Bonne nouvelle pour les fans du héros tatoué XIII, la BD de Van Hamme va être porté sur petit écran au travers d’une mini série de deux téléfilms.
XIII The Conspiracy : Lors du discours annuel commémorant l’Indépendance, la Présidente des États-Unis est abattue par un sniper. 3 mois plus tard, alors que le meurtrier n’a toujours pas été arrêté, un homme est retrouvé blessé et amnésique. Une troupe d’élite de l’armée le prend en chasse, persuadé qu’il a tué la présidente. Traqué et perdu, il n’a dès lors qu’un seul indice pour retrouver qui il était vraiment, un XIII tatoué sur son cou.
Bande Annonce : XIII The Conspiracy
Le rôle de XIII est campé par Stephen Dorff (le méchant dans le premier Blade) mais la surprise, c’est de retrouver Val Kilmer dans le rôle de la Mangouste ! La production de la série est franco canadienne et Canal+ et M6 en font parti. C’est d’ailleurs sur Canal+ que vous pourrez découvrir le premier épisode le 6 octobre 2008 alors que la deuxième partie sera diffusée le 13 octobre 2008 ! Par la suite, une rediffusion “en clair” sera faites sur M6 en 2009.
Le projet est très sexy et la présence de Val Kilmer est un atout pour crédibiliser cette adaptation. Dommage que le trailer soit aussi mauvais, oscillant entre le sous Jason Bourne et 24H Chrono…
Verdict à suivre, le 6 octobre.
Des visuels :
Fiche technique
Titre : XIII – The Conspiracy
Date de sortie :
Épisode 1 : 06 octobre 2008
Épisode 2 : 13 octobre 2008
Réalisateur : Duane Clark
Casting :
Stephen Dorff : XIII
Val Kilmer : Mongoose
Jessalyn Gilsig : Kim Rowland
Stephen McHattie : General Carrington
Si comme moi vous avez adoré la saga “Universal War One” de Denis Bajram, vous serez content d’apprendre que sa BD a commencé à être édité aux Etats-Unis chez Marvel.
La couverture américaine du Tome 1 de Universal War One
Universal War One raconte l’histoire du premier conflit interstellaire. Dans le futur, l’expansion de l’Humanité s’est étendue jusqu’aux confins du système solaire sous la surveillance de l’UEF, les forces armées terriennes. Sauf qu’un jour, le Mur apparait et avec lui, le spectre d’un conflit total.
Des visuels :
Édité de 2000 à 2006, Universal War One compte 6 tomes au total. La qualité du dessin mais surtout la maitrise du récit de Bajram ont rapidement hissé cette BD au rang d’incontournable pour tous fans soient-ils de SF. L’édition américaine a débuté en juillet 2008 chez Marvel, peu coutumier du fait d’aller chercher des talents en Europe, surtout pour éditer une oeuvre déjà existante. Bref, bravo à Denis Bajram, c’est un succès mérité.
Excellente nouvelle pour les fans (dont je fais parti) du dessinateur japonais Range Murata, son artbook “Robot” va être édité en entier en France, chez Glénat.
J’en avais parlé en 2005 lors de la sortie du premier tome, “Robot” est un ouvrage collectif regroupant plus de 25 dessinateurs japonais. Chaque mangaka développe son histoire présentée sous forme de chapitre qui se suive au fil des tomes. Particulièrement libre dans les choix esthétiques et narratif avec pour trame de fond la technologie et les robots, les mangaka ont développé des histoires originales de toutes beautés (avec un recours très fréquent à la couleur, chose rare dans les mangas).
Initié en 2004 par le dessinateur Range Murata (Blue Submarine n°6, Last Exile, Solty Rei…), Robot compte 10 tomes à l’heure actuelle.
Le premier tome de Robot a d’abord été édité chez Kami. Les vente n’ont pas du suivre car aucune suite n’a vu le jour. Surprise ! 3 ans plus tard, c’est Glénat qui reprend le flambeau. L’éditeur français sort directement le tome 2 (problème de droit avec le tome 1 ?) et promet de sortir les 8 autres tomes. La mauvaise nouvelle en revanche, c’est que le tome 2 est sorti en mars 2008 et que le tome 3 n’est pas annoncé avant 2009… on risque donc d’avoir une sortie erratique d’un tome par an et la fin de la série… pour 2016.
Edit du 02/12/2008 : j’ai été (une fois de plus ?) mauvaise langue, Glénat va rééditer le tome 1 de Robot fin janvier 2009 et se cale sur un rythme de sortie de 2 tomes par an, que du bon ! (ce qui amène la fin de la série en 2013, je n’étais pas loin ! 😉 )
Merci Jevanni pour l’info !
Nom : Robot
Editeur français : Kami (vol.1) et Glénat (vol.2 à 10)
Editeur japonais : Koshi Yamazaki
Date de sortie France du tome 3 : 12 mars 2008
Format : 180 pages couleurs
Prix : 22€
Les mangaka du collectif sur le tome 2
Range Murata
Hiroyuki Asada
Yoshitoshi ABe
Mami Itou
Okama
Yu Kinutani
Makoto Kobayashi
Sabe
Kei Sanbe
Sho-u Tajima
Shin Nagasawa
Hanaharu Naruco
Mie Nekoi
HACCAN
Ugetsu Hakua
Shigeki Maishima
Yasuto Miura
Miggy
Suzuhito Yasuda
YUG
Imperial Boy
Dowman Sayman
Hirotaka Maeda
Osamu Kobayashi
Kei Toume
Kengo Yonekura
RCO Wada
Enomoto
Kouji Ogata
Yusuke Kozaki
Yumi Tada
Fuji Jun
Hyung-tae Kim
Shuzilow Ha
Neon Vision
Michio Murakawa
Si vous regrettez la trop grande discrétion de Yoshitoshi Abe (Lain, Les Ailes Grises…) et si vous avez un iphone (ou Ipod Touch) voilà une news qui va vous faire plaisir : Abe vient de sortir sur l’Apple Store (ici) le manga Pochiyama at the Pharmacy une adaptation des 3 tomes du doujinshi éponyme.
Disponible dans plus de 20 pays (enfin, 20 Itunes…) dont la France, vous pouvez acheter Pochiyama at the Pharmacy ainsi que le programme pour le lire sur votre Iphone / Ipod Touch adoré pour la modique somme de 3.99€. A ce prix là, vous pourrez dévorer les 53 pages du manga en anglais ou en japonais (le programme de lecture détecte la langue de votre Iphone… mais seulement l’anglais et le japonais semblent disponibles à l’heure actuelle…) et ainsi frimer dans le métro.
A la base, les doujinshi sont des mangas dessinés par des amateurs. Les délais et pressions éditoriales étant moindres et les pourcentages plus intéressants pour l’auteur, de plus en plus de mangaka reconnus se tournent vers ce média. En ce sens, Yoshitoshi Abe, en dehors de quelques travaux sur des séries animés, se consacre depuis plusieurs années exclusivement aux doujinshi. Sa dernière série, Haibane Renmei (Les Ailes Grises) a d’abord été un doujinshi avec d’être adapté en série animée.
Comme ce type de manga est uniquement vendu au Japon et que les éditeurs sont plus petits, plus aucune de ses oeuvres n’est arrivée jusqu’à nous (hormis son travail sur la série Wasteland dans le recueil Robot). Du coup, à moins de lire le japonais et d’importer ses manga, l’initiative sur Itunes représente le seul moyen de profiter des dernières oeuvres de Yoshitoshi Abe. Dommage qu’il faille un Iphone pour ça…
Rally Vincent reprend du service dans Gunsmith Cats Burst !
Après l’excellent manga Gunsmith Cats de Kenichi Sonoda, les deux détectives de chocs et de charmes Minnie Mey et Rally Vincent sont de retours dans de nouvelles aventures.
Le tome 4 est sortie aujourd’hui même, la série est toujours en cours de diffusion au Japon.
Avis :
Gunsmith Cats, c’est avant tout une histoire de belles filles, d’armes à feu et de gros V8 (perso, ça fait déjà beaucoup de choses que j’aime ^_^)
Rally Vincent, tireur d’élite accro à sa GT500 Shelby déjoue les complots de la mafia et coffre les bandits. Nerveux, dynamique et très prenant avec sa dose de méchants charismatiques, le manga (ressorti en 4 gros volumes intitulé Gunsmith Cats Revised Edition) est un régal pour les fans de policier et d’action.
Néanmoins, sa suite, Gunsmith Cats Burst, ne m’emballe pas autant. Malgré deux bons premiers tomes, l’histoire dérape sur le tome 3 : beaucoup de temps morts, une histoire bateau et prétexte à des scènes d’action peu intéressantes (genre Bean Bandit qui arrête une roquette…avec ses mains >_> ) ce qui entraine au final une baisse d’intérêt.
Après 1 an d’attente, le tome 4 est sorti le 20 août 2008, le bon moment pour rectifier le tir ? (réponse après lecture du tome !)
Note : vous pouvez voir les premières planches du tome 1 de burst => cliquez ici
Après les éloges et les chiffres records de Batman : The Dark Knight aux Etats-Unis, j’ai profité de sa sortie en Belgique pour me rendre au cinéma et vérifier les dires et impressions que laissent ce film.
Synopsis
On se retrouve quelques mois après les dernières aventures cinématographiques de Batman (aka Batman Begins) et la population de Gotham vient d’élire un nouveau procureur, Harvey Dent. Avec ce nouveau procureur, l’inspecteur Gordon et notre homme chauve-souris adoré, les criminelles de Gotham ne savent plus à quel saint se vouer et dans une dernière tentative pour “reprendre” le contrôle de la ville ils font appel au Joker.
Bande Annonce Batman : Le Chevalier Noir
Le constat général
Ce film est bien meilleur que le précédent. Il est encore plus intense, et les dialogue sont fabuleux [ndlr: séance en anglais sous-titré en français]. Les scènes d’action et les dialogues se complètent à merveilles, il n’y a pas de dialogue inutile n’y de l’action pour le plaisir de l’action. Bref, c’est une histoire bien construite et bien menée pendant 2h… sur les 2h30 du film (mais je vais y revenir)
Les bons points
Il y en a tellement que je vais essayer de les résumer :
1. Le ratio Batman/Bruce Wayne est enfin en faveur du premier. Depuis que je regarde des adaptations de comics, le refrain a toujours été le même : “pour rendre le héros crédible on devait à tout prix explorer l’homme sans le masque”. Cette absurdité a conduit tous les réalisateurs d’adaptation de comics à passer plus de temps à parler de Bruce Wayne, de Clark Kent ou de Peter Parker au lieu de se focaliser sur le personnage principal : Le super héros. Merci aux frères Nolan d’avoir remis l’église au milieu du village.
2. The Joker est un vrai méchant de comic, enfin. A chaque génération, on se fait une image différente d’un méchant, le Joker de Nolan n’a rien avoir avec celui de Burton. Cela ne veut pas dire que Nicholson était mauvais, non cela veut simplement dire que la rencontre entre un scénario, un acteur et un réalisateur peut déboucher sur 2 visions magnifiques d’un même personnage avec un rendu sur écran diamétralement opposé. En résumé Ledger est phénoménal et, à chacune de ses apparitions, plus rien d’autre n’existe sur l’écran. On est littéralement scotché à ses lèvres.
3. Ce film possède un casting et un scénario de choix, tous les acteurs grands ou petits on mis un point d’honneur à jouer efficacement leur rôle sans jamais trahir l’esprit du film, même lorsque leur rôle était secondaire ou représentait un cliché déjà utilisé maintes fois auparavant.
4. Nolan a su maitriser le scénario, les acteurs, l’action et l’ambiance du film du début jusqu’à la fin. Rien n’est laissé au hasard, tous est fait pour que les spectateurs en aient pour leur argent et ressortent content de leur investissement.
Les mauvais points [ndlr : parce qu’il y en a !! ]
1. La longueur du film : Pourquoi THe Dark Knight dure 2h30 ?? Pourquoi ne pas avoir terminer le film après 2h ? Sans spoiler le film, les 30 dernières minutes ne “servent à rien” . La grande scène du film est déjà passé, on croirait voir une surenchère qui n’a même pas lieu d’être vu que le film était bien mené. J’irais jusqu’à dire qu’on aurait pu voir marqué THE END à 2h et je serais sorti heureux et content d’avoir vu le film. les 30 dernières minutes laissent un mauvais gout, qui passe rapidement vu les bon points, mais quand même.
2. L’action : Personne ne semblent s’en offusquer, mais pour m’a part je n’ai pas trouvé les scènes d’action en soit si géniales que cela. Oui elles sont dignes d’un blockbuster, mais les scènes d’action d’IRON MAN bien que moins nombreuses sont mieux rendues. Et n’utilisent pas ( ou moins en tout cas ) la “Shaking Camera” technique, si chère à nos réalisateurs d’outre-manche. Cela est, ausssi, peut-être du au partie pris de Nolan de coller à la violence de son Dark Knight, mais à l’arrivée je suis légèrement déçu par le coté brouillon par moment.
En Conclusion
A la question le Dark Knight a-t-il volé ses différents records américains ? La réponse est non, vu qu’il a battu Spiderman 3, cela est même une bonne nouvelle pour les films en général. Est-ce que je vous conseille d’aller le voir ? La réponse est oui… et vous pourriez même sortir 30 minutes avant la fin du film que vous ne manqueriez rien. Batman 3 selon Nolan verra-t-il le jour ? A mon avis oui, mais on ne peut que se demander ce qu’il va faire de plus qu’il n’a pas déjà fait sur le personnage ? Introduire Robin ? 😀
Encore inédit en France, L’incroyable Hulk a débarqué dans les cinéma du royaume cette semaine et nous avons sauté sur l’occasion pour voir le retour du géant vert sur grand écran.
Campé par un Edward Norton en grande forme, Bruce Banner tente d’échapper à l’armée après qu’une expérience ratée l’ait transformée en monstre vert. Marvel Studios ne fait pas complètement l’impasse sur le Hulk de Ang Lee mais il le réécrit et le boucle rapidement dans le générique de début qui fait du coup office de résumé / Flashback de la transformation de Banner en Hulk.
Pas réellement une suite donc, mais absolument pas une redites du premier film, L’Incroyable Hulk est libre de développer sa vision de Hulk. Bruce Banner est un homme traqué, maudit par son “pouvoir” et qui cherche à tout prix à reprendre une vie normale. On est loin des super-héros “utiles”, Hulk est un monstre incontrôlable qui sème le chaos, à tel point que le SHIELD est contre lui et cherche à le stopper.
Inutile de tourner autour du pot, L’Incroyable Hulk est un bon film de super héros. Le premier élément de réussite reste simple : la psychologie des personnages est carré. Bruce Banner veut se guérir du pouvoir de Hulk, L’armée veut le pouvoir de Hulk et Emil Blonsky veut devenir le plus fort. Les méchants sont méchants et les gentils veulent s’en sortir. Ceux qui ont vu le premier Hulk (et pas aimés) seront donc soulagés, il n’y a pas de questionnement métaphysique ce coup-ci ni d’incohérences, tout le monde reste à sa place (et c’est tout ce qu’on attend d’un film de super héros)
Le deuxième élément de réussite du film : Comme avec Iron Man, les héros poursuivent une quête (se racheter pour Tony Stark, se guérir pour Bruce Banner) et “l’action – baston” s’insère dans le film comme un moyen et non comme une finalité. Les bourrins seront peut-être déçus mais Hulk ne comptent “que” 3 scènes d’actions. Réduites à l’essentiel, ces scènes restent très spectaculaires mais évitent la surenchère. Du coup, on ne décroche jamais.
Le troisième élément de réussite résident dans le jeu d’acteur d’Edward Norton. Il incarne à la perfection le scientifique un peu chétif qui cherche à se séparer de ce pouvoir qui lui bousille la vie.
Bien entendu, L’Incroyable Hulk n’est pas exempt de défaut et en ce sens, il reste en deçà de Iron Man. Au rang des problèmes, il faut signaler Liv Tyler. Sa présence à l’écran est aussi intense que celle d’une planche de surf. Désolé, mais n’avoir que 2 expressions faciales (sourire = content / grimace = tout le reste) n’aident pas.
Autre problème : Hulk reste trop “gentil” à savoir que ses transformations ne le rendent pas complètement barje à vouloir détruire tout ce qui bouge. Le fait que Hulk ne broie pas sa copine en deux, disons que ça arrange bien les choses. Du coup, lors du combat final où on retrouve un Hulk bien bourrin qui lâche (au bout de 1h30 de film) le légendaire “Hulk smash”, j’ai failli me lever pour applaudir.
Néanmoins, cela ne nuit pas au plaisir du film qui remplit son office de divertissement. Louis Leterrier, le réalisateur des “Transporteur”, assure ici un travail très propre, sans excès de zèle mais avec un très bon sens du rythme.
Enfin, comme pour Iron Man, un clin d’oeil au projet The Avengers a été glissé dans le film alors, que demande le peuple ?
Sortie en Belgique le 26 juin 2008, sortie en France le 23 juillet 2008
Marvel continue le grand déballage de ses super héros avec le retour du Punisher. Depuis le “premier” film Punisher, sorti en 2004 (un film Punisher est également sorti en 1989 avec Dolph Lundgren dans le rôle du justicier, le film sorti en 2004 est son remake), la licence du justicier à la tête de mort n’était plus vraiment en odeur de sainteté à Hollywood. Mais c’était sans compter la volonté de Marvel de produire désormais lui-même les films sur ses personnages. Punisher 2, tendrement nommé Punisher War Zone reprend donc tout depuis le début et passe à la trappe le premier opus (même méthode que pour le prochain Hulk)
Frank Castle, un ancien membre des forces spéciales, voit sa gentille famille se faire massacrer par les mafieux de Billy Russo. Ivre de vengeance, Frank décide de devenir le Punisher, histoire d’appliquer une version plus rapide de la justice. Après avoir tenté de tuer Billy Russo, ce dernier se retrouve défiguré. Il revient alors sous le nom de Jigsaw et réunit une équipe de tueurs chevronnés pour faire la peau au Punisher.
Punisher War Zone : trailer [us]
Le Punisher est un héros à part dans l’univers Marvel. Il ne possède pas de super pouvoirs et il compense ça par une “super” violence exacerbée. Avec le leitmotiv de “aux grands maux, les grands remèdes”, Frank Castle ne se gène pas pour tuer, kidnapper, extorquer, torturer tout ce qui se met au travers de “sa justice”. Du coup, l’adaptation en film est toujours un peu délicate. Trop d’actions et on se retrouve devant une série B avec un héros psychopathe qui zigouille tout de ce qui bouge sans perdre sa tronche de constipé (la vengeance, ça fait toujours ça) ; trop de blabla et alors on tombe dans le drama psychologique poussif avec des questions existentielles trop originales (tuer, c’est mal ?)
Punisher War Zone devra donc trouver le juste équilibre entre actions et psychologie et au vue de la bande annonce (le Punisher fait quand même des pirouettes sur un lustre), c’est pas forcément gagné.
Le film est prévu aux USA pour le 5 décembre 2008. Aucune date fixe n’est annoncée pour la France.
Fiche Technique
Titre du film [us] : Punisher War Zone
Date de sortie [us] : 5 décembre 2008
Réalisateur : Lexi Alexander
Casting
Ray Stevenson : Frank Castle / the Punisher
Dominic West : Billy Russo / Jigsaw
Julie Benz : Angela Donatelli
Dash Mihok : Det. Martin Soap
Doug Hutchison : Looney Bin Jim
The Incredible Hulk va débouler sur nos écrans le 23 juillet prochain et on peut découvrir une présentation du film. L’interview du réalisateur français Louis Leterrier (Transporteur 1 & 2…)nous apprend que le film opposera Bruce Banner, qui cherche un remède pour contrôler Hulk et Emil Blonsky, militaire taré campé par Tim Roth, transformé en “Abomination” et ivre de destruction. Pour sauver New York et sa bien aimée, Bruce devra libérer “le monstre” en lui.
La preview du film :
http://www.youtube.com/watch?v=oJ2L5MMg54Q&feature=fvwrel
Tim Roth est l’Abomination
Pour autant, il est bon de se replonger dans les origines du comics. Crée en 1962 par le duo de choc de la Marvel : Stan Lee et Jack Kirby. Hulk raconte l’histoire de Bruce Banner, scientifique travaillant sur un nouveau type de bombe. Alors qu’il tente de sauver Rick Jones lors d’un test, il est exposé à des rayonnements mortels. Il en réchappe miraculeuse mais à chaque moment de stress extrême, il se transforme en Hulk.
Mais une bonne vidéo est mieux qu’un long discours : La vidéo des origines de Hulk :
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=D3fEVgqoaok&rel=0&hl=en&w=550&h=459]
Après le “controversé” Hulk de Ang Lee, Marvel cherche à relancer la licence Hulk avec The Incrédible Hulk. Ce n’est ni vraiment un nouveau film, ni vraiment une suite. Dans tous les cas, il semblerait que le film fasse échos à la version de Hulk de Peter David. Hulk peut se maitriser (en partie) et il n’est plus le monstre attardé qui ne peut plus se contrôler quand il est transformé.
Rendez-vous le 23 juillet 2008 pour voir si Leterrier fera mieux que Ang Lee.
Depuis quelque mois, le site du jeu massivement multijoueur, World of Warcraft, propose de lire gratuitement le premier tome de la bande dessinée tiré de son univers.
En partenariat avec l’éditeur Soleil Manga, Blizzard offre la lecture complète du tome 1, et en français !
La bédé est signée Richard A. Knaak (scénario) et Kim Jae-Hwan (illustration). Édité sous le titre de “Warcraft” (et non “wow”), il s’agit d’une trilogie intitulée “Le Puit Solaire”. Les trois tomes sont disponibles chez Soleil Manga au prix unitaire de 6.95€.
Le design du coréen Kim Jae Hwan manque de saveur et de dynamisme. Ca sent un peu trop le boulot de commande. Enfin, j’imagine que les fans de “wow” doivent y trouver leur compte… en attendant le film World of Warcraft toujours prévu pour 2009 😉