[tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/6be55-logo_valiant.jpg” align=”right” large=”150″]C’est en tout cas en ces termes de les repreneurs de l’éditeur Valiant vantent leur poulain, même si on peut se demander ce que peut être un Marvel 2.0.
A la barre on retrouve l’ex Marvel Peter Cuneo et le duo Jason Kothari / Shamdasani au rang d’investisseurs. Et tout ce beau monde aimerait bien reproduire le succès de Marvel avec Valiant.
Il faut voir que tout n’a pas été rose pour Marvel. En quasi banqueroute en 1997, l’entreprise américaine s’est alors recentrée sur ses licences phares et les produits dérivées. S’en est suivit un meilleur contrôle de l’utilisation de ses héros, notamment dans les productions cinématographique (les films Iron Man, Hulk, Thor… jusqu’à l’apothéose The Avengers) ce qui a conduit Disney à mettre la main en 2009 sur la poule aux d’or pour la bagatelle 3.5 milliard d’euros. Plutôt pas mal pour une entreprise qui devait couler il y a 10 ans.
L’histoire de Valiant
Bref, Valiant dans tout ça a connu un peu le même sort, mais sans le coté retour en grâce.
Début des années 90, l’éditeur avait le vent en poupe avec des séries comme X-O Manowar, Shadowman, Bloodshot ou encore Harbinger. Avec plus de 1500 personnages en catalogue, Valiant taillait alors des croupières à DC et Marvel.
En 1994, la société est vendu à l’éditeur de jeu vidéo Acclaim pour 53 millions d’euro. Dès 1996, Acclaim procède à un reboot complet de l’univers Valiant et reprend les séries à zéro. Frappé de plein fouet par la crise de l’édition fin des années 90, Acclaim liquide l’activité édition dès 1999 afin de se concentrer sur l’utilisation de ses héros dans des jeux vidéo. Cela donnera lieu par exemple aux titres Shadow Man en 1999 ou encore la célèbre série Turok (1997).

Mais Acclaim accumule les déboires et ferme définitivement ses portes en 2005. En 2007, un groupe de jeunes fans encore à la fac et mené par Jason Kothari et Shamdasani mettent la main sur les licences de Valiant pour quelques centaines de milliers de dollars. Après quelques années de problème juridique pour avoir le droit d’exploiter ces licences, les deux compères peuvent enfin relancer l’éditeur. Courant 2011, la rencontre avec Peter Cuneo parachève leur projet et voilà Valiant qui renaît de ses cendres.
Quels projets pour l’éditeur Valiant ?
[tim image=”https://aviscritique.com/wp-content/uploads/2021/02/c68e2-x-o_manowar.jpg” align=”left” large=”150″]Après un premier tour de table, l’éditeur a quelques petits millions de dollars sous le manteau. Dès mai 2012, La série X-O Manowar a été relancée suivi de Harbinger en juin et de Bloodshot en juillet. Le retour de X-O Manowar (un mix de Conan le barbare et d’alien) a eu l’éloge de la presse spécialisée et le premier tome s’est vendu à 45 000 exemplaires.
Mais Valiant affiche des ambitions autrement plus conséquentes et ne veut pas se contenter de l’édition. C’est vers le cinéma que l’éditeur veut faire fructifier ses héros. D’après Jason Kothari, c’est la série Bloodshot qui a le plus de potentiel pour le cinéma et Valiant est déjà à l’oeuvre auprès de Sony pour placer ses billes. Et Peter Cuneo se veut confiant quand on lui dit que les héros de Valiant ne sont pas connus en dehors des cercles d’initiés amateur de comics.
Pour lui le succès du film d’Iron Man, un des héros les moins bien connus à l’international, prouve que le public vient avant tout pour voir un film, et non un héros particulier.
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