnait naissance à Half Life et révolutionnait le FPS dans la foulée, mine de rien.

    Valve, via Steam, marque le coup et propose jusqu’au vendredi 21 novembre sur Steam de s’offrir Half Life pour 0,98$. Valve aurait quand même pu se la jouer grand seigneur et mettre Half Life en abandonware gratuitement. Mais pour tous les retardataires ou les curieux, c’est une bonne occasion de redécouvrir la “légende Half Life” pour peu que vous puissiez faire abstraction des graphismes forcément dépassés.

    10 ans de Half Life ? So What ?

    Half life a marqué le monde vidéoludique sur 3 points : ses graphismes de folie pour l’époque / son histoire scénarisée / L’intelligence artificielle des ennemis

    En 1998, combattre les militaires dans Half Life, c’était le rêve absolu du gamer. Les ennemis vous contournaient, vous faisaient sortir de votre cachette à coup de grenade, se mettaient à couvert. Chaque rencontre donnait lieu à des moments épiques qui alimentaient nos discussions dans les récrés au lycée.

    Devant le succès écrasant d’Half Life (15 millions de jeu vendu, c’est énorme pour l’époque), tous les producteurs de FPS se sont mis au pas, il fallait dorénavant avoir : les graphismes qui poutrent, l’IA qui tabassent et le scénario le plus scotchant.

    En 10 ans, beaucoup d’appelé et très peu d’élu.

    1999

    En 1999, on notera l’incroyable System Shock 2, FPS au limite du RPG survival horror où son pistolet s’enraye et où on se cache derrière un bureau avec sa clé en molette, tremblant de peur. Les graphismes et l’IA sont loin derrière mais l’histoire du vaisseau spatial Von Braun à la dérive était tout simplement géniale.

    System Shock
    System Shock

    Autre surprise, Kingpin, un FPS dans l’univers de la mafia et des gangs. Graphisme léché mais surtout ton ultra violent et gestion d’équipe vraiment efficace. Une très bonne surprise malgré une histoire bateau au possible.

    Mais le gros succès commercial de l’année, c’est bien évidemment Medal of Honor, LE jeu qui fait qu’on se bouffe de la Seconde Guerre Mondiale dans les FPS depuis. Mais rien que pour l’incroyable scène du débarquement en Normandie, le succès est mérité. MoH, de par son aspect historique permet de poser un vrai scénario, certes bidon mais cautionné par l’univers et surtout porté par la réalisation cinématographiques des phases de jeu.

    Medal of Honor

    Mais 1999, c’est aussi l’année de l’excellence du FPS “old school” avec le magistral Quake 3 Arena, monument de sauvagerie vidéoludique inégalé encore aujourd’hui.

    Dans les bonnes surprises de l’année : Blood 2 The Chosen, scénario et réalisation passe partout mais univers violent et humour noir très rafraichissant et Alien vs Predator, pour avoir prouvé qu’on pouvait faire un jeu à licence qui soit réussi (en dehors de Lucas Arts)

    2000

    Après une année aussi bonne, 2000 sera l’année de Deus Ex. Le papa de System Shock y a mis tout son savoir faire pour pondre un monument. Mais l’approche RPG et le scénario complexe de Deus Ex le classe (ou le surclasse) par rapport à un Half Life qui a su mixer plaisir de jeu et scénario à rebondissement sans prises de tête.

    Deus Ex

    Face au géant, on notera avec plaisir No One Lives Forever, une parodie de James Bond girl avec Cate Archer qui combat une organisation mondiale du crime aussi bien organisée que l’entreprise de Dilbert. Frais et efficace.

    No One Lives Forever

    2001

    En 2001, circulez y’a rien à voir. Red Faction avec ses décors destructibles, Serious Samet sa sauvagerie débilisante ni même Halo avec son univers SF ne mérite le détour. Des jeux divertissants mais sans originalité. On notera tout de même Operation Flashpoint avec son parti pris “simulation” complètement tripant (mais atrocement rébarbatif)

    Operation Flashpoint

    2002

    2002, c’est l’année de Battlefield 1942. Ce FPS uniquement multijoueur (enfin, à moins que vous n’aimiez jouer qu’avec des bots) marque le pas en terme de jeu online. Son univers et ses modes de jeu lui assurent un succès mérité. En revanche, on entre dans une nouvelle dimension, loin d’Half Life, avec son orientation exclusivement online sans mode solo avec une histoire.

    2003

    2003, on pourra noter Vietcong et Call of Duty, pas original quant au fond mais le traitement cinématographique permet d’oublier les creux du scénario. XIII sera aussi remarquable avec son graphisme cell shading très BD. Dommage que l’histoire soit aussi peu intéressante malgré le background de la BD.

    XIII

    2004

    2004, c’est l’année du ratage de Doom 3 qui a voulu faire son Half Life (et qui, au final, est juste chiant) mais c’est surtout l’année d’Half Life 2. Fait-il aussi bien que son ainé ? Hélas non, au delà d’un graphisme superbe et d’une gestion physique ahurissante, Half Life 2 s’embourbe dans une histoire barbante, rempli les vides par des scènes en véhicule et surtout se boucle sur un “to be continued” révoltant (au regard de la durée de vie du premier opus, le 2 est court et laisse sur sa faim)

    Non en 2004, la véritable perle est à voir du coté de Far Cry, seul jeu à égaler Half Life avec ses graphismes de folie, son univers ouvert et l’intelligence artificielle redoutable des mercenaires. Dommage que l’histoire de Jack Carver et de sa chemise rouge soit aussi peu intéressante.

    Far Cry

    2005

    En 2005, c’est F.E.A.R qui tient le haut du pavé. Graphisme qui tape, univers horrifique original, IA efficace et bullet time jouissif, les gars de Monolith ont compris comment faire plaisir au joueur.

    F.E.A.R

    2006

    En 2006, c’est l’année des déceptions, Prey est chiant avec son système de switch corporel, Black semble sorti d’un autre temps (sauter ? mais pourquoi faire ?), dans les mentions honorables, on a Battlefield 2142, le meilleur de la série mais qui ne renouvèle en rien le genre et Rainbow Six Vegas qui simplifie le gameplay Rainbow Six pour le mettre à la portée des bourrins comme moi. La seule bonne surprise de l’année, c’est Dark Messiah of Might and Magic qui propose un univers médiéval violent, jouissif et une histoire certes peu originale mais rarement aussi bien traité.

    Dark Messiah of Might and Magic

    2007

    2007, un bon cru sans surprise. Le FPS est maintenant un genre connu et reconnu, les éditeurs savent ce que les gens veulent et ne prennent pas de risques. Call of Duty 4 ou Crysis en sont de bons exemples. Des graphismes qui déchirent, mais une histoire qu’on n’écoute pas et des ennemis débilos au possible. Mention spéciale pour Bioshock, qui assure une histoire originale et surtout un univers incroyablement prenant. Dommage que les graphismes soient déjà has been au moment de la sortie. Autre mention spécial navet pour Clive Barker’s Jericho, le FPS horreur de Barker est juste navrant de chiantise (c’est un peu comme regarder le DVD de Critters 3 en espérant avoir peur)

    bioshock

    2008

    2008 confirme la tendance charentaises du FPS. Crysis Warhead, sympa mais aussitôt fini, aussitôt oublié, Rainbow Six Vegas 2, divertissant mais sans plus, Far Cry 2, ratage complet. Reste STALKER Clear Sky, mais en dehors de son univers original, l’histoire est classique au possible.

    STALKER Clear Sky

    Conclusion :
    il y a 10 ans, Half Life avait jeté les bases du FPS pour adulte. Long, dur, rythmé, monté comme une série avec ses épisodes, original et fun à jouer. En une décennie, certain prétendant on réussit à égaler le maitre, je pense notamment à F.E.A.R, Far Cry ou Deus Ex. Beaucoup ont excellé sur des points précis (la mise à scène des Call of Duty, le graphisme des Crysis, le mode online des Battlefield) mais rien n’a égalé la claque du premier Half Life. Même sa suite, bien que réussie, reste en deçà. Faut-il attendre un vrai Half Life 3 pour une nouvelle révolution ?

    half life 3
    Half Life 3 photo réaliste ? Faut se méfier des imitations…
  • Scoop : le film Max Payne est bien

    et hop un titre racoleur pour une vraie bonne surprise, l’adaptation du jeu vidéo Max Payne en long métrage est une réussite… pour une adaptation 🙂

    L’histoire du jeu Max Payne passe ici allègrement à la moulinette. En gros, ce qui reste, c’est que Max Payne veut retrouver l’assassin de sa femme et de son enfant. La seule chose qu’il sait, c’est que le meurtrier est un junkie défoncé à la valkyrie, une drogue dure qui rend les gens complètement barge.

    Exit une bonne partie de l’histoire du jeu avec un Max Payne infiltré dans la mafia, exit aussi Lisa Puchinello (!), exit le rôle de Jim Bravura qui passe de chef de la police à flic des enquêtes internes…

    Bref, le scénariste Beau Thorne a repris : Max Payne + les noms des perso + vengeance + Drogue Valkyrie + Aesir pour faire une histoire différente du jeu mais néanmoins cohérente dans l’univers de Max Payne. Les puristes hurleront à la trahison. Personnellement, j’ai joué à Max Payne en 2001, 7 ans après, que le rôle de certains personnages aient changé, ça ne me choque pas plus que ça.

    En allant voir Max Payne, il faut donc avoir en tête qu’on va voir un film inspiré fortement de Max Payne plutôt qu’une adaptation pur jus comme l’a été le Seigneur des Anneaux par exemple. En revanche, j’ai été agréablement surpris de voir que l’histoire restait cohérente, sans aucune surprise, mais sans être indigeste non plus (on pourrait citer Hitman qui est vraiment l’archétype de l’histoire en bois qui n’a rien à voir avec le jeu)

    Max Payne le film
    Max Payne le film

    Mais le point fort du film, c’est avant tout qu’il respecte l’ambiance Max Payne. Le film est très stylé, le héros, malgré le jeu figé de Mark Wahlberg, a la classe et les scènes d’actions, sans être une révolution, pètent carrément bien. L’univers reste sombre et violent. En revanche, le rating PG13 fait que toute trace d’hémoglobine a été viré. Pas traumatisant mais toujours un peu bizarre dans la logique américaine de censurer le sang alors qu’on voit Max Payne complètement défoncé à la Valkyrie qui défouiraille tout ce qui bouge 🙂

    Alors que de prime abord, je craignais tomber sur un mauvais film, amas difformes d’éléments du jeu, de scènes d’action passe partout avec une histoire vaseuse, j’ai eu droit à un film sans grande surprise, mais efficace et au final assez fidèle au jeu dont il est tiré. Bref, après 1h40, on ressort du cinéma assez content. Ça vous est déjà arrivé après avoir vu une adaptation de jeu vidéo au ciné ?

    Max Payne le film
    Max Payne le film

    Je ne salue pas au passage le marketing vaseux autour du film avec la très grande importance accordée aux démons (ce qui a fait douter pas mal de monde de voir un sous Constantine estampillé Max Payne). Au final, il s’agit bien des hallucinations liés à la consommation de la Valkyrie et ces visions sont assez rares et bien intégrés dans le film (en gros, tous ces passages sont dans la bande annonce…)

    Dommage aussi que la première partie du film patine un peu au début, avec une histoire un peu avare en action. Heureusement que la deuxième moitié, avec ses scènes d’action punchy nous plonge vraiment dans “Max Payne”.

    Pour moi, Max Payne prouve que les adaptations de jeu vidéo ne sont pas une fatalité et que l’on peut faire autre chose que d’alimenter notre collection de nanars. Les férues du jeu qui espéraient retrouver un film copier/coller du jeu seront déçus, ceux qui sont curieux du résultat sans rien en attendre ou ceux qui veulent juste voir un petit film d’action sympa seront comblés, Max Payne réussit parfaitement à divertir. Et c’est déjà beaucoup.

    Dans tous les cas, il faudra encore attendre le 12 novembre 2008 pour que le public français se fasse une idée du film Max Payne.

    Max Payne le film
    Max Payne le film

    ps : ha et j’oubliais, Max Payne nous prouve aussi que Nelly Furtado est plutôt bonne comédienne dans le rôle de la veuve de Alex Balder. Décidément plein de surprise ce Max Payne 😉

    Fiche Technique

    Titre : Max Payne
    Date de sortie France : 12 novembre 2008
    Date de sortie USA : 17 octobre 2008

    Réalisateur : John Moore

    Scénariste : Beau Thorne

    Casting :
    Max Payne : Mark Wahlberg
    Mona Sax : Mila Kunis
    BB Hensley : Beau Bridges
    Jason Colvin : Chris O’Donnell
    Jim Bravura : Chris Bridges (Ludacris)
    Alex Balder : Donal Logue
    Jack Lupino : Amaury Nolasco
    Natasha : Olga Kurylenko
    Christa Balder : Nelly Furtado

  • Locoroco 2 sur PSP

    Locoroco, le best seller kawaii lénifiant de la PSP est de retour pour un deuxième opus toujours plus coloré ! Au programme, les Mojas peuvent utiliser eux aussi le chant pour s’emparer de l’énergie des êtres vivants. Les Locoroco devront donc avoir deux fois plus la patate pour sauver le monde.

    Si un jour vous posez vos mains sur une PSP, il faut absolument que vous jouiez à Locoroco. Ce jeu est aussi simpliste qu’il est accrocheur. Vous utilisez les gachettes de la PSP pour faire “basculer” le décor de droite à gauche et ainsi faire rouler votre locoroco. Assurément simple, on prend le pli tout de suite et le plaisir est immédiat. De plus, la superbe musique de Locoroco ne peut que vous scotcher avec un sourire niais aux lèvres…

    Locoroco 2 s’annonce dans la directe lignée de son ainé, on peut toutefois espérer une durée de vie rallongée et surtout plus de variété dans les actions possibles (rouler c’est sympa mais bon, c’est un peu limité…)

    Tout ça est attendu pour décembre 2008 en France, de quoi bien finir l’année !

    Plus d’information : Le site officiel

    Des visuels :







  • Crysis Warhead sur PC : le test !

    Crysis Warhead sur PC : le test !

    Crysis Warhead n’est pas la suite de Crysis mais plutôt une histoire parallèle, qui se déroule au même moment. Exit Nomad, ce coup-ci on incarne le soldat Psycho. Vêtu de sa nanocombinaison, il va castagner du nord coréen sur une île perdue au large de la Chine.

    Après qu’une équipe d’archéologues américains ait disparu sur cette île, les services secrets dépêchent un commando d’élite pour les sauver. Sauf qu’un général nord coréen est déjà sur les lieux et compte bien utiliser leur découverte pour son propre compte. Pendant que Nomad dans Crysis cartonne du soldat et de l’alien, dans Warhead on sait enfin ce que faisait Psycho, un des membres de l’équipe Delta, pendant tout ce temps.

    Pour se faire une idée en image, voici la vidéo teaser :

    Teaser: Crysis Warhead

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=q6TT9aCMVKQ
    De l’action, de l’action et encore de l’action

    Contrairement à Crysis, Warhead va directement à l’essentiel et nous plonge dans la bataille illico. Dans la timeline globale, on incarne Psycho au moment où l’US Air Force bombarde le port. Tous les passages de Crysis où Nomad et Psycho apparaissent ensembles sont donc passés, pas la peine d’espérer ingérer dans l’histoire du premier Crysis. D’ailleurs, la mission de Psycho est très rapidement orientée sur “sécuriser un container” et sans trop chercher à comprendre, on lui court après, en rasant tout hostile qui respire. Et de ce coté là, Crytek a gaté les joueurs. On a droit à une nouvelle arme : le pistolet mitrailleur qui peut être utilisé à deux mains. Fun, mais assez inutile sauf à bout portant, on lui préfèrera de loin le SCAR, l’arme d’assaut qui se voit enfin doter de recharge un peu partout dans le jeu ! (fini de se battre avec un AK47 tout pourri piqué à l’ennemi). Niveau véhicule, on a droit à un overcraft mais c’est surtout l’apparition du VRB, un blindé léger équipé d’une gatling qui est appréciée. Très efficace et très fun de raser une forêt / maisons / camions remplis d’ennemis ! Pour finir, les mitrailleuses postées un peu partout ont enfin deux grandes soeurs : la gatling et le canon, toujours utile pour pulvériser de l’alien.

    Voilà pour les nouveautés… oui c’est tout et c’est peu. A noter qu’une fois encore, un “Big Fucking Gun” sera disponible… à la fin du jeu ! Très frustrant de ne pas pouvoir en profiter davantage.

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    Haaa la plage, son relax, sa mer douce… et ses F18 qui font du rase-mottes…
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    En mode normal, les jumelles “lock” les cibles pour qu’elles apparaissent sur le radar

    Le plaisir du jeu

    Crysis était beau, Crysis Warhead l’est encore plus. Non pas sur le plan technique mais plutôt dans les choix architecturaux et les lieux présentés. Les 7 chapitres du jeu sont tous radicalement différents et on passera du village de vacances, à la jungle sous une pluie tropicale à la vieille mine abandonnée. Cette variété est plus que bienvenue surtout que le jeu reste très linéaire, bien plus que le premier Crysis qui était déjà assez dirigiste. La linéarité de Warhead vient surtout du fait que les approches possibles ont été limitées à “je bourrine”, du coup on passe moins de temps à chercher à comprendre, on fonce dans le tas. Les “pouvoirs” de la nanocombinaison n’ont pas changé, on a toujours : le bouclier, la vitesse, l’invisibilité et la force, mais là encore, la configuration des terrains poussera le joueur a moins utiliser ces pouvoirs ou en tout cas à se limiter à ceux “utiles”.

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    Il ne le sait pas mais il est déjà mort
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    Le nouveau véhicule blindé est un vrai régal : résitant, rapide et surpuissant !

    Niveau plaisir de jeu, ça reste bon, sans plus. Le nirvana du gamer est ratée pour deux raisons à mon sens :
    1er problème : la résistance des ennemis
    Le soldat de base doit avoir un super gilet en kevlar renforcé donc si vous lui foncez dessus, il faudra lui vider un chargeur complet dans le bide pour le tuer. Ou alors un bon vieux headshot le tue en un coup. Du coup, le coté “bourrin” s’efface au profit du “hop je deviens invisible et je lui colle une balle dans la tête, je me cache, je redeviens invisible…”. Le must, c’est d’utiliser la “force” pour sauter en haut d’un toit et se planquer là et abattre les soldats qui vous cherchent… autour du bâtiment.
    C’est très efficace, surtout que les ennemis sont toujours au minimum 5 ou 6 donc un mix “bourrinage / fourberie” deviendra vite le combo gagnant. Du coup, l’option “vitesse” deviendra encore plus gadget que dans le premier Crysis et du fait du nombre des ennemis, utiliser la “Force” en combat se révèle quasi suicidaire et ne servira donc qu’atteindre des lieux de planque.

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    Avec tous ces évènements, les prix vont surement baisser…
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    Ca, c’est ce qu’on appelle un “gros” problème
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    Le mode invisible est vraiment jouissif, regardez sa tête d’ahuri, gniark, gniark

    Pour finir sur la résistance des ennemis, encore une fois, la jungle et la plage avec ses gentils soldats se finira très très vite pour laisser la place à des soldats en nanocombinaison (made in china, donc moins résistante que celle du joueur) ou pire des aliens. Et là, faudra devenir un dieux du headshot pour l’un et canarder comme un dératé pour l’autre. C’est sympa mais avoir des vagues d’ennemis sur qui il faut vider 2 chargeurs l’un, c’est rapidement saoulant. Cette trop grande résistance vient casser le sentiment de puissance que confère la nanocombinaison mais surtout, ça pousse le joueur à se limiter à une seule stratégie d’attaque et à faire souvent la même chose.

    2ème problème : La construction du jeu
    Au niveau scénaristique, on a droit à deux séquences (sur les sept chapitres) assez saoulantes. La première consiste à massacrer des vagues successives d’aliens pendant qu’un commando tente de faire sauter une grotte. Très longue et assez dure (on meurt très souvent), cette séquence est très énervante. On en vient à se demander s’il ne faut pas faire quelque chose pour déclencher “le script” qui fait sauter le mur, c’est raté niveau immersion.

    La deuxième est une longue séquence où on est sur un train armée de jolis gatling et où il faut dégommer tout ce qui tente de s’approcher. Marrant et très spectaculaire au début puis rapidement lassant au final, le rail shooting, on a quand même vu mieux niveau gameplay…

    Bien entendu, ces moments n’ont rien à voir avec les mauvais passages du premier Crysis (La base Alien et le passage où Prophet a sa combinaison qui déconne entre autre) qui eux étaient vraiment abominablement saoulant. Mais dans Warhead, vu la durée de vie ridicule du jeu (torché viandé en 5h30, en prenant des screenshot comme un touriste) il est vraiment impardonnable d’avoir des baisses de rythme comme ça.

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    Le bouclier humain n’est pas toujours très efficace, ni très discret…
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    Certains décors sont de toutes beautés

    L’histoire

    Le bon coté de Warhead est que la narration ne se fait plus en vue subjective. Psycho, personnage à part entière est vu à la 3ème personne dans les cinématiques. Du coup, elles se permettent d’être plus spectaculaires ce qui n’est pas un mal. En dehors de ça, l’histoire de Warhead reste malheureusement assez mauvaise. Le méchant, le colonel Lee, est doté d’un charisme de poulpe et la vieille histoire entre le soldat O’Neal et Psycho est aussi passionnante qu’un épisode de Rick Hunter. Dommage, surtout que la trame globale “récupérer le container” est loin d’être très sexy.

    Heureusement, la mise en scène vient sauver le tout en misant sur l’action et le spectaculaire.

    Le multijoueur

    L’autre nouveauté de Crysis Warhead, c’est d’offrir une refonte du multi via Crysis Wars. On retrouve 21 cartes dont 7 originales. Ce multi est efficace et à le mérite d’exister. Après, il reste très basique. La présence de map avec les véhicules à disposition est un plus très sympa. Mais après le coté de “ho c’est fun”, il manque des modes de jeu pour bien exploiter ces possibilités. Ce multi aurait pu être un “Battlefield killer” mais il se contentera d’être un bon moyen de prolonger le plaisir de jeu, essentiellement en deathmatch avec ses cartes plutôt bien conçues.

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    La sphère de glace, le coeur du merdier sur l’île
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    Là, Psycho est plutôt dans la merde…

    Conclusion

    Le graphisme : 17/20
    Oui c’est beau, très beau, mais c’est surtout la qualité et la variété des environnements qui font la différence. Bon investissement sur l’avenir, vous pourrez encore joueur à Crysis Warhead dans 2 ans et voir enfin ce qu’il peut donner au “maxi”

    Histoire / durée de vie : 09/20
    Ok la moyenne des FPS c’est 8h, mais tout boucler en 5h30, c’est vraiment très court, trop court, surtout avec les moments pas forcément toujours très fun. De plus, le finish manque cruellement de panache. Décevant. Surtout que l’histoire ne casse pas trois pattes à un canard…

    Le son : 17/20
    Woaw, les musiques sont tout simplement excellentes. Dommage qu’elles soient trop présentes dans les phases d’actions, on a l’impression qu’on nous prend en revers alors que c’est juste la musique en stéréo… A noter que le doublage en français est excellent dans son ensemble. Petit bémol pour nos amis coréen en fr qui sont affublés d’un accent à la Michel Leeb… dommage.

    Jouabilité : 16/20
    Aussi bonne que sur le premier Crysis. Le switch entre les “pouvoirs” se fait à la volée de manière très fluide. En revanche, l’interface de customisation de l’arme reste toujours aussi peu pratique et que dire de la capacité de “snipe” ? Ca bouge toujours autant…

    Note globale : 14/20

    “Des efforts mais peu mieux faire” pourrait être cette conclusion. Loin de révolutionner le monde du FPS, Crysis Warhead s’impose comme un bijoux esthétique mais n’atteint pas l’excellence vidéoludique pour autant. aussitôt fini, il y’a de fortes chances que vous le rangiez dans un carton, pour le ressortir dans 2 ans afin de voir son rendu sur une machine plus puissante. Même s’il n’est vendu qu’à 30€, si vous n’avez pas une machine assez puissante, réfléchissez bien avant d’acheter. Sans la claque graphique, il reste un FPS efficace mais sans grande originalité.

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    Le repos du guerrier
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    Mais qui a garé son porte-avion ici ?

    Infos complémentaires et protocole de test

    Titre : Crysis Warhead
    Date de sortie : 18 septembre 2008
    Editeur : Electronic Arts
    Developpeur : Crytek

    Configuration de test :
    Processeur : Core 2 Duo 2.6 Ghz
    Carte graphique : Nvidia Gforce 8800 GTX 768mo
    RAM : 4Go DDRAM
    OS : Windows XP SP3

    Toutes les captures d’écran ont été réalisé avec cette configuration

  • Heavy Rain : le grand retour de Cage ?

    De David Cage bien entendu ! Le créateur de The Nomad Soul (1999) et Fahrenheit (2005). Après l’échec commercial de Fahrenheit (mais grand succès d’estime), le studio de Cage, les français de Quantic Dream, était attendu au tournant avec “The Nomad Soul 2”. Surprise, c’est un projet entièrement nouveau qui est privilégié : Heavy Rain.

    Initié en février 2006, le développement du jeu a connu un premier coup de projecteur avec la vidéo “The Casting” diffusée à l’E3 2006. Cette vidéo, vitrine technologique du studio, présentait l’actrice Aurélie Brancilhon entièrement modélisée en 3D. Après un silence de 2 ans, c’est durant la Game Convention de Leipzig qu’Heavy Rain a fait sensation avec une toute nouvelle vidéo très blufflante :

    Heavy Rain est voulu comme une histoire interactive où l’histoire prévaut sur l’action. On retrouve dès lors les QTE ou Quick Time Event comme dans Faherenheit.

    Les QTE sont des actions contextuelles à réaliser au cours d’une scène cinématique, en gros, on appuie sur le bon bouton au bon moment. De ma mémoire, la popularisation de ce gameplay s’est faite avec les (ignobles) jeux sur Mega-CD où les longues cinématiques pixellisées demandaient de temps en temps au joueur de faire un truc. Mais les lettres de noblesses du QTE sont apparues en 1999 avec le succès du mythique Shenmue sur Dreamcast. Ce jeu proposait entre autres des scènes interactives en QTE où le joueur devait intervenir. Cela permettait de briser la passivité du joueur face à la cinématique et surtout d’apporter une mise en scène cinématographique au jeu.

    En partant de là, Quantic Dream a poussé le concept à son paroxysme avec Fahrenheit (PC / Xbox / PS2) en 2005. Dans ce jeu, on incarne un homme qui a commis un meurtre et qui cherche ce qui l’a poussé à agir ainsi. Doté une ambiance particulièrement captivante, de personnages attachants et d’un scénario (de prime abord) béton, Farhenheit propose une expérience ludique exceptionnelle, entre le jeu et le film à suspense. Hélas, on ne peut pas en dire autant de la deuxième partie du jeu, largement bâclé au niveau du traitement de l’histoire et qui sombre dans la succession de scènes d’action en QTE assez rébarbative. Pour autant, ne serait-ce que pour ses 10 premières heures de jeu, Fahrenheit vaut vraiment la peine d’y jouer afin d’en gouter l’ambiance unique (haa la scène de l’asile psychiatrique avec Carla Valenti, le stress garanti !) . Un des reproches du jeu à l’époque avait été l’intégration des QTE dans le jeu. Il faut dire que les boutons à presser étaient stipulés en plein milieu de l’écran par des directions de couleur. les esprits chagrins peuvent dire que les couleurs se confondaient par moment avec l’environnement, mais ça c’est peanuts ! Le vrai soucis, c’est que ça gâchait passablement la cinématique vu qu’il fallait tout le temps fixer ces barres de couleur !

    moche hein ?
    Moches, peu visibles et super envahissants, des QTE assez ratés dans Fahrenheit

    Heavy Rain se place dans la continuité de Fahrenheit au niveau de son gameplay. Sauf que comme on peut le voir dans la vidéo, l’intégration des QTE s’est faite beaucoup plus discrète (trop peut être ? ) et semble ne plus nuire au plaisir de jeu. A cela s’ajoute les impressionnants progrès quant à la modélisation des personnages et une motion capture assez bluffante. De plus, le travail de design admirable dans l’appartement donne une ambiance vraiment étrange à l’ensemble, à la fois inquiétante et captivante… deux sentiments que Quantic Dream sait distiller auprès des joueurs. Dommage en revanche que les extérieurs soient aussi vides et se dotent du filtre “marron-ocre” à la mode.

    David Cage promet que son jeu “permettra de vivre l’histoire plutôt que de la regarder passivement à travers des vidéos in-game. C’est un thriller noir offrant maints rebondissements, et bien qu’il soit constamment interactif en temps réel, nous le considérons plus totalement comme du jeu vidéo : c’est une expérience interactive pour un public adulte dans lequel l’émotion est le maitre mot”

    Ce genre de déclaration laisse songeur et fait espérer un jeu avec une histoire solide et maitrisée d’un bout à l’autre (ce que Faherenheit n’avait pu être) Pour savoir si Cage tiendra ses promesses, rendez-vous en 2009, malheureusement seulement sur Playstation 3.

    Des visuels de Heavy Rain :
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3
    Heavy Rain sur PS3

  • Alerte Rouge 1 gratuit…

    Alerte Rouge 1 gratuit…

    Une info express : L’éditeur Electronic Arts propose aux joueurs PC de téléchargement gratuitement le premier Command & Conquer Alerte Rouge sur cette page (lien)

    Cette offre promotionnelle est là pour fêter les 13 ans du premier Alerte Rouge alors que le troisième volet est attendu pour le 30 octobre 2008. Concernant Alerte Rouge 1, il est compatible windows XP / 98 et 95 (Vista = niet camarade) et il s’agit de la version anglaise. Néanmoins, c’est toujours une bonne occasion de retrouver les cinématiques délicieusement kitch (marque de fabrique des C&C) et de gouter à nouveau au tactique de haut vol (hop je coince l’entrée de ta base avec des sac de sables et je pompe toutes les ressources)

    Voici le générique d’introduction d’Alerte Rouge… oucha, c’était mieux dans mes souvenirs…

    EA avait réalisé le même type d’opération marketing lors de la sortie de Command & Conquer 3. On avait pu télécharger le tout premier C&C gratuitement. Dans le pack Alerte Rouge, vous trouverez un trailer HD d’Alerte Rouge 3, des wallpapers (haaa Gemma Atkinson l’ex playmate playboy) et des artworks.


    Alerte Rouge 3 : EA sait toucher le “coeur” des gamers…

    PKRG, pourquoi je me suis levé à midi aujourd’hui ?

    ps : sujet corrigé, le téléchargement est toujours disponible et n’est donc pas limité à la seule journée du 31 août… tant mieux ! ^_^

  • Dead Space, un titre simple mais un jeu bien ?

    Salut les esclaves du monde Geek ^_^

    Après Resident Evil, c’est Dead Space qui vient faire un tour du coté de Kraken. Je commencerais tout simplement par une petite devinette, qu’ont en rapport les survival horror en général ? Les zombies ? Pas forcément… les morts ? oui c’est trop évident… >_> nan ? vous ne voyez pas ? Eh bien ils se passent tout simplement quasi toujours (si c’est pas toujours en fait) sur notre bonne vieille planète polluée à l’effet de serre.

    C’est ici que Dead space se démarque tout d’abord. On n’y avait pas beaucoup réfléchi, d’habitude, les jeux dans l’espace, c’est soit du shoot à partir d’un cockpit ou alors c’est un bon vieux jeu de guerre à la Star Wars. Et c’est donc Electronics Arts (oui vous ne rêvez pas) qui a eu l’idée de créer une ambiance survival dans l’espace.

    Alors voyons voir maintenant ce que ça nous annonce de beau…

    L’histoire se déroule dans le futur, vous incarnez Isaac (remarquez le prénom futuriste :d), sorte de mécano du futur qui vient réparer les machines qui récoltent des ressources pour la Terre (celle ci devient trop polluée et sans ressources). Un jour, le vaisseau Ishimura part pour un système galactique et commence son travail, trouver des ressources, quand mystérieusement, le vaisseau ne donne plus signe de vie… Qu’a donc découvert le vaisseau Ishimura ?! A-t-il déterré quelques choses d’inhumain ? (bon, on se doute que oui de toute façon, lol). C’est ici que commence donc votre voyage, vous êtes envoyé à bord pour réparer les communications. Seulement voilà, une fois à l’intérieur du vaisseau, notre technicien va vite se rendre compte que l’équipage de base a comment dire… évolué ? 😀 Sur l’histoire on peut donc dire que le scénario est simple mais pas non plus naze.



    Le gameplay sera apparemment très sympa à jouer. Vous combattrez donc l’équipage du vaisseau avec quelques bras en plus, Ah! le futur =) On les tue comment ? Avec votre arme bien sur 🙂 une sorte de laser servant originellement à découper la roche. Isaac sera aussi armé d’un TK Gun qui permet de lancer des objets sur l’ennemi. Coté pratique, l’effet Bullet time (Max Payne power) sera de la partie. Mais attention, on est dans un survival ici, pas dans un jeu de shoot, donc il faudra l’utiliser avec précaution, la jauge descend trèèès vite =). Jauge figurant d’ailleurs astucieusement derrière la combinaison d’Isaac pour une meilleure immersion dans le jeu. Dans la même veine, pour ouvrir votre inventaire, on oublie le menu Start – inventaire etc.. non ici votre inventaire apparaitra en temps réel, pas de pause. Il sera symbolisé par des projections holographiques. Pas mal non? :p

    Perso, moi je suis déjà fan! D’autant plus que le jeu à l’air super méga beau et le gameplay me botte bien moi ^^

    Une date de sortie annoncée ? Halloween ça vous dit quelque chose :p

    Le jeu est prévu sur Xbox 360 et PC