Tag: Resident Evil

  • Resident Evil raciste ?

    Une fois n’est pas coutume, je me suis prêté au jeu de la rédaction d’article pour les amis. L’article suivant a été publié sur LPN, blog parlant d’Afrique. Je reviens sur la polémique autour du jeu Resident Evil 5 sortie maintenant il y a 3 mois. Cet article est à prendre comme il est, une réflexion personnelle.

    Il est parfois de bon ton de revenir sur les débats après que les avis se soient déchainés dans la passion et, souvent, l’approximation douteuse. De quoi il retourne ? D’un des jeux vidéo les plus vendus ces 10 dernières années et créateur à lui seul d’un genre à part entière : Resident Evil.

    Le roi du Survival Horror s’est illustré à nouveau sur nos consoles Next Gen (Xbox 360 et PS3) en mars 2009. Mais la polémique a commencé à bruisser dès les premières images diffusées sur Internet… En effet, les ennemies étaient, ô outrage, noir. Oui madame, NOIR !!!! VOUS AVEZ BIEN LU !!!

    Resident Evil 1Rappel des faits : Resident Evil est un jeu qui nous place dans la peau de policiers, genre GIGN, qui débarquent dans un manoir après que des disparitions étranges aient eu lieu. Horreur, l’équipe se fait déchiqueter par des monstres et doit se réfugier dans un manoir infesté de zombie accro à la cervelle. Par ce simple pitch, un monument du jeu vidéo venait d’être jeter en pâture aux gamers avides de nouvelles sensations. Distillant peur et stress, le jeu se voulait un grand hommage au film d’horreur du genre. En 13 ans (1996-2009) et 7 jeux (hors les spin off en rail shooting), l’histoire n’est jamais allée très loin. Derrière les zombies, il y a les recherches d’Umbrella, giga méga worldcorporation spécialisée dans les armes bactériologiques qui aimerait bien mettre au point un virus pour transformer monsieur Tout le monde en uber soldat avide de chair fraiche et insensible aux balles. La ribambelle de personnages, Jill Valentine, Chris Redfield, Leon Kennedy, Rebecca Chambers, Claire Redfield (sans citer les héros secondaires qui de toutes façons crèvent à la fin du jeu afin d’expier leur dark past) ont tous mis à mal les projets mégalomaniaque de cette entreprise.

    La rupture : La saga ronronnait tranquillement voire commençait à s’essouffler. Son créateur, Shinji Mikami, reprend tous depuis le début et nous gratifie d’un Resident Evil 4 hors norme. Fini les problèmes de caméra et les angles morts, fini les aller/retour incessants pour débloquer des portes, fini les zombies, fini le trouillomètre à zéro… On nous place dans la peau de Léon Kennedy, agent spécial du Président des USA qui doit sauver sa fille kidnappée par une secte et séquestrée… en Espagne ! Caméra au dessus de l’épaule, notre héros au gros muscle et au grand coeur se retrouve piégé dans un village de campagne rempli de gentils paysans transformés en zombie à cause d’un parasite et contrôlés par Lord Saddler, le chef religieux du coin. Long, nerveux, violent, intense et mythique, ce Resident Evil, à cent lieux de l’ambiance des premiers opus, est un véritable succès vidéo-ludique et relance alors la saga.

    Resident Evil 4

    Le drame : oui, le drame. Resident Evil 5 est alors annoncé et reprend en tout point les éléments du 4, quitte à souvent donner un gout de copier/coller aux graphismes surboosté. Mais ô surprise, Capcom, l’éditeur du jeu, décide que le jeu se déroulera en Afrique.

    Afrique = habitant noir = zombie noir = le joueur doit tuer des noirs pour survivre !

    Et là, déchainement bien pensant et stigmatisation (si besoin en est) du jeu vidéo comme vecteur des maux de notre société, du racisme à l’explosion de la violence, en pensant par l’autisme social.

    Resident Evil 5 racisme
    Resident Evil 5 racisme

    Annoncé au début comme devant se dérouler en Haïti, Capcom fait marche arrière et nous trimballe au Kijuju, pays imaginaire mais maintient tout de même le jeu dans un décor africain.

    Étant un fan hardcore de la série, je me suis procuré le jeu, curieux de ce déchainement. Et là, le choc. L’histoire du jeu nous met dans la peau du duo Chris / Sheeva, le gros bras américain et la belle africaine spécialiste du combat rapproché. Ils travaillent pour un organisme de contrôle international et ont eu vent d’une transaction d’arme bactériologique. Et là, tout part en couille, les habitants, infestés par le même parasite (en boosté) que ceux de Resident Evil 4, se jettent sur nos héros qui doivent défendre leur peau. Au fil du jeu, on retrouve Tricell, compagnie pharmaceutique digne héritière d’Umbrella qui a étendu ses activités dans le pétrole. Au final, on stoppe le rêve nazi du grand méchant de transformer l’humanité en zombie afin d’en accélérer l’évolution.

    Et là, je pose ma manette et je me rends compte que non, après avoir fini le jeu je ne me suis pas transformé en électeur du FN ni en partisan du Ku Klux Klan. Au contraire, Resident Evil est un des rare jeu qui parle de l’Afrique (avec Far Cry 2 ?) et se permet même d’aborder le thème des abus des sociétés étrangères qui ravagent le continent. A défaut d’être original ou courageux sur l’Afrique, le scénario a le mérite au moins d’exister.

    Resident Evil 5 raciste

    Les critiques se reposent essentiellement sur l’aspect ludique donné au fait de tuer des noirs, désinhibant ainsi le tabou sous couvert de jeu et permettant à tous les joueurs de s’adonner à se plaisir interdit par ces salauds de bien pensant (surement bobo au passage !)

    Critique curieuse au demeurant, surtout pour un jeu interdit au moins de 18 ans ! A cet âge, on est quand même censé savoir faire la part du “virtuel” et du “réel”, ou alors c’est vraiment prendre ses contemporains pour de sombres crétins.

    Plus grave, ces attaques envers Resident Evil recèle d’une idéologie plus nauséabonde qui est que l’amusement doit être un produit “propre, anesthésié et indolore”. C’est un peu comme si on taxait de raciste tous les films où des noirs se font tuer, comprenez, ça pourrait donner des idées aux esprits faibles… Du coup, les noirs doivent-ils être exclus du jeu vidéo pour cause de politiquement correct ? Ou alors en faire des héros noirs propre sur eux, modèle next-gen de l’eunuque inoffensif qui sauve le monde… mais là encore, on pourrait taxer de vision raciste du gentil noir banania qui sauve le blanc… Peut-être que le jeu vidéo suivra la même voie que le cinéma avec de la blaxploitation vidéoludique où des héros noirs, sauvent des noirs, tuent des méchants blancs le tout à viser du consommateur noir, histoire de développer un communautarisme consumériste. Mais a t-on vraiment envie de ça ?

    Resident Evil 5 raciste

    Surtout que tout ça, c’est surtout oublier deux éléments majeurs :
    1. Le premier est que le combat contre le racisme est large. Le jeu vidéo doit être surveillé par les associations pour prévenir les abus, mais en aucun cas, cette lutte ne doit dériver sur une stigmatisation à postériori où les “noirs” devraient être considérés comme un groupe à part. Pour moi, un zombie blanc ou un zombie noir est avant tout un ZOMBIE, j’ai sans doute une vision naïve de la chose, mais les noirs et les blancs étant égaux pourquoi leur interdire d’être zombie (ou un méchant quelconque) ? Le racisme, c’est avant tout l’exclusion et le déni de l’autre… du coup, il y a quelque chose qui ne tient pas dans la volonté de ne pas avoir d’ennemis noirs dans un jeu vidéo…

    2. A moins d’être un facho AVANT de jouer, TOUT LE MONDE s’en branle que les zombies soient noirs. Les gens jouent à Resident Evil parce que c’est Resident Evil et qu’ils savent qu’ils vont avoir droit à du grand spectacle et de l’action non stop ! Quand on joue à GTA San Andreas (Dans le top 10 des plus grosses ventes au monde), les gens ne se disent pas “oh mon dieu, je vais incarner un noir, c’est dégueulasse” ou “ha ouais, c’est un gangsta, comme tous les noirs” et s’ils pensent ça, c’est qu’ils sont racistes AVANT de toucher à ces jeux vidéo.

    Pour finir, ce qui me désole le plus, c’est que tout le bruit autour du jeu à occulter le fait que Resident Evil 5 était globalement décevant, sans surprise ni saveur. Au final, le jeu garde un mode 2 joueurs bien pensé, de très beaux graphismes et des boss très réussis mais il restera, hélas, avant tout LE jeu de la polémique sur la place des noirs dans le jeu vidéo, place qui doit encore être trouvé, au vu de la visibilité limitée de cette population dans nos jeux.

    Et voilà, le troll est lancé 😉

  • Resident Evil Director’s Cut arrive sur le PSN US

    Alors que Resident Evil Directors Cut est disponible sur le PSN Japon depuis 2006, Capcom USA vient d’annoncer fièrement que le jeu serait disponible à la vente le jeudi 28 mai 2009 pour la somme de 9,99$ (soit 7€… ouch, c’est cher)

    Bonne nouvelle donc, le jeu est enfin disponible dans une langue plus abordable que le japonais pour nous autres européens. Au programme de ce Director’s Cut : l’introduction sans censure (Chris fume bien sa clope !) et sans le noir et blanc. Pour le jeux, on a droit à de nouveaux costumes, de nouveaux angles de caméra et un mode de jeu spécial.

    Avis aux fans nostalgiques qui ont une Playstation 3 qui voudront redécouvrir ce jeu de légende. Pas évident en revanche pour les néophytes d’accrocher au jeu, les graphismes et le gameplay ont sacrément vieilli en 12 ans…

    Quant à une sortie en vostfr sur le store européen, rien n’a été annoncé en ce sens pour le moment.

    Resident Evil Director's cut
    Resident Evil Director's cut
    Resident Evil Director's cut
    Resident Evil Director's cut
    Resident Evil Director's cut
    Resident Evil Director's cut
    Resident Evil Director's cut
    Resident Evil Director's cut
    Resident Evil Director's cut
    Resident Evil Director's cut
    Resident Evil Director's cut
    Resident Evil Director's cut

    A l’origine, Resident Evil Director’s Cut est sortie en France le 12 octobre 1997 sur Playstation. On y jouait Jill Valentine (mode normal) ou Chris Redfield (mode difficile) deux membres d’une escouade spéciale de la police de Racoon City piégés dans un manoir peuplé de zombie avides de sang frais. Point de départ d’une des plus grandes saga du jeu vidéo de ces dix dernières années, Resident Evil a marqué son époque de part son gameplay immersif, le sentiment de peur et d’horreur diffusé par le jeu et son scénario innovant.

  • Resident Evil Degeneration : 2ème bande annonce

    Resident Evil Degeneration : 2ème bande annonce


    Du nouveau pour Resident Evil Degeneration. La réalisation a été confiée à Makoto Kamiya qui a déjà bossé sur les effets spéciaux de The End of Evangelion ou sur le film live Cutie Honey. Au scénario, on retrouve Shôtarô Suga (Blood +, Le Chevalier d’Eon…)

    Niveau histoire, Capcom passe enfin à autre chose. Après 3 volets de film live avec Milla Jovovich, Resident Evil nous revient en 3D avec Leon Kennedy et Claire Redfield, deux héros récurrents de l’univers. Virus T, un aéroport, une armée de zombie, pas de doutes, on sera en territoire connu.

    En 2005, 7 ans après que Racoon City (Resident Evil 3) ait été rayée de la surface de la Terre et 1 an après l’enlèvement de la fille du président (Resident Evil 4), Léon et Claire se retrouvent dans un aéroport américain infesté par le virus T suite à une attaque bioterroriste. Rapidement SWAT et zombies se livrent un combat sans merci car ils n’ont que 4h avant que le virus ne se répande en dehors de l’aéroport !

    Premier opus en CG (pour Computer Graphics) de la série Resident Evil, le film sortira au Japon dans quelques salles de cinéma et se verra distribué en DVD pour le reste du monde.

    L’action semble efficace et la 3D plus que correcte (on sent quand même que c’est du direct to DVD), après est-ce que le scénario fera avancer la trame globale de la saga Resident Evil ou est-ce qu’il apportera son lot de questions sans réponses : verdict à sa sortie, le 18 octobre 2008.

    En attendant, voici la deuxième bande annonce disponible pour Resident Evil Degeneration.

    Bande annonce Resident Evil Degeneration

    http://news.kraken.fr/2007/vids/flvplayer.swf

    Des visuels :

    Resident Evil Degeneration

    Resident Evil Degeneration

    Resident Evil Degeneration

    Resident Evil Degeneration

  • Resident Evil 5

    Resident Evil 5

    hoy les petits,

    Âme sensible s’abstenir, voici le nouveau trailer (en français) du dernier opus de la saga Resident Evil. Le cinquième volet de la saga vidéoludique qui s’est vendue à plus de 34 millions d’exemplaires depuis 1996 (date du premier épisode) “révolutionnera” (d’après Capcom) la série tout comme l’avait fait le 4 en son temps.

    Ok mais quoi de nouveau ? Bon, déjà, quand on regarde la vidéo, on voit tout de suite que les zombies ont des allures de monstres beaucoup plus réactifs que dans les Resident Evil 1, 2 et 3. Déjà, ça fait plaisir de voir que ça continue à ce niveau sur la lancée du 4.

    Ensuite ? Chris Redfield (ça faisait quelques temps qu’on l’avait pas vu lui) a été affecté à une nouvelle unité et va donc s’offrir une semaine de vacances trankilou dans un village d’Afrique. Bon ok, trankilou c’est peut-être pas le mot juste avec tous ces zombies à droite et à gauche mais bon, quand on voit la nana qui se balade avec lui, quelque part, on se dit qu’il l’a bien cherché ! héhé

    D’après les développeurs, ce jeux serait une révolution, qui révolutionnera (sic) le genre survival horror au au même niveau que Resident Evil 4, . Le système de commande sera entièrement nouveaux, avec un rendu de graphisme exceptionnel et d’ambiance encore plus effrayant.

    Merci Capcom

    Amis Zombies, je vous attends sur 360 🙂



  • Resident Evil 5 : Trailer et screenshot

    Resident Evil 5 ps3 xbox 360

    Profitant de l’été et des vacances, Capcom a publié en fourbe une longue bande annonce de Resident Evil 5 sur PS3 et Xbox 360. Certes, l’info commence à dater mais je suis suffisamment enthousiaste devant le rendu visuel pour en remettre une couche, après tout le monde 🙂

    Dans Resident Evil 5, on retrouvera Chris Redfield en Haïti en prise à des “zombies évolués” (on pense aux Ganados). Pas beaucoup d’informations sont disponibles pour le moment. On parle d’un mode de jeu à deux personnages où on switcherait de l’un à l’autre (comme dans Resident Evil Zero) ou encore d’un mode coopératif online.

    Le teaser ci-après présente le jeu en mélangeant intro et in-game, et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça promet.

    Le mode de jeu est identique à Resident Evil 4 avec sa vue par dessus l’épaule et son système de visée. Le jeu est prévu sur PS3 et Xbox 360.

    Mauvaise nouvelle en revanche, le jeu a été repoussé à la fin 2008, voire début 2009.

    Quelques screenshots :

    Resident Evil 5 ps3 xbox 360
  • Encore un film pour Resident Evil !

    Resident Evil CG

    Après le catastrophique Resident Evil Extinction, on pouvait espérer ne plus entendre parler de Resident Evil au cinéma avant un moment

    C’était sans compter sur Sony Pictures qui se frotte les mains avec ses 100 millions de dollars de recette par film Resident Evil. Le studio vient donc d’annoncer aujourd’hui la signature d’un accord avec Capcom pour réaliser un nouveau film : Biohazard Degeneration (“Biohazard” est le nom japonais de “Resident Evil”)

    Mais ce coup-ci, c’est fini pour Milla Jovovich car on aura droit à un film entièrement en images de synthèse ainsi qu’à un scénario inédit (à comprendre : hors trame du jeu)

    Mise à jour de l’article le 20 décembre 2007 : le premier teaser de Resident Evil Degeneration est disponible

    Techniquement, comme on ne peut pas faire pire que Resident Evil Extinction, j’attendrais ce film avec curiosité.

    Pas de date annoncée pour le moment.

    Source: ANN

  • Resident Evil Extinction : Bande annonce

    Resident Evil Extinction

    Alors là, c’est du lourd, du gros comme on dit,

    Resident Evil Extinction est le troisième et dernier (ouf !) opus de l’adaptation cinéma du jeu vidéo culte Resident Evil.

    On se pose un moment sur l’histoire du film:

    « Le virus expérimental mis au point par la toute-puissante Umbrella Corporation a détruit l’humanité (Rien que ça ?), transformant la population du monde en zombies (ok, jusqu’ici, on suit). Fuyant les villes, Carlos, L.J., Claire, K-Mart, Nurse Betty (les Nsync ?!) et quelques survivants ont pris la route dans un convoi armé, espérant retrouver d’autres humains non infectés et gagner l’Alaska (Non, Homer, déménager sous la mer n’arrangera pas tous tes problèmes…), leur dernier espoir d’une terre préservée.

    Resident Evil Extinction

    Ils sont accompagnés dans l’ombre par Alice, une jeune femme sur laquelle Umbrella a mené autrefois de terribles expériences biogéniques qui, en modifiant son ADN, lui ont apporté des capacités surhumaines (ils auraient pu la rendre folle ou moche, mais eux, ils savent déconner et l’ont rendu quasi invincible, sympa les mecs).

    Depuis le laboratoire d’Umbrella, le Dr. Isaacs les surveille (oui, il n’a plus que ça à faire vu que c’est la fin du monde). Il est prêt à tout pour retrouver celle qui représente l’accomplissement ultime des recherches de la firme, la seule personne qui rende possible la mise au point d’un remède : Alice.»

    Ok, vous êtes toujours là ? Le scénario de Paul Anderson est sans aucun doute le pitch le plus mou de l’année. On aurait pu faire des dizaines de scénario sur Resident Evil, mais non, faire un Mad Max sauce Zombie, c’est tellement plus hype.

    Maintenant, le trailer :

    Vidéo Resident Evil Extinction

    http://news.kraken.fr/2007/vids/flvplayer.swf

    Scotché ? Normal… Donc, maintenant on mixe les deux et on bouche les trous :

    De la chair à canon se radinent dans un Las Vegas en ruine gavé de zombies pour trouver des survivants (genre, t’as que ça à faire quand c’est la fin du monde) pour aller en Alaska (influence Simpsons The Movie ? ) Bien entendu, ils sont bloqués dans le désert avec de vils zombies et des méchants soldats de Umbrella Corporation, Alice alias Milla Jovovich fait des salto, castagne à tout va et prend la pose sur un nuage de napalm, mais seulement pour la déconne. Mais dans l’ombre, la gamine au pouvoir psy bosse avec les méchants pour la capturer (et faire un vaccin, juré !)

    Après un Resident Evil décevant, un Resident Evil Apocalypse risible, on a droit à la farce Extinction ? La coupure scénaristique avec le délire sur la fin du monde fait grincer les dents et on cherche le lien logique avec les deux premiers films. Parce que c’est le dernier volet de la trilogie, on est obligé de partir dans la surenchère et de détruire la Terre ?

    Il ne faut pas perdre de vue que le jeu vidéo Resident Evil, c’est un grand hommage aux films d’horreur du genre où les zombies vous guettent, où on prend peur de sa propre ombre. Bref, loin du délire apocalyptique du film.

    Alors que le jeu vidéo a bien négocié son évolution avec un Resident Evil 4 totalement jouissif, on peut se demander si Capcom a bien joué de vendre la licence pour trois films. Avec un tel résultat, ça leur fait quand même une bien mauvaise pub…

    Pour les inconscient qui ne lisent pas Kraken ou les fans intégristes, le film est dans les salles depuis le 3 octobre. La réalisation a été bouclée par Russell Mulcahy ( Highlander le retour.. Ouiiii !!! C’était lui !!) sur un scénario de Paul Andersen (Mortal Kombat, Resident Evil, Alien vs Predator… hé bien…)

    Dans les rôles principaux, on retrouve Milla Jovovich (Alice Prospero), Ali Larter (Claire Redfield), Sienna Guillory (Jill Valentine) et Jason O’Mara (Albert Wesker)

    Sur ce, je retourne jouer à Code Veronica sur ma DC…


    Vous sentez ce sentiment de peur transpirer de son visage ? Non ? Ha bon…

    Merci à Nyams pour les infos sur le film 😉