
MELODY OF OBLIVION
Année: 2004
Genre: Heroic fantasy / Mecha / Aventure
Studio: JC STAFF & GAINAX
Nombre Episode: 24

Gros bras dit le héros et la chaudasse à gros seins
Histoire :
Le 20ème siècle a été marqué par une guerre totale entre les humains et les monstres et ce qui ont gagné… sont les monstres. Bocca est un lycéen comme les autres. Un soir, il assiste à un combat entre un guerrier et un démon. Son pouvoir se révèle alors. Lui aussi a la marque des Méros, ces guerriers qui n’ont de but que d’éradiquer les monstres.

Chez Gainax et JC Staff, on est des pros pour recycler les cellulos
Avis:
Alors alors alors. Faut remettre certaines choses au clair concernant Melody Of Oblivion. A la base, c’est une histoire à la noix d’héros lycéen qui doit roxxer des monstres baveux en mécha. Après le premier épisode, je suis dubitatif. Je pousse un peu. Episode 4, je tiens plus, j’éclate de rire. Episode suivant, rebelotte. La série reste sérieuse mais c’est tellement décalé, tellement con que j’éclate de rire à chaque épisode.
De plus la série a quelques atouts sympas. La construction de la série est assez originale. Des tranches de 3 épisodes (les titres d’épisodes sont en acte). En gros, le héros arrive dans un bled, (épisode 1), y’a embrouille (épisode 2) et grosse baston (épisode 3). Puis on passe à autre chose tout en faisant avancer l’histoire générale. Bref, ça gonfle pas, ça change vite et bien.

Les démons sont nazis et la chaudasse fait son comeback
Ensuite, la présentation des monstres est assez intéressante. Ils vivent dans des espèces de mondes parallèles et le traitement graphique de ces univers est assez sympa. Dernier point positif, le héros est assez con et tout le monde le déteste (l’épisode 3 est assez excellent, les villageois le caillaissent après qu’il les ait sauvé). Je vous préviens quand même que vers l’épisode 20, la série part ouvertement et complètement en couille assumant ex post le décalage de son univers (et là, c’est vraiment excellent).
Bref, une série un peu nulle au premier abord mais qui recèle d’éléments à droite à gauche vraiment intéressants qui bout à bout en font une série vraiment pas mal. Enfin, Gainax oblige, la série est bourrée de fan service qui achève de semer le trouble sur cette série assez difficile à classer et à présenter. En résumé, je vous la recommande cordialement!

Etre Meros, c’est frotter ses flèches sur son sexe et s’enduire de vaseline (si, si)
Tandis que les jeunes filles sucent des sucettes, on voit que les egyptiens connaissaient déjà l’industrice du porn hardcore.
*Fan Service: Passage montrant des personnages féminins nues ou très peu vêtues
Leave a Reply to Menear Cancel reply