Category: Vidéos

  • Vegas

    Vegas

    Continuons la cuvée automne 2012 des séries TV avec Vegas. Comme son nom l’indique, il est question de Las Vegas, la mecque du jeu et du vice dont il s’agit.

    On suit l’histoire (vraie!) de Ralph Lamb un ancien de la police militaire qui est retourné s’occuper de son ranch après la guerre. Sauf qu’avec la montée de la criminalité, le maire de Las Vegs fait appel à lui pour remettre de l’ordre dans la ville. Au même moment, Vincent Savino, un mafieux de la famille de Chicago débarque de Cuba pour s’occuper du Savoy, un rutilant casino en plein centre de Las Vegas.

    http://youtu.be/aH4MrBKTS5Q

    La série tourne autour des deux personnages principaux : Savino (Michael Chiklis) et le Shérif Lamb (Dennis Quaid). D’un coté, on suit l’implantation de la mafia dans la ville et de l’autre les enquêtes policières du Shérif qui ne tarderont pas à croiser la route de Savino au fil des épisodes.

    Le premier élément le plus remarquable dans la série, c’est le soin apporté au décor pour recréer le Las Vegas de l’époque. La représentation des années 60 est une grande réussite et revenir au début de Vegas donne un charme certain à l’intrigue. L’autre point fort, c’est la dualité entre le shérif et le mafieux qui ne repose sur aucun manichéisme. Fidèle au personne, le shérif se la joue cowboy mais seulement pour déstabiliser Savino qu’il sait puissant et intouchable.

    L’intrigue se pose au fil des épisodes et heureusement la partie “enquête policière” ne prévaut pas sur l’intrigue globale. Commencée le 25 septembre 2012, la série vient de passer le premier cap d’audience et s’est vue confirmée jusqu’à 21 épisodes.


  • La Colline aux Coquelicots

    La Colline aux Coquelicots

    Goro Miyazaki est de retour à la réalisation. Après l’imbuvable Contes de Terremer, c’était avec une grande appréhension que j’ai visionné la Colline aux Coquelicots.

    L’histoire est librement adaptée du manga de Chizuru Takahashi et Tetsurô Sayama. Le film raconte le quotidien de Umi, une élève du lycée Konan à Yokohama. Nous sommes en 1963, à la veille des jeux olympiques de Tokyo, symbole de la prospérité retrouvée du Japon d’après guerre.

    Umi donc s’occupe toute seule de sa famille composée de son petit frère et de sa petite soeur. En hommage à son père mort durant la guerre de Corée, elle hisse toutes les matins des drapeaux de signalisation maritime en haut de sa maison. Intriguée par un poème, elle rencontre Shun, le délégué des élèves qui se bat pour la survie de Quartier Latin, l’ancien foyer des étudiants menacé de destruction par le directeur.

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/25717-colline_coquelicot.jpg” large=”640″]

    Les thèmes ghibliques sont bien au rendez-vous : famille éclatée, choc des générations, monde en mutation. Le combat des élèves pour la sauvegarde de leur foyer fait échos à la mutation profonde de la société japonaise post-guerre symbolisé dans le film par les premiers jeux olympiques à Tokyo. Le refus d’abandonner ses racines, de ne pas oublier d’où l’on vient et d’autant plus présent avec l’idylle impossible qui se noue durant le film entre Shun et Umi.

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    Niveau dessin et animation, l’ensemble est de grande qualité. Pas aussi tape à l’oeil qu’avec Ponyo sur la falaise mais les décors fourmillent de détails et un grand soin a été apporté pour recréer ce Japon des sixties. En revanche, Goro Miyazaki a tenu à donner sa vision personnelle et s’est basé sur sa lecture des manga “La Colline aux Coquelicots” étant jeune. Au final, une grande nostalgie émane du film et on sent bien en ce sens la patte du père, Hayao Miyazaki sur le sénario.

    Il est à noter d’ailleurs que le film se veut réaliste et il n’y a pas une once de magie ou d’onirisme comme on pouvait l’être habitué avec les précédentes productions du studio.

    La Colline aux Coquelicots – Bande annonce en français

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    Conclusion

    Le film est bon. N’y allons pas par quatre chemins, son visionnage est un moment agréable, l’histoire, même si elle n’épargne pas quelques longueurs, reste maîtrisée. Bref, en ce sens Goro Miyazaki lave la catastrophe des Contes de Terremer.

    Non le problème vient plutôt dans la démarche même du film : peut-on baser un film uniquement sur la tranche de vie, le temps qui passe, la nostalgie ?
    Attention, ces éléments ont toujours été présents dans les films Ghibli mais ils étaient la toile de fond à des histoires plus épiques avec du sens : Nausicaä, Princesse Mononoke et même Tanuki Pompoko : deux mondes qui s’affrontent, la nostalgie… tout est là, mais il y avait une vraie histoire, une vraie aventure autour.

    La Collines aux Coquelicots se veut réaliste et le film réussit dans cette démarche. Mais honnêtement, une tranche de vie de lycéen sur fond de lutte générationnelle et du temps qui passe, Ghibli nous avait habitué à des films plus ambitieux…

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  • Les Mondes de Ralph

    Les Mondes de Ralph

    Ralph la casse est un méchant de jeux vidéo. Depuis des années, il casse tout et finit par se faire battre par le héros de service.

    Mais Ralph en a marre, ce qu’il veut lui, c’est être gentil et devenir le héros pour une fois. Après l’échec de sa thérapie de groupe, Ralph s’enfuit dans d’autres jeux vidéo pour se prouver qu’il peut être lui aussi un héros.

    Le film, en salle dès aujourd’hui, est le dernier film d’animation de Disney et la réalisation a été confié à Rich Moore (Les Simpsons et Futurama).

    L’idée d’un film sur les méchants de jeu vidéo est originale et le buzz autour des premières bandes annonces a joué à fond. Reste à voir si le film saura sortir de la référence pour proposer une vraie histoire.

    Au vu des premières critiques outre atlantique (le film est sorti le 2 novembre au Canada et aux USA), Les Mondes de Ralph semble néanmoins avoir réussi l’alchimie entre clin d’oeil, nostalgie et divertissement.

  • La Wii U est disponible

    La Wii U est disponible

    Une nouvelle console Nintendo, c’est toujours un évènement. Surtout après la grosse surprise et l’énorme succès inattendu de la première Wii, la relève était attendue au tournant. Fidèle à son image, Nintendo a surpris par ses choix : Une manette hybride combinant un écran tactile et une orientation des jeux plus gamers et moins “casual”.

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/6b7d9-wii_u_gamepad_noire.jpg” large=”640″]

    Nintendo a revu enfin la puissance de la machine à la hausse sans pour autant dépasser la génération actuellement de machine. Une mise à niveau qui arrive tard, 6 ans après les lancements des Playstation 3 et Xbox 360 et alors que se profile à l’horizon le renouvellement de ces machines. Mais Nintendo a bien compris avec la Wii que la technique ne faisait pas tout et mise l’innovation sur le gameplay via le gamepad / tablette.

    Beaucoup de promesses ont été faites sur l’utilisation de cette accessoire et il faudra voir à l’usage s’ils sont concluants ou pas. En attendant, un des fers de lance de la console, le jeu ZombiU d’Ubisoft, montre bien déjà la complémentarité de l’objet et son apport dans le jeu :

    L’autre nouveauté avec la Wii U, c’est le choix affirmé, revendiqué et prouvé lors de son lancement d’orienter la console vers le public des “joueurs”. Le public familial dit “casual” est de toute manière déjà acquis à la Wii, c’est surtout vers les joueurs plus assidus, les “gamers” dont il fallait se rapprocher. Le ton est d’emblée donné avec les jeux accompagnant le lancement de la console :

    * Assassin’s Creed III
    * Call of Duty : Black Ops II
    * Darksiders II
    * Mass Effect 3
    * New Super Mario Bros. U
    * Nintendo Land
    * Sonic & All Stars Racing Transformed
    * ZombiU

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/8a78a-pack_zombiu.jpg” large=”200″ align=”left”]En dehors des jeux maisons mario : que des gros cartons pour adolescents et jeunes adultes. Et le seul pack de la console disponible est le pack ZombiU, pas vraiment un jeu convivial et familial. Il est trop tôt pour dire si la tendance va se confirmer mais ce lancement est encourageant pour la suite et prouve que Nintendo a entendu les critiques.

    Concernant le prix de la console, c’est là que ça corse.
    La console est équipée d’une mémoire interne. La version 8Go (la blanche) est vendue à 269€ alors que sa version 32Go (la noire) est disponible à 319€ (avec le jeu Nintendo Land) et le pack ZombiU comprenant la console, le jeu ZombiU et une manette Wii U Pro en plus grimpe carrément à 399€. Pour les Wii U Remote en plus, c’est 50€ et le Nunchuk c’est 20€ en plus.

    Bon, se faire tamponner sur les accessoires, c’est un classique, là où ça l’est moins, c’est que la manette avec écran tactile est pour l’instant unique à la console et les prix qui circulent pour le GamePad seul font peur : 135€, il faudra donc réfléchir à deux fois avant d’exploser sa manette contre le mur après avoir perdu à Tekken Tag Tournament 2. Concernant la mémoire de la machine, elle pourra être étendu via des cartes SD officielles, mais à priori, Nintendo a choisi un format standard de cartes et il sera possible d’en prendre chez d’autres constructeurs.

    Puissance et jeux

    Le classique avec une nouvelle console : est-elle plus puissante que les autres ?
    D’après les premiers retours, il semblerait que la Wii U soit… aussi puissante que la Playstation 3 et la Xbox 360. Sur les jeux multi-plateformes comme Call of Duty Black Ops 2 ou Mass Effect 3, les graphismes font jeu égal. En revanche, la jeunesse de la console et sa moins bonne maîtrise par les développeurs peuvent laisser suggérer une amélioration dans les moins et année à venir. Après bon, en regardant ce que la console a dans le ventre, on retrouve plus ou moins les mêmes composants qu’une Xbox 360, il n’y aura pas de miracles dans tous les cas.

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    C’est moi que tu traites de lapin crétin ? [image de Call of Duty Black Ops 2 sur Wii U]

    Après est-ce que les graphismes font tout ? Honnêtement, la Wii nous a prouvé que non.
    Avec la Wii U, Nintendo offre ENFIN une console qui crache du vrai HD, en 1080p. Alors oui, la PS4 ou la Xbox 720 seront sûrement en 4k ou Ultra HD mais le saut qualitatif ne sera pas aussi puissant qu’entre le cathodique et les TV HD. La Wii sur une TV HD, c’est une bouillie dégueulasse de pixels (c’est comme rebrancher une Gamecube ou une PS2 sur une TV HD, ça pique…). Avec la Wii U, Nintendo offre enfin une console qui a sa place dans les salons qui se sont massivement équipés de TV HD ces 5 dernières années.

    Le vrai pari maintenant, c’est de prouver aux joueurs que les choix de gameplay sont meilleurs que des graphismes HD qui te tabassent la face et ça, la console devra le faire avec ses prochains jeux.

    La Wii U est depuis le 30 novembre 2012 disponible en France pour le prix de 269€ dans sa version blanche (8Go) et 319€ dans sa version noire (32Go).

  • Killzone Intercept – Fan film impressionnant.

    Killzone Intercept – Fan film impressionnant.

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/dd208-killzone-intercept.jpg” large=”640″ haut=”175″]
    Les p’tits gars d’Infectious Designer ont sorti le grand jeu avec Killzone Intercept, un court métrage de 15 minutes aux petits oignons qui a nécessité pas loin de 2 ans de travail mais le résultat en valait la peine !

    Killzone Intercept

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    Le court a été réalisé par Brian Curtin, ce nom vous dit peut être quelque chose ? Normal ! Le gars et Infectious Designer ont déjà signé par le passé Half Life Origins et Beyond Black Mesa, deux fans films issues du jeu vidéo Half Life de Valve.

    Killzone Intercept nous fait suivre une escouade de l’ISA lors de l’évacuation des troupes d’Helghan (tiré de Killzone 3). Leur mission est simple : gagner du temps sur les troupes Helghast pour évacuer le plus de monde.

    Killzone est un FPS futuriste exclusif à la Playstation (2 et 3). Salué pour ses graphismes et sa mise en scène de haute volée, le jeu raconte le conflit galactique entre l’empire Helghast et l’ISA (Interplanetary Strategic Alliance).

    Trois jeux en suite directe ont été édités : Killzone 1 (Playstation 2 en 2004), Killzone 2 (Playstation 3 en 2009) et Killzone 3 (2001 sur Playstation 3). Un Killzone : Liberation est également sorti sur PSP en 2006 mais troque la vue subjectif des First Person Shooter pour une vision de dessus.

    Source : la page FB d’Infectious Designer et leur Youtube

  • Baldur’s Gate Enhanced Edition est là

    Baldur’s Gate Enhanced Edition est là

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/1de47-baldur_s_gate_enhanced_edition_introduction.jpg” large=”250″ align=”left”]Bon, il aura fallu attendre et bien ramer sur les serveurs de BeamDog mais j’ai pu jouer à Baldur’s Gate Enhanced Edition sauce 2012. Au final, on a une toute nouvelle quête intitulée “The Black Pits” (Les fosses noires) ainsi que 3 nouveaux personnages : Dorn Il-Khan, Neera et Rasaad yn Bashir.

    Bon, sans se voiler la face, on s’en fiche un peu de ça, ce qui est déjà plus intéressant, c’est le dépoussiérage du moteur graphique, le support des résolutions d’écran “modernes” ainsi que le multijoueur commun à toutes les versions du jeu (mobile et ordinateur).

    La VF n’est pour l’instant pas disponible et sera ajoutée dans une future mise à jour. Pour la voix française d’Imoen, il va donc falloir se montrer patient, dommage. En revanche, la traduction des texte en français est bel et bien déjà de la partie grâce à la dévotion de la communauté de fans français présente sur le forum de Beamdog et qui a un fourni un travail colossal pour rendre les textes avant la sortie du jeu.

    Et si vous voulez tenter l’aventure et perdre quelques centaines d’heures de vie sociale pour une aventure épique, vous pouvez acheter cette version “Enhanced” sur le site de BeamDog à cette adresse pour 20$ (15.5€).

    Un test de la cette version de Baldur’s Gate sera bientôt disponible sur Avis Critique.

    En ce qui concerne les versions “mobiles” à savoir sur IOS et Android il va falloir se montrer patient. Alors que le jeu devait sortir sur IOS hier, un bon gros et velu bug est venu gâcher ce lancement. Il faudra donc attendre au mieux la semaine prochaine. Quant à Android, ça sera au mieux pour noël, pas avant. Idem pour la version Mac OS X qui est repoussée aux calanques grecques.

    Pour vous consoler, il vous reste la nouvelle version de la cinématique d’introduction :

    Baldur’s Gate Enhanced Edition : Introduction

    [FMP poster=http://www.aviscritique.com/wp-content/uploads/2012/11/Baldur_s_Gate_Enhanced_Edition_Introduction_thumb5.jpg width=”640″ height=”420″]https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/19572-baldur_s_gate_enhanced_edition_introduction.mp4[/FMP]

  • Un jeu de stratégie open source

    Un jeu de stratégie open source

    0 A.D est un jeu de stratégie temps réel (RTS) historique. Disponible sur Linux, Mac OS et Windows, le jeu est pour l’instant en “alpha” mais propose à tous de participer à la création de mod, voire carrément d’aider l’équipe du jeu. Le jeu se situe dans la période de -500 avant J.C à +500 après J.C et on y retrouve 6 factions jouables : les romains, les carthaginois, les celtes, les grecs, les espagnols et les perses. Plus de civilisation devraient venir grossir les rangs mais il faudra attendre la version finale du jeu pour ça.

    Bon, pas la peine de tourner autour du pot, le premier élément qui étonne dans ce projet, c’est que le jeu est beau ! Il suffit pour cela de jeter un coup d’oeil à la présentation de l’Alpha 10 pour se rendre compte de l’excellent travail fourni sur les graphismes :

    Le développement du jeu a officiellement débuté en 2001, mais c’est en 2008 avec la mise en open source du moteur sous la licence GPL que le projet a véritablement décollé. En 2012, ce n’est pas moins que 3 versions du jeu qui sont sorties. Actuellement en “Alpha 11”, le jeu a considérablement amélioré son gameplay, ajouté des civilisations et propose désormais une expérience vidéoludique plus proche d’un Age of Empire.

    Pour télécharger et profiter du jeu, il suffit de se rendre sur cette page web. Et si vous voulez aider au jeu ou developper votre mod, une documentation a été mise à disposition par le studio Wildfire Games à cette adresse.

    Des visuels du jeu 0 A.D :

  • Bioshock Infinite, plus c’est long et plus c’est bon ?

    Bioshock Infinite, plus c’est long et plus c’est bon ?

    Le futur Bioshock peut donner des sueurs froides aux joueurs. Après un bon départ et des premières impressions élogieuses, le bébé d’Irrational Games s’est fait discret voire absent, jusqu’à ce que les mauvaises nouvelles tombent : retard du jeu, départ de membres de l’équipe…

    Autant de signaux inquiétant alors que la série Bioshock marque un tournant décisif avec son itération Infinite. Fini Rapture et les mondes sous marins, place à une ville utopique suspendue dans les airs, voguant dans le ciel américain.

    Néanmoins, les choses semblent revenir dans le rang pour Bioshock Infinite. Le jeu est désormais prévu pour le 26 février 2013 sur PC, Playstation 3 et Xbox 360 et une nouvelle vidéo de gameplay vient clouer le bec aux défaitistes : le développement du jeu avance bel et bien et les promesses faites seront tenues.

    BioShock Infinite : The Beast of America : VOSTF

    [FMP poster=http://www.aviscritique.com/wp-content/uploads/2012/11/BioShock_Infinite_2_thumb3.jpg width=”640″ height=”420″]https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/10b05-bioshock_infinite_2.mp4[/FMP]

    Bioshock Infinite est un FPS aventure où le joueur incarnera Booker DeWitt, un chasseur de primes chargé de retrouver la mystérieur Elizabeth, disparue il y a 15 ans à Columbia.
    Nous sommes en 1913 et Columbia est une ville utopique qui vole afin de montrer aux yeux de tous la supériorité technologique des États-Unis. Mais une fois notre héros sur place, la situation va rapidement dégénérer, montrant la vrai folie de la ville derrière le projet utopique.

    Bioshock Infinite reprendra les bases des précédents volets, à savoir un mélange entre action pure (le coté First Person Shooter) et l’aventure, avec l’utilisation de pouvoirs spéciaux (feu, électricité, télékinésie…).

    Bioshock 1 & 2 nous avaient entrainé dans le monde claustrophobie de Rapture, une ville sous marine tenu d’une main de fer par Andrew Ryan. Regroupant des scientifiques, artistes et des lettrés, le rêve de cité utopique a rapidement laissé place aux cauchemars après la découverte des nanites, procurant un pouvoir surhumain à son porteur mais agissant également comme une drogue.

    Bioshock Infinite en finira donc avec le milieu aquatique pour une cité volante. Mais on retrouvera à Columbia les mêmes maux qu’à Rapture : l’utopie cédant la place à la folie.

    Des visuels de Bioshock Infinite sur PC :

  • Far Cry Experience avant Far Cry 3

    Far Cry Experience avant Far Cry 3

    Alors que nous sommes à 72h de la sortie dans toutes les bonnes crémeries de Far Cry 3, Ubisoft a sorti depuis quelques jours une web série vidéo intitulée Far Cry Experience.

    Débarqué sur une île déserte pour faire un reportage, Christopher Mintz-Plasse (Red Mist de Kick-Ass) dans son propre rôle et son équipe tombe rapidement sur Vaas, le méchant du jeu vidéo Far Cry 3. Après 4 épisodes d’ambiance, le choix est maintenant donné aux spectateurs : on peut décider si Christopher sera tué ou non par Vaas en votant sur cette page.

    http://youtu.be/tsxWS2GheLo

    http://youtu.be/s-XmsMZvi8A

    http://youtu.be/GIrnxbffIW8

    http://youtu.be/Lf1gS62oE6Q

    L’épilogue… Internet a voté pour qu’il vive !
    http://youtu.be/jFlcHrivqOU

    Pas super fan des caméras sur l’épaule mais l’idée est originale et la ressemblance entre l’acteur qui incarne Vaas et son équivalent dans le jeu est super bluffante.
    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/d7f50-far-cry-experience.jpg” large=”640″]

    Source : Le site de Far Cry Experience

  • Arrow, suivez la flèche

    Arrow, suivez la flèche

    [tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/164df-arrow-serie-tv-poster.jpg” large=”200″ align=”left”] Il plane un bon goût de Batman sur la série Arrow. Diffusée depuis le 10 octobre 2012, la série combinent action, vengeance et justicier masqué.

    Oliver Queen, seul rescapé du naufrage qui a couté la vie à son père, est découvert par hasard par des pêcheurs chinois. De retour dans sa famille, les riches et puissants Queen, propriétaire de l’empire Queen Consolidated, Oliver semble distant, cassé. Que s’est-‘il passé pendant ses 5 années de solitude sur cette île surnommée “l’ïle du diable” ?

    Le tableau est posé : Oliver Queen, riche dandy branleur revient à la civilisation après en avoir bavé sur une île. Que s’est-il passé là bas ?

    Des flashbacks disséminés au fil des épisodes éclairent le Oliver Queen actuel. La certitude, c’est que son père lui a donné une mission avant de mourir : punir les puissants qui profitent de la ville et corriger ses fautes. Oliver endosse dès lors le costume de justicier et se bat avec son arc pour honorer la promesse faites à son père.

    Vengeance, héros justicier milliardaire et sans pouvoirs spéciaux, les parallèles avec Batman sont nombreux. Pour autant, même si la série n’arrive pas à égaler le modèle, elle impose son style : du combat, de la romance, de la conspiration et des indices sur l’histoire savamment distillés.

    Le héros est porté par la plastique de Stephen Amell qui jongle habilement entre le coté sombre du justicier et la frivolité du riche fils à papa. Et la série échappe avec bonheur au kitch classique du genre super héros : c’est classe, c’est bien filmé, c’est dynamique et le tout est crédible.

    A voir maintenant comment l’histoire va évoluer.

    La série comptera 22 épisodes pour sa première saison.

    En vidéo :